Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
Analyser logiquement une phrase revient à découper la phrase en propositions, à donner la nature de chacune d'entre elles et la fonction des subordonnées. Faire l'analyse logique de la phrase suivante : Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
La proposition subordonnée complétive conjonctive
Elle occupe le plus souvent la fonction de complément d'objet direct (COD) ou indirect (COI) du verbe de la proposition principale : Je veux que tu viennes. La subordonnée « que tu viennes » est COD de « veux ». Je travaille à ce que le projet réussisse.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète.
La proposition est un constituant de la phrase . Elle se compose d'un sujet et d'un groupe verbal. Le groupe verbal a pour noyau un verbe conjugué à un mode personnel (indicatif, subjonctif, conditionnel et impératif).
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
« Dans son article, le journaliste résume brièvement l'histoire » est une proposition ; cette proposition ne dépend d'aucune autre proposition ; elle ne contient aucun terme dont dépendrait une autre proposition : c'est une proposition indépendante.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ».
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire. J'ignore qui il a rencontré.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.
La conjonction de subordination n'a aucune fonction dans la proposition subordonnée conjonctive, de même que le mot interrogatif dans la proposition subordonnée interrogatif. En revanche, le pronom relatif occupe une fonction variable dans la proposition subordonnée relative.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de but est introduite par pour que, afin que, de peur que. Ex. : Il s'adresse à un ami pour qu'il l'aide à trouver du travail. Il lui rappelle sa promesse de peur qu'il ne l'oublie.
-conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop... pour, assez... pour... -but: pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que...
La subordonnée circonstancielle de temps sert à situer l'action dans le temps. Elle peut exprimer : la simultanéité : l'action de la phrase où est enchâssée la subordonnée a lieu en même temps que l'action de la subordonnée. [Pendant que je travaillais], il écoutait de la musique.
Proposition dépendante d'une proposition principale, qui ne peut se suffire à elle-même, qui complète une autre proposition. Elle est en général introduite par un subordonnant (un pronom relatif ou une conjonction de subordination par exemple).