« Oser » est peut être l'acte le plus important de notre parcours d'humain. Si nous n'osons pas… nous ne nous renouvelons plus et petit à petit nous risquons de cultiver la routine et l'ennui. Si nous n'osons pas, petit à petit, nous nous enfermons dans une vision limitée de nous-mêmes et de notre vie.
Commencer par oser demander une petite chose, un petit changement, à oser changer une habitude dont vous savez qu'elle sera bonne pour vous. Félicitez-vous d'avoir oser. Exprimer vos souhaits et envies auprès d'une ou deux personnes bienveillantes avant les exprimer au maximum de personnes autour de vous.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
La difficulté de s'exprimer vient souvent d'une incapacité d'affirmation de soi. Vous avez peur de dévoiler vos émotions et de ne pas pouvoir les assumer. Et pour en rajouter, vous vous reprochez de ne pas avoir sorti de votre tête ce que vous aviez à dire. Vous avez le sentiment profond d'avoir manqué de courage.
Pour calmer une crise d'angoisse, le relâchement musculaire est très efficace. En début de crise, prenez une grande inspiration puis contractez les muscles de votre corps pendant 10 secondes. Relâchez ensuite cette tension en expirant profondément. Renouvelez l'exercice pendant au moins 3 minutes.
Or oser ne présente que des bénéfices dans sa vie de tous les jours. Cela peut tout d'abord renforcer la confiance que vous avez en vous, en vous montrant à vous-même que vous avez certaines compétences jusque-là inconnues.
Dans le cas de la peur, cela passe par la libération des hormones du stress : la noradrénaline et l'adrénaline. Une fois relâchées dans le cerveau et dans le sang, elles entraînent la modification des paramètres physiologiques du corps, le préparant à agir.
Le manque d'estime de soi est aussi un problème de compétence : mieux se connaître et s'accepter, accepter l'incertitude et savoir ce qu'on en fait, affronter la critique, la comparaison, reconnaître l'utilité des peurs, des doutes… ça s'apprend.
Cette peur fait partie intégrante de notre psychisme, elle est tout à fait normale. Peur d'être rejeté, peur d'être « inadapté », peur d'être différent, peur de déplaire… au final, manque de confiance en soi et peur de s'affirmer.
Cette peur de soi nait lorsque vous craignez que vos pensées signifient réellement quelque chose d'important, de réel, de dangereux. Pour cela, vous devez donner beaucoup de crédit à vos pensées. Cette importance que vous leur accordez représente le fameux piège dans lequel les personnes qui souffrent de TOC tombent.
Pour pouvoir être courageux face à une situation, vous devez y faire face. Les gens vraiment courageux examinent la situation et identifient une façon de l'aborder, plutôt que d'essayer de s'enfuir ou d'ignorer le problème. Il peut être utile de décomposer la situation en éléments plus petits pour y faire face.
Du point de vue neurologique, la peur correspond à une activation de l'amygdale (système régulant nos actions face à la peur, formé de noyaux au niveau des lobes temporaux) qui induit un sentiment de danger imminent. Elle peut entraîner une inhibition de la pensée, et prépare l'individu à fuir ou se défendre.
La méthode Janson apporte un soutien en cas de trouble anxieux généralisé, d'attaques de panique, de trouble obsessionnel-compulsif, de pensées obsessionnelles, de trouble de stress post-traumatique, de trouble d'anxiété sociale et d'autres phobies.
Tenez compte des sentiments de votre interlocuteur et choisissez une approche aimable, et non menaçante. Utilisez des mots constructifs, en particulier si vous donnez des conseils ou demandez à quelqu'un de faire un changement. Validez ce que la personne ressent, évitez de l'accabler, et évitez de porter des jugements.
Les troubles anxieux constituent une maladie psychique fréquente qui s'exprime sous diverses formes (anxiété généralisée, phobies, trouble panique...) et perturbe fortement la vie quotidienne. De nombreux facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux peuvent favoriser leur survenue.
Pourquoi certaines personnes ne finissent-elles pas leurs phrases ? - Quora. Quelques hypothèses : on peut être décontenancé par la personne en face de soi (regard, ton de voix…) et on peut avoir peur d'être jugé au milieu de la phrase on pense que l'autre a déjà compris ce qu'on veut dire.
C'est amener l'autre à nous respecter tout en respectant l'autre. Faire en sorte de faire passer ses idées, valoir ses droits, mais tenir compte aussi des droits de l'autre, de ses idées aussi, sans jamais l'écraser, sans jamais être agressif."
Pour soutenir un point de vue, une opinion, l'énonciateur utilise des arguments. Ce sont des faits ou des idées qui prouvent qu'il a raison. On utilise des des exemples pour rendre plus clair et illustrer un argument.