radiographie ou TDM des poumons à la recherche d'une maladie ou d'anomalies pulmonaires; analyses sanguines pour vérifier la concentration en oxygène dans le sang; test de la fonction respiratoire pour évaluer la fonction pulmonaire; bronchoscopie pour observer la trachée et les grosses voies respiratoires des poumons.
essoufflement, respiration sifflante, voix rauque et toux qui s'aggrave ou persiste) douleur thoracique, en particulier lors de profondes inspirations et de quintes de toux. présence de sang dans les expectorations (ou hémoptysie)
Si un petit corps étranger pénètre dans les voies respiratoires inférieures (ou dans les poumons), le médecin peut demander une radiographie des poumons. Cet examen ne permet malheureusement pas de tout voir. Le meilleur moyen de visualiser entièrement les voies respiratoires est la bronchoscopie.
d'infections pulmonaires répétées : bronchites, pneumonies ; d'une modification de la voix (du timbre ou de l'intensité) qui devient souvent enrouée ou voilée ; de sifflements pendant la respiration.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Les cancers situés dans la partie supérieure des poumons peuvent envahir les fibres nerveuses des membres supérieurs, ce qui rend l'épaule ou le bras douloureux, engourdi et faible.
des signes respiratoires, comme une toux, un essoufflement ou une sensation d'oppression dans la poitrine ; des maux de tête, des courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l'odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale du goût ; une diarrhée.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
L'objectif de cet examen est de révéler la présence d'anomalies dans les poumons. Toutefois, la radiographie ne permet pas de déterminer si une anomalie découverte est bénigne ou maligne. Et, par ailleurs, elle ne permet pas toujours de déceler une anomalie, même si elle est effectivement présente dans le poumon.
Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
Si une tumeur non cancéreuse provoque des symptômes, ce pourrait être ceux-ci : toux ou respiration sifflante; difficulté à respirer, y compris l'essoufflement; infections pulmonaires (pneumonies) fréquentes.
"Le dépistage du cancer du poumon par une prise de sang n'existe pas encore. Il s'agit de programmes qui sont des essais cliniques. Les participants font un scanner de dépistage et une prise de sang peut aussi être réalisée. Et dans le sang, on peut rechercher plusieurs types de reflets du cancer.
Le cancer du poumon à petites cellules est très agressif et survient presque toujours chez les fumeurs. Il a une croissance rapide, et environ 80% des patients ont une maladie métastatique au moment du diagnostic.
Est-ce que le cancer du poumon se soigne ? Un patient ou une patiente atteinte d'un cancer du poumon peut espérer en guérir, mais cela dépend de l'évolution de la maladie. Plus elle est prise à temps, plus les chances d'en guérir sont importantes.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
La présence de sang rouge foncé ou noir dans les selles peut provenir des intestins ou de l'estomac et peut également être préoccupante. Vous pouvez également remarquer un changement dans vos habitudes intestinales, comme des selles moins solides ou des selles plus fréquentes que d'habitude.
L'IRM et le Pet scanner pour un cancer généralisé indiquent l'étendue des lésions. La scintigraphie osseuse permet de détecter des métastases osseuses et des métastases sur les cartilages. Quant aux examens sanguins, il s'agit de mesurer ici les taux de marqueurs tumoraux (l'enzyme LDH ou la protéine C-réactive).
Troubles du transit, constipation, diarrhées, saignements… sont des symptômes qui peuvent alerter.
Une modification de la symétrie de la poitrine, et/ou une variation de volume, de la densité ou de la forme d'un ou des deux seins, devrait aussi vous alerter. Certains cancers du sein peuvent également se traduire par un symptôme inflammatoire provoquant une sensation de chaleur, un gonflement et des douleurs.
La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Les métastases empêchent les organes de fonctionner
Et de poursuivre: «On ne meurt pas directement d'un cancer mais du dysfonctionnement d'un ou de plusieurs organes vitaux qu'il induit.» Ainsi, des métastases pulmonaires vont peu à peu empêcher les poumons de capter de l'air, entraînant alors une asphyxie.