Réfléchir par soi-même, c'est donc d'abord avoir le courage de se poser des questions à chaque fois qu'on a un doute, même si cela est parfois difficile, et essayer de se forger une opinion personnelle en s'appuyant sur des arguments sérieux, auxquels on a réfléchi, et sur des valeurs auxquelles on tient.
Afin de « penser par soi-même », il faut prendre conscience des mots que l'on emploie, surtout les mots qui concernent un problème particulier sur lequel on aimerait penser ou une question qui tient à cœur.
Restez calme. Cela pourrait être plus facile à dire qu'à faire, mais un des facteurs les plus importants à prendre en compte pour réfléchir est le calme et si possible, la solitude. Détendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extérieures.
La faculté de penser par soi-même découlerait donc d'une faculté à exercer son esprit critique. Cet exemple démontre le crédit d'autrui sur l'innocence d'un enfant mais n'exclut pas pour autant que l'adulte soit tout aussi influençable.
La réflexion est l'action de réfléchir en concentrant votre pensée sur un problème, une question ou un sujet précis. L'idéal est de trouver un équilibre entre lecture, réflexion et écriture et action.
Prononcez la phrase à voix haute pour entendre les différents sens que donnent les différentes intonations. Pour apporter ces variations à votre façon de parler au quotidien, lisez à voix haute tous les jours et efforcez-vous de varier votre intonation sur différents mots pour exprimer différentes émotions.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
La méditation est l'art de regarder nos pensées sans s'y attacher. C'est une technique très intéressante pour mieux penser. En effet, on apprend à observer nos pensées et à ne pas s'identifier à elles. Nos pensées existent, c'est ainsi.
Bien penser ne nécessite pas uniquement une bonne focalisation, une attention adéquate, un objectif et de la volonté. Il s'agit aussi d'étendre les réseaux dans notre cerveau pour se souvenir de l'importance de travailler avec de l'information positive.
Faites une pause pendant une minute. Si vous remarquez que vous dites souvent « heum » ou « euh », cela indique généralement que vous n'êtes pas sûr(e) de ce que vous devez dire et que vous y pensez à voix haute. Si cela arrive, fermez la bouche et faites une pause pendant une minute.
Apprenez à dire « non », sans avancer de prétexte farfelu, simplement parce que vous méritez de vous faire passer en premier. Obligez-vous à répondre avec honnêteté : « Je ne suis pas disponible », « J'avais déjà prévu quelque chose », ou encore « Je dois me reposer car je suis fatiguée ».
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
1) La fatigue: la concentration nécessite de la vigilance. Laquelle fait forcément défaut après une mauvaise nuit, une journée harassante, la prise d'alcool ou de certains médicaments sédatifs ou anxiolytiques. Mais aussi quand on évolue dans un environnement bruyant.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
PSYCHO - Prendre de la distance avec ses pensées négatives, se remettre dans l'action et favoriser les émotions positives sont autant de conseils qui peuvent aider à arrêter de ruminer.
Ne parlez pas trop fort.
Faites en sorte de baisser votre voix quand vous parlez aux gens et attendez le bon moment pour attirer leur attention plutôt que de parler si fort que l'on soit obligé de vous écouter. N'interrompez pas non plus brusquement les gens pour essayer d'exprimer votre point de vue.
Parler avec constance, même si vous êtes avec beaucoup de gens, est un signe de classe, car cela signifie que vous avez suffisamment confiance en vous pour n'avoir pas besoin de crier pour attirer l'attention des gens.