Un bon rapport RSE doit être complet. En effet, c'est la synthèse de tous les engagements de l'entreprise. Il doit donc être argumenté de manière très complète, en n'oubliant aucun engagement ou action mise en place. Cela peut être déterminant si le rapport RSE est lu dans le cadre d'un appel d'offres par exemple.
Comprendre la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en quelques minutes - part 1
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Quels sont les indicateurs de la RSE ?
Volet social de la politique RSE de votre entreprise
Ecart de rémunérations femmes/hommes et taux de féminisation de l'équipe par statut. Nombre d'embauches et de licenciements. Nombre de collaborateurs dans l'équipe et répartition des contrats de l'équipe (CDI, CDD, temps partiels…)
Les indicateurs RSE traduisent la performance de l'entreprise en matière de développement durable. Il est ainsi facile d'identifier les bonnes pratiques comme celles pouvant être améliorées.
En France, certaines entreprises ont l'obligation (notamment d'après les lois Grenelle II de 2010) de rédiger un rapport RSE annuel. Il s'agit des entreprises cotées en bourse, avec un chiffre d'affaire supérieur à 100 millions d'euros ou une masse salariale supérieure à 500 employés.
Intégrée dans les activités de l'entreprise, la RSE est une boussole stratégique source d'opportunités. Elle vise à transformer les pratiques et les activités, vers une performance globale : économique, et aussi environnementale et sociale.
Un rapport RSE retranscrit les actes et les résultats de l'entreprise en matière de responsabilité sociale des entreprises. C'est un outil de communication concernant les activités économiques, consommation, les actions liées à l'environnement, au management et les démarches liées aux salariés.
Cette obligation, inscrite dans l'article 1833 du Code civil, concerne toutes les sociétés. C'est une manière pour le législateur d'inciter plus d'entreprises à entamer des démarches RSE.
Les enjeux de la RSE se matérialisent par ses trois piliers que sont le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental. Pour chacun de ces piliers, de nombreuses mesures peuvent être mises en place par les entreprises pour contribuer au développement durable.
La RSE donne les moyens de façonner les pratiques de l'Entreprise alors que l'ESG quantifie les engagements, les transforment en due-diligences basés sur des IRO (Impacts, Risques, Opportunités) tout en identifiant la gouvernance (de cette due-diligence), sa portée et ses extensions.
Une politique RSE concrète attire les talents, surtout les nouvelles générations davantage portées sur la préservation de la planète et le traitement respectueux des fournisseurs et des clients.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Ainsi, la RSE est défini comme « la responsabilité d'une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l'environnement se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : Contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société
La norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale est le fruit d'un large processus international entre pays industrialisés et pays en développement, entreprises, représentants du monde du travail, groupes de consommateurs et ONG.