Si vous avez des difficultés à rester à l'horizontale, ajustez la position de votre lestage, de votre bouteille et de votre gilet stabilisateur. Si vous craignez que votre plongée soit courte, pensez à remonter à une profondeur inférieure. Vous pourrez toujours remonter de quelques mètres pour utiliser moins d'air.
Le gilet stabilisateur et le lestage sont deux éléments qui vont ensemble. Si le lestage est trop lourd, vous compenserez en gonflant votre gilet. Ce sont ces gonflages qui consomment de grandes quantités d'air. De plus, si vous commencez à lutter contre un problème de surlestage, l'essoufflement peut vite arriver !
Pour cela, faites du cardio. Entrainez votre cœur à pomper à un bon rythme et essayez de respirer sur la bonne cadence. Comptez votre respiration pour qu'elle soit régulière. Vous régulerez ainsi votre ratio oxygène / monoxyde de Carbone, ce qui permettra de lutter contre l'essoufflement.
Mais en profondeur, la pression augmente, donc le volume d'air des poumons diminue sans que la quantité d'air ne change. Pour ne pas que ses poumons soient écrasés, le plongeur doit respirer l'air à la même pression que son environnement.
Votre consommation d'air est alors donnée par la différence de pression (avant - après) multipliée par le volume de la bouteille, puis divisée par la durée de la plongée. Vous obtenez ainsi votre consommation d'air en litres/minute.
De même, à 20 m il pourra rester 1800/60 = 30 min, et à 30m : 1800/80 = 22 min et 30 s Page 8 On peut noter : qu'en surface (pression = 1 bar), lors d'un effort modéré, la consommation d'air d'un plongeur est d'environ 15 à 20 litres par minute.
A ce jour, la date entre deux épreuves est de 2,5 ans. Donc, 2,5 ans après la date d'épreuve de mise en service, la bouteille de plongée doit subir une épreuve optique et cela même si la bouteille n'a pas été utilisée. Il en sera de même tous les 2,5 ans tout au long de la vie de la bouteille.
Les accidents lors de la remontée
Lorsque le plongeur se rapproche de la surface, la pression diminue. Les gaz présents dans ses poumons augmentent de volume. Ils font gonfler les poumons comme des ballons. Les dégâts peuvent être importants et aboutir au décès du plongeur.
Life est également présent malgré pressions colossales : à une profondeur de 10 000 mètres, la pression est de 1 tonne par cm2, comme si vous aviez 8 voitures sur un pied !
Avec un détendeur on ventile par la bouche, inspiration et expiration, plutôt qu'inspirer par le nez et expirer par le nez ou la bouche, comme la plupart d'entre nous en surface normalement.
Respirer. Pour faciliter vos coulées et glisser plus longtemps dans l'eau, pensez à bien expirer. Si vous gardez l'air présent dans vos poumons, vous flotterez davantage et votre corps aura tendance à remonter à la surface.
Pour cela il faut essayer d'avoir un bon alignement du corps qui se doit d'être le plus horizontal possible dans l'eau. Il faut bien gainer les fesses et les abdos pour empêcher le bassin et les jambes de plonger. L'utilisation d'un pull-buoy peut également aider à ressentir cette flottaison.
Là aussi, nous allons utiliser la même technique que pour la stabilisation : – Tout d'abord, avant d'entamer la remontée, on commence par prendre une inspiration, puis on la tient. – Ensuite, toujours en tenant son inspiration, on gonfle le gilet jusqu'à se sentir remonter lentement.
Un palier de décompression est une procédure toute simple à appliquer en fin de plongée. Il s'agit d'un arrêt de quelques minutes à une profondeur précise avant de regagner la surface. Les paliers ne sont pas les mêmes pour chaque plongées.
En plongée comme sur terre, on respire toujours de l'air ? C'est non pas dans ce que l'on respire, mais plutôt dans la façon dont on le respire, que réside toute la différence. La respiration terrestre est généralement nasale, alors que la respiration sous-marine est uniquement buccale.
Autonomie en plongée:
à 40 m = 5 bars. Consommation d'air à 40m = 20 litres/min. à une pression de 5 bars Quantité d'air disponible (avant 50 bars) : Q en équivalent surface = (200 – 50) * 12 = 1800 litres.
Le record de la plongée la plus profonde est détenu par l'américain Victor Vescovo qui a atteint 10 927 mètres lors de son exploration en 2019. Le submersible chinois quant à lui, a atteint la profondeur de 10 909 mètres.
Pression de l'air
L'air exerce une pression sur la surface de la Terre. Au niveau de la mer, le corps humain supporte une pression qui correspond à 1 kilogramme par centimètre carré. Cela veut dire que l'être humain moyen supporte environ une tonne d'air.
Débit : s'exprime en l/min ou m3/h. Correspond à un volume d'eau par unité de temps. Pression : se mesure en bar. Elle équivaut à la hauteur manométrique, soit 1 bar égal 10 mètres.
La détermination du nombre de paliers de décompression, de leur profondeur et de leur durée se fait à partir de tables de plongée. Si vous plongez une heure à une profondeur de 35m. Les tables indiquent un premier palier de 22 minutes à 6m de la surface, puis un palier de 50 minutes à 3m.
En respirant de l'oxygène pur, on ne peut pas dépasser les 6m de profondeur. Au delà d'une plongée de 25m on parle de plongée profonde. Au delà d'une plongée à 60m, on a besoin d'autre chose que de l'air comprimé en bouteille pour notre sécurité.
Nettoyage intérieur bouteille (à prévoir avant ce qui suit..) "Dégoupiller" la pomme d'arrosoir de la douche, faire couler de l'eau bien chaude dans la bouteille jusqu'à ce que cela déborde avec un peu d'huile intérieur.
L'air comprimé est le même que celui respiré sur Terre
L'air comprimé à 200 bars environ, emprisonné dans ces bouteilles métalliques étanches est, comme celui que nous respirons sur Terre, un mélange généralement composé à 78 % d'azote (ou diazote), à 21 % d'oxygène (ou dioxygène) et à 1 % d'autres gaz.
Entretien du bloc de plongée
Pour le stockage, il est important de le conserver droit et non couché. En effet, étant donné que le fond de la bouteille est plus épais que le tube, si il y a une présence d'eau ou d'humidité, elle va descendre au fond et donc cela ne va pas fragiliser le tube.