Résumé. – L'hypertension intracrânienne (HIC) est définie par l'existence d'une pression intracrânienne supérieure à 15 mmHg de façon durable. Les signes cliniques révélant une HIC sont, avant tout, des céphalées rebelles aux antalgiques, des vomissements en jet et des troubles visuels (œdème papillaire, diplopie).
Réduction de la pression intracrânienne
Les médecins prescrivent souvent de l'acétazolamide ou du topiramate par voie orale pour aider à réduire la pression intracrânienne. L'acétazolamide et le topiramate sont efficaces car ils réduisent la quantité de liquide céphalorachidien produit dans le cerveau.
Une imagerie par résonance magnétique (IRM) du cerveau est également réalisée à la recherche d'autres anomalies qui pourraient augmenter la pression intracrânienne. est réalisée pour mesurer la pression du liquide céphalorachidien et pour analyser le liquide.
Complications. La complication la plus néfaste de l'hypertension intracrânienne est l'engagement cérébral. Une cécité est également possible par compression du nerf optique.
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
Les variations de températures importantes peuvent donner mal à la tête : cela est dû à la vasodilatation ou la vasoconstriction des vaisseaux sanguins. La chaleur est ainsi un facteur déclenchant, tout comme le stress ou certains aliments comme le chocolat peuvent l'être.
L'hypotension intracrânienne spontanée (HIS) est une anomalie de répartition des volumes intracrâniens, due à une fuite rachidienne de liquide céphalorachidien (LCR), au dépend des espaces sous-arachnoïdiens qui ne peuvent plus assurer l'interface entre le névraxe et l'enveloppe ostéoméningée.
L'insuffisance cardiaque : en présence d'une hypertension, le cœur travaille davantage pour envoyer le sang dans toutes les artères du corps. Au bout d'un certain temps, il devient moins performant et se fatigue. Le besoin du cœur en oxygène devient plus important.
en première intention, un scanner (ou tomodensitométrie - TDM). Il est efficace pour repérer 80 % des tumeurs. Le scanner permet de confirmer ou non la présence d'une tumeur et, le cas échéant, de préciser sa position et sa taille. Le scanner permet d'obtenir des images du cerveau grâce à des rayons X.
L'hypertension intracrânienne idiopathique (HTICI) survient lorsque la pression à intérieur du crâne augmente sans raison apparente. L'hypertension intracrânienne est une maladie fréquente qui peut survenir chez les enfants, les adultes, on la retrouve fréquemment chez les femmes enceintes.
Question 3 – Quel est le seuil de traitement de l'hypertension intracrânienne ? La valeur normale de la PIC est comprise entre 0 et 10 mm Hg. Plusieurs seuils de traitement de l'HIC ont été proposés (15, 20, 25 mm Hg).
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
Si vous souffrez d'hypertension, vous souffrez peut-être de troubles du sommeil. Le médecin peut faire le lien entre les deux troubles. Son diagnostic se basera sur la manière dont vous dormez, si vous ronflez, si vous êtes fatigué au réveil et somnolent la journée.
En effet, quand quelque chose nous rend anxieux, le système nerveux sympathique déclenche une réaction de combat ou de fuite qui augmente la fréquence cardiaque, et par conséquence la tension artérielle.
La plupart du temps, l'hypertension peut donner des céphalées parfois importantes mais aussi des vertiges ou des acouphènes. En cas de poussée brutale d'hypertension, vous pouvez ressentir des céphalées importantes accompagnées d'une rougeur de la face, des bouffées de chaleur et un inconfort général.
Des picotements, des fourmillements, voire un engourdissement ou une paralysie, touchent la moitié du corps ou du visage, une main ou une jambe. Ils peuvent s'accompagner d'une difficulté à parler ou à comprendre son interlocuteur.
L'avant-bras est simplement posé sur une table de façon à ce que le coude soit au niveau du cœur. Le brassard se gonfle, puis se dégonfle automatiquement. Pendant la mesure, vous ne devez ni parler, ni bouger, ni serrer le poing.
Chez les patients souffrant d'hypotension spontanée, une IRM peut mettre en évidence la fuite de LCR ou une méningocèle. Si la brèche n'est pas localisée, le blood-patch lombaire est recommandé en première intention.
L'hydrocéphalie se manifeste par une quantité trop importante de liquide céphalo-rachidien dans le cerveau. Chez l'adulte, on distingue l'hydrocéphalie aiguë, chronique et à pression normale. Parmi les symptômes, elle provoque des maux de tête, nausées et vomissements.
La céphalée de tension se manifeste souvent par une douleur vive et brève derrière la tête au niveau du cou, mais qui peut aussi se prolonger. Ce type de mal de tête peut aussi être frontal et persistant.
L'apparition de fourmillements au niveau de la main et du bras fait partie des signes avant-coureurs de l'AVC et de l'ischémie cérébrale transitoire. Une prise en charge médicale rapide est indispensable si les fourmillements s'accompagnent d'autres symptômes comme des troubles de la parole et de l'équilibre.
Les causes possibles sont : la sclérose en plaque, l'accident vasculaire cérébral, les maladies inflammatoires et dégénératives du système nerveux central, la maladie de Parkinson.
Chez les personnes hypertendues, la prise de paracétamol au long cours augmente légèrement, mais significativement, la pression artérielle. Cet effet secondaire justifie un regain de prudence dans sa prescription aux personnes à risque cardiovasculaire.