Devant une blague choquante ou de mauvais goût, dites clairement qu'elle vous rend inconfortable. Adoptez un vocabulaire neutre, un ton impartial, un langage corporel adéquat, et dites, par exemple : « Je ne sais pas quoi dire lorsqu'une blague te fait rire, mais pas moi » ou « Ce n'est pas mon genre d'humour. »
Réponse n°1 : casser la blague
Donc, face au sarcasme, vous pouvez réagir au contenu littéraire et ignorer le ton, comme si vous n'aviez pas compris. Répondez à l'opposé, avec sincérité. De cette façon, la personne sarcastique est obligée de s'expliquer et vous éviterez de nouvelles attaques.
Technique 1 : ignorer l'attaque
D'ignorer complètement l'attaque. Comme si la personne qui vous a lancé une vanne n'existait pas. Comme si vous n'aviez pas entendu ce qu'elle avait voulu vous dire. Pour elle, ça fera un peu le même effet que si elle avait fait une blague sans que personne ne rigole.
Écrit un long message lui disant que tu es fou amoureux de lui et que tu souhaites vivre avec lui. À mon avis ton pote risque de passer une mauvaise soirée qui plus est stressante si tu ne lui avoues pas tout de suite que le message était une blague venant de toi !
La première attitude à adopter est de garder le silence. Contrairement à une idée préconçue, le pouvoir n'appartient pas à celui qui prend la parole, mais à celui qui parvient le plus longtemps possible à se taire. Pendant que l'autre parle, vous décelez des traits de caractères, une personnalité, etc.
Voici quelques façons d'exprimer de la compassion : Je comprends que ce soit si difficile. Je suis désolée que tu te sentes si mal.
Laissez la personne s'exprimer jusqu'au bout, ne répondez que lorsque vous vous sentez prêt. N'hésitez pas à lui demander un moment pour réfléchir. Et faites le tri : ce que l'on vous a reproché ne remet pas en question la totalité de votre être", conseille la spécialiste.
C'est un signe de bonne santé cérébrale
Des études montrent que le sarcasme – à juste dose – peut améliorer les fonctions cognitives. D'ailleurs, l'incapacité à détecter les commentaires sarcastiques peut être le signe de maladies ou problèmes cérébraux, comme la démence.
Faire du bruit à outrance
Pour vous venger, faites de même mais en pire : mangez des chips, faites mine de chercher un dossier en foutant le bordel sur votre bureau (et le sien s'il est à côté de vous), parlez fort si vous êtes en Skype en lui faisant croire qu'il s'agit de quelqu'un de haut placé, etc.
Feur ». Les ados ont trouvé l'équivalent au célèbre « quoi ? Feur » : il faut maintenant répondre « Quoicoubeh ».
Faire accepter le reproche
Certaines astuces aident aussi à faire accepter une remarque déplaisante. Montrez dès le début que vous avez conscience de l'impact que peuvent avoir vos propos : "Es-tu d'accord pour que nous nous parlions franchement ? Je ne voudrais pas te blesser mais...".
Répondre simplement « je ne sais pas » à la question risque de ne pas être bien perçu par le recruteur. Il pourrait prendre cette réponse pour du détachement ou y voir un manque d'intérêt pour le poste.
Faire face à une attitude agressive
C'est avant tout rester soi-même, « rester, ou revenir chez soi », pour mettre l'autre à distance. Au-delà des techniques, il s'agit d'une posture, d'un savoir-être. Pour ne pas devenir « éponge » par rapport à l'agressivité de l'autre, il faut travailler sur l'ancrage corporel.
Je remercie tout particulièrement les personnes qui ne m'ont pas dit bonjour lors de nos échanges ces dernières années. Grâce à ces personnes je me suis rendue compte à quel point la salutation était importante pour moi dans mes relations, dans ma mise en lien avec l'autre.
Lorsque le silence se fait trop présent et que vous sentez qu'il pourrait dériver sur une dispute, préférez vous taire à votre tour et vous éloigner si nécessaire. Si le silence s'installe dans la relation et commence à empêcher son bon fonctionnement, soyez présent et expliquez à l'autre que son silence vous inquiète.
Se mettre à l'écoute de l'autre et l'observer reste la clef d'une bonne interaction. Le bon diagnostic permettra d'adopter le bon comportement, lequel permettra de sortir la personne de son état de stress. Mais l'essentiel reste à venir, travailler avec bienveillance à une réponse structurelle.
anxieux, anxieuse
Qui éprouve de l'anxiété ; angoissé : Un anxieux qui s'inquiète toujours du moindre retard.