Le complément circonstanciel de conséquence (CC de conséquence) exprime le résultat d'une action. Il répond à la question « avec quel résultat ? ». Il est introduit par : à, pour, au point de, de manière à, si bien que … Il est souvent suivi d'un verbe à l'infinitif.
Le CC de conséquence est un ensemble de mots qui exprime le résultat d'une action. Il répond à la question : « Avec quel résultat ? », « Pour (quel résultat) ? », « De manière à obtenir quel résultat ? » … Il commence par des mots tels que : à, pour, au point de, de manière à, si bien que …
Pour reconnaître un complément circonstanciel, on pose les questions « quand ? », « pendant combien de temps ? », « où ? », « comment ? », « dans quel but ? », « pour quelle raison ? », etc.
Le complément circonstanciel de cause répond aux questions : « pourquoi, pour quelle cause ? » posées après le verbe. Il indique ce qui se passe d'abord. Observons : Pierre est puni à cause de son ami, à cause de Jean.
La conséquence est un fait qui résulte d'un autre fait. Exemple : Il est non voyant, donc il ne peut pas le voir. Il est non voyant : résultat ?
La subordonnée de conséquence (consécutive) est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de conséquence du verbe principal dont elle dépend et avec lequel elle établit un rapport logique.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
Le but est le résultat que l'on veut atteindre. La conséquence est le résultat atteint.
Les compléments circonstanciels de moyen répondent aux questions : comment ?, par quel moyen ?, avec quoi ? Ils indiquent donc le moyen utilisé pour réaliser l'action : J'irai en tramway. Je ne sais pas manger avec des baguettes.
Reconnaître le complément circonstanciel. Le complément circonstanciel se rattache au verbe et apporte une précision sur les circonstances (lieu, temps, manière, but, etc.) dans lesquelles s'est déroulée l'action.
Le complément circonstanciel de comparaison répond aux questions : « comparé à qui ? comparé à quoi ? »
Le complément d'objet direct est un mot ou (groupe de mots) qui se joint au verbe SANS PREPOSITION pour en compléter le sens. Il subit l'action accomplie par le sujet. - Il appartient au groupe verbal. - C'est un complément essentiel, on ne peut pas le supprimer car la phrase n'aurait plus de sens.
Le complément circonstanciel est un mot ou un groupe de mots qui nous apporte des précisions sur l'action décrite dans la phrase. Il peut nous renseigner sur le lieu, le moment, la manière, la cause, le but ou le moyen.
Une subordonnée circonstancielle indique les circonstances d'une action. On distingue des conjonctions de subordination de: -temps : quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que...
Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence. Elle a froid, c'est pourquoi elle tremble.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Ce qui est produit nécessairement par quelque chose, qui en est une suite logique : La décision est lourde de conséquences. 2.
Exemple : Il arrivait chaque jour en retard sous prétexte que sa montre retardait. Il est introduit par les locutions prépositives : à cause de(du), en raison de (du), grâce à, à force de + nom.
La négation peut être exprimée par le vocabulaire : préfixe négatif, préfixe non- ou encore un antonyme. On parle de négation lexicale. La négation peut être exprimée par un préfixe négatif (a-, an-, anti-, dé(s)-, il-, im-, in-, ir-, mal-). La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide.
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen.
La subordonnée de cause, appelée aussi causale, est une proposition qui assume la fonction de complément circonstanciel de cause du verbe principal dont elle dépend et avec lequel elle établit un rapport logique. Elle indique l'origine, la raison, la cause du fait principal.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause (ou subordonnée causale) indique l'origine, la raison d'un fait ou d'une action. Elle est introduite par une conjonction de subordination (parce que, puisque, comme, attendu que, vu que, étant donné que, sous prétexte que, non que, soit que… soit que…)