La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de
Ce n'est que d'après les textes de la Bible qu'on peut apprendre quelque chose de la musique chez les Hébreux ; car, leur loi interdisant toute représentation de créatures animées, telles que des musiciens, ainsi que celle d'objets fabriqués, d'images taillées par la main des hommes, tels que des instruments de musique ...
C'est une mélodie chantée a capella (c'est-à-dire sans accompagnement d'instruments), à l'unisson (avec une seule voix) et sans rythme. Les moines, qui étaient les seuls à savoir écrire et lire, ont composé ces chants sur des parchemins. La musique profane a pour unique objet de distraire.
Selon les textes bibliques la musique a joue un grand role dans la vie du peuple de Dieu. Elle tenait une place importante aussi bien dans la vie quotidienne que dans la liturgie personnelle et collective.
La musique tient une place importante dans le rituel religieux. Elle change la disponibilité en aspiration et, par là, favorise l'approche du surnaturel. Toutefois, l'action transformatrice ne résulte pas d'une manifestation extérieure, d'un dédoublement analogue à une opération intellectuelle.
La musique profane, dite aussi musique séculière ou encore musique mondaine, regroupe les genres musicaux qui ne sont pas associés aux pratiques religieuses d'un groupe social donné. Le concept s'oppose donc à celui de musique sacrée.
Pour le Coran, c'est essentiellement le verset 6 de la sourate 31 qui est interprété comme un interdit de la musique : « Tel homme ignorant se procure des discours futiles (lahw) pour égarer les autres hors du chemin de Dieu et prendre celui-ci en dérision.
Selon le livre de la Genèse, Jubal fut le fils de Lémec et Ada (Genèse 4 : 19-21). La Bible le présente comme le père de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau.
Au-delà de la fonction du « maître de chant », dont la mention apparaît fréquemment dans le Psautier, le premier chantre lévite à être mentionné est Yedutûn (ydwtwn) aux Ps 39,1 ; 62,1 ; 77,1. Son nom apparaît encore fréquemment dans les Chroniques [5] et en Né 11,17.
La musique profane
Ce sont des chansons populaires ou des danses instrumentales interprétées dans les châteaux ou dans les village à l'occasion de fêtes. Cette musique est transmise oralement.
Ils portent différents noms selon les régions : les trouvères au nord de la Loire, qui s'exprimaient en langue d'oïl, troubadours au sud de la Loire, qui s'exprimaient en langue d'oc.
Étymologie. De l'italien solfeggio , du latin solfa (« gamme »), de sol-fa.
Bien que le mot "musique" ne soit jamais cité dans le Coran, elle est considérée comme impure par les djihadistes ainsi que par certains musulmans ultra-conservateurs.
La musique vecteur d'émotions
Pour lui la musique est un outil puissant car elle a été créée par Dieu à l'origine, avant même la création de l'homme, pour aider les anges à le louer ! La musique vient faire résonner notre corps pour être en harmonie avec Dieu.
Aucun article du Code du travail autorise ou interdit d'écouter de la musique au travail avec ou sans écouteurs. Toutefois, dans l'exercice de son pouvoir disciplinaire un employeur peut interdire aux salariés d'écouter de la musique au travail.
C'est Augustin, un chrétien des premiers siècles, qui aurait dit pour la première fois cette phrase devenue un incitatif puissant pour prier avec des chants. Ces mots d'un père de l'Église montrent que le chant fait partie de la prière chrétienne depuis les commencements. Le chant peut rapprocher de Dieu.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
Musique vocale et instrumentale
Par exemple, des psaumes, le chant grégorien, un oratorio, des negro spirituals, etc., constituent de la musique sacrée. La musique religieuse vocale peut être soutenue par un accompagnement instrumental ; dans le cas contraire, on dit qu'elle est interprétée « a cappella ».
Chant religieux en langue vernaculaire et destiné à être chanté dans les sanctuaires.
Une ou un hymne (nom féminin ou masculin) est généralement, dans le domaine religieux, un chant, un poème à la gloire des dieux ou des héros, souvent associé à un rituel. Dans la liturgie catholique, une hymne signifie un poème religieux, chanté notamment pendant l'office divin.
Sauf que c'est totalement faux s'agissant de l'islam (le Coran n'évoque nulle part la musique). Un seul verset (6ème de la sourate 31) fait vaguement allusion à la musique : « Tel homme ignorant se procure des discours plaisants (ou futiles) pour égarer les autres hors du chemin de Dieu et prendre celui-ci en dérision.
Dans un verset du Coran, Dieu s'adresse à Satan: «Subordonne de ta voix qui tu pourras.» Interprétation: la voix du Démon est la musique, donc la musique est interdite.
Mais, pour entrer en transe, la musique semble l'élément déterminant. Il s'agit d'une musique particulière, celle du djinn possesseur. Néanmoins, il est vraisemblable que l'effet de la musique soit préparé par l'ambiance qui règne dès le début des soirées de transe.
La musique savante est considérée en premier lieu comme une musique de tradition écrite , préservée sous la forme d'une notation musicale par opposition aux musiques populaires et traditionnelles transmises oralement ou par enregistrement.