Le déplacement du cavalier est original. Il se déplace en L, c'est-à-dire de deux cases dans une direction (comme une Tour) combinées avec une case perpendiculairement (toujours comme une Tour).
Le cheval se déplace en associant deux membres diagonaux. L'encolure reste stable dans un plan vertical : l'ensemble du corps se soulève puis s'abaisse selon la projection et les posers des bipèdes diagonaux.
Nous nous sommes permis un langage quelque peu familier pour ce titre afin de préciser qu'aux échecs, on ne dit pas « manger » mais plutôt prendre ou capturer. Le Cavalier prend les pièces adverses en « sautant » sur leurs cases. Il prend la pièce adverse qui se trouve sur la case de sa destination.
Contrairement au fou, le cavalier est considéré comme une arme plutôt de courte portée. Il faut dire qu'il ne peut pas sauter plusieurs cases comme ce dernier.
En début de partie, le pion peut avancer d'une ou deux cases... ... Puis d'une seule case tout le reste du jeu. Le pion a la particularité de ne pouvoir attaquer qu'en diagonales.
Dans le diagramme ci-dessus, le Pion blanc peut, s'il le souhaite, prendre le Fou noir des cases noires. Mais il peut aussi avancer d'une case, et dans ce cas, donner un échec au Roi noir.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Comment se déplace le Cavalier
– Contrairement aux autres pièces d'échecs, le Cavalier se déplace en sautant. Il n'est donc pas bloqué par ses propres pions comme peuvent l'être les Fous ou toutes les autres pièces du jeu d'échecs. – Autre particularité, le Cavalier se déplace de 3 cases en dessinant un L majuscule.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces. La reine prend sur le même trajet sur lequel elle se déplace, en s'arrêtant sur la case de la pièce opposée.
Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
En matière d'attaque, le fou peut prendre la première pièce adverse qui se trouve sur son chemin. Cependant, comme il ne peut pas sauter sur une autre pièce, il se trouve automatiquement bloqué dès qu'une autre pièce amie ou adverse se trouve sur sa trajectoire.
Puis, à l'arrivée de ce jeu en France – via l'Espagne et l'Italie –, dans le courant du XVIe siècle, certains ont déformé le mot «fil» en le prononçant «fol», qui signifiait «fou». La pièce du jeu a donc progressivement pris ce nom et perdu la forme de l'animal, au profit d'un personnage portant un bonnet à clochettes.
On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.
L'amble est une sorte d'allure de marche rapide de certains quadrupèdes. Il est possible d'entendre des termes comme « aller l'amble » ou « aller à l'amble ».
L'étalon est un adulte mâle reproducteur et reconnu, l'entier un adulte mâle non castré, le hongre un mâle castré. Le poulain et la pouliche sont les jeunes animaux respectivement mâle et femelle de moins de trois ans. L'anglicisme yearling désigne un jeune cheval d'un an.
Elle peut se déplacer et prendre en arrière. Elle ne peut pas sauter une autre pièce ou pion. Quand dire échec et mat ? L'échec et mat ou plus souvent mat est, au jeu d'échecs, une situation dans laquelle un roi est menacé de capture au prochain coup et pour laquelle aucune parade n'est possible pour l'éviter.
Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
La tour peut se déplacer horizontalement ou verticalement. Cette pièce est à longue portée, c'est-à-dire qu'elle peut être déplacée d'autant de cases qu'on le souhaite, sans pouvoir sauter par-dessus une autre pièce. Le rayon d'action de la tour, contrairement à celui du fou, ne dépend pas de sa place sur l'échiquier.
On place les pièces sur la première rangée et les pions sur la 2ème. Le Roi et la Dame sont au centre, la Dame blanche est sur une case de couleur blanche.
Le jeu d'échecs oppose deux adversaires placés de chaque côté d'un échiquier constitué de 64 cases alternant deux couleurs. Chaque joueur dispose de 16 pièces : un roi, une dame, deux tours, deux fous, deux cavaliers et huit pions. Le but du jeu est de placer le roi adverse en situation d'échec et mat.
Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
Au jeu d'échecs, le pat est une position dans laquelle le camp ayant le trait et n'étant pas sous le coup d'un échec, ne peut plus jouer de coup légal. La partie est alors déclarée nulle quel que soit le matériel restant sur l'échiquier. Le pat met immédiatement fin à la partie.
Déplacements et capture
Le fou se déplace en diagonale. Cette pièce est à longue portée, c'est-à-dire qu'elle peut être déplacée d'autant de cases qu'on le souhaite, sans pouvoir sauter par-dessus une autre pièce. Il ne peut changer de couleur de case durant la partie et ne balaie donc que la moitié de l'échiquier.