Prier est une occupation personnelle comme une autre et le salarié est libre d'utiliser son temps de pause comme il le souhaite. Concernant le lieu de prière, il est en revanche préférable de choisir un endroit discret à l'abri des regards.
Le Prophète, , a dit : « Prie debout, si tu es incapable prie assis et si tu es dans l'incapacité de t'asseoir prie allongé sur ton coté » (Boukhari). Au sujet de votre crainte qu'une de vos collègues vous surprenne : ce n'est pas une justification valable vous permettant de prier assise.
L'employeur ne peut pas interdire à un salarié de prier dans son bureau pendant son temps de pause si cela ne gêne pas l'organisation du travail. Il peut interdire les prières si elles ont lieu pendant le temps de travail ou si elles perturbent le travail des autres salariés.
Le ratradement consiste à les faire à l'heure de la dernière. Nous demndons à Allah le Très-haut de nous assister à bien comprendre la reigion, à bien parler et agir et à vous faciliter vos affaires. Allah le Très-haut le sait mieux.
non faire la distinction entre une prière obligatoire. et une prière sur un gâteau. une prière obligatoire. tu ne peux pas prier assis car.
Ibn 'Umar, qu'Allah soit satisfait de lui, a rapporté : « Le Messager d'Allah ( ) a interdit de prier dans sept lieux : dans une décharge, dans un abattoir, dans un cimetière, au milieu de la rue, dans les toilettes, dans les abreuvoirs des chameaux et au-dessus de la Ka'ba. » [al-Tirmidhî (al-Albânî : da'îf)].
Il n'existe aucune législation spécifique à la prière de rue. La Déclaration des droits de l'homme de 1789 rappelle que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public ».
Il est important de noter que le rattrapage de la prière de Fajr, comme toutes les autres prières manquées, doit se faire par ordre chronologique. Il n'est donc pas permis de rattraper Fajr avant d'avoir rattrapé les prières précédentes manquées.
Il est à noter que certaines écoles juridiques musulmanes recommandent de respecter l'ordre des prières lors du rattrapage. Par conséquent, si le fidèle rattrape plus d'une journée de prières manquées par jour, il devrait commencer par le Fajr de la première journée manquée, puis passer au Dhuhr, et ainsi de suite.
D'autres prières ne doivent cependant pas être rattrapées, par exemple la prière du Jumu'ah, car si elle n'est pas accomplie avec la communauté à l'heure prescrite, la prière du Dhuhr doit être réalisée à sa place. Quoi qu'il en soit, il faut rattraper les prières obligatoires manquées par ordre chronologique.
Les salles de bain: lieu où l'on se baigne.Il est interdit de prier dans une salle de bain selon le hadith déjà cité d'Abou Said qui indique l'invalidité d'une telle prière.La raison en est qu'un tel lieu est un refuge de démons et qu'on s'y met à nu.
L'employeur ne peut pas interdire l'exercice de cette liberté religieuse d'une manière générale. Toutefois il peut y apporter certaines restrictions si elles sont justifiées « par la nature de la tâche à accomplir et proportionnée au but recherché » (art. L1121-1).
1. Question : Mon employeur peut-il me sanctionner si je refuse d'exécuter certaines des tâches qui m'incombent pour des raisons religieuses ? Réponse : Oui. Votre refus d'exécuter une des tâches pour lesquelles vous avez été embauché(e) est constitutif d'une faute pouvant entraîner une sanction disciplinaire.
Cheikh al-islam, Ibn Taymiyah (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a écrit: La posture debout est un pilier léger (mois important que les autres) dont on peut se passer dans toutes les prières surérogatoires et parfois dans les prières obligatoires.
Dans ce contexte, être assis est une posture de recueillement et de méditation. C'est une position propice à l'écoute de la Parole de Dieu. Pour résumer ces différentes manières de prier : on s'agenouille principalement lorsqu'on veut supplier ou adorer le Seigneur. On se tient debout comme signe de victoire.
Réponse : Il est permis au prieur de regrouper les prières du Dhouhr et du 'Asr, de même que les prières du Maghrib et de l'Icha, que ce soit en les regroupant dans l'horaire de la première prière (ce qui s'appelle : « Djam' Taqadîm ») ou de la deuxième « Djam' Ta'khîr »).
Il doit se repentir devant Allah le Très-haut et se résoudre à ne plus retarder la prière. Le rattrapage de celle-ci ne lui sert à rien s'il s'était abstenu de la faire à son heure sans excuse.
Le rattrapage des prières manquées se fait selon le même ordre que celui des prières accomplies à l'heure.
La prière Isha doit être accomplie avant minuit. Car il n'est pas permis de la retarder au-delà de minuit, compte tenu de la parole du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) : Le temps de la prière Isha prend fin à minuit .
« Pas de prière depuis celle d'al-Fadjr (l'aube) jusqu'au lever du soleil et pas de prière après celle d'al-Asr (après-midi) jusqu'à son coucher. »
Le temps de la prière du Fajr s'étend donc du Fajr Al-Sadiq jusqu'à ce que le soleil commence à se lever. Une fois que le disque solaire apparaît à l'horizon, il n'est plus permis de prier Fajr, car le temps est considéré comme expiré.
Paix et salut sur Son Prophète. Quant à la prière du Fadjr, elle commence dès l'aube claire jusqu'au lever du soleil. Il n'est donc pas acceptable que vous priez la prière du Fadjr avant son temps, ni la retarder jusqu'à ce que le temps qui lui est déterminé expire.
La liberté de conscience garantit donc le droit de prier dans la rue. La seule limitation à ce droit concerne le possible trouble à l'ordre public qu'elles pourraient constituer, comme par exemple l'obstruction non autorisée d'une voie de passage.
Selon la loi, il est autorisé de prier dans l'espace public, tant que la pratique religieuse n'entraîne pas de perturbations à l'ordre public.
La prière accomplie en voyage dans n'importe quel moyen de transport est soit une prière obligatoire, soit une prière surérogatoire.