La symptothermie, la méthode la plus complète
Modélisée par un médecin autrichien, cette méthode de contraception naturelle amalgame plusieurs indices physiologiques de fertilité : la fluctuation de la température corporelle, la modification des glaires cervicales, ainsi que la position du col de l'utérus.
La contraception naturelle, ça consiste tout simplement à écouter son corps. Variations de température, texture de la glaire cervicale, allaitement… Autant de moyens gratuits et biologiques pour éviter de tomber enceinte sans passer par la case pilule.
Toutes les méthodes de contraception dites naturelles ont en commun qu'elles visent à identifier la période de l'ovulation de manière à éviter d'avoir des rapports sexuels pendant cette période. On retrouve les suivantes : Le retrait. La symptothermie.
Le DIU, anciennement appelé stérilet au cuivre, est la contraception sans hormones la plus souvent recommandée. Ce dispositif en forme de « T » est placé dans l'utérus par un gynécologue ou une sage-femme et a une durée d'efficacité qui va minimum jusqu'à 5 ans.
La pilule augmente aussi le risque vasculaire, provoquant des infarctus ou des AVC. Ce risque augmente avec l'âge, surtout après 35 ans, mais aussi en cas de tabagie, de surpoids, d'hypertension, de cholestérol ou de diabète.
Selon l'étude, s'il n'existe pas de pilule qui ne présente aucun risque, la combinaison d'hormones la plus sûre serait du lévonorgestrel (deuxième génération) combiné à de l'éthinylestradiol dosé à 20µg (c'est par exemple le cas de la pilule Leeloo Gé).
À cette époque, un mélange de dattes, de miel et d'épines d'acacias broyés appliqué sur un tampon de fibres à mettre dans le vagin était d'usage. Selon des recherches biologiques, l'acide lactique fermenté contenu dans la gomme arabique, une sorte de latex de l'épine d'acacia, faisait effet de spermicide.
Le vinaigre n'est pas un moyen de contraception probant. Toutefois, selon le Dr Yasser Joha, gynécologue à Damas, il « est à l'origine d'une perturbation de l'équilibre bactérien naturel du vagin qui augmente les infections vaginales ».
"La menthe pouliot provoque le flux prémenstruel et aide à lancer un avortement automatique. Souvent elle est prescrite avec d'autres herbes pour éviter la grossesse.
Dans le journal The Nation, il suggère donc d'insérer une rondelle de citron - ou un coton imbibé de jus de citron fraîchement pressé - dans le vagin avant d'avoir des relations sexuelles.
Les produits chimiques végétaux qu'elles ont identifiés comme étant contraceptifs sont la primisterine et le lupéol. La première est contenue dans la "vigne du tonnerre divin", nom donné à une variété chinoise utilisée contre l'arthrite.
C'est aussi pourquoi prendre une douche après la relation sexuelle ne change rien aux chances de tomber enceinte. Les spermatozoïdes se trouvent piégés dans la glaire.
L'eau salée n'a aucun effet pour prévenir une grossesse, contrairement à la "pilule du lendemain".
Le Coca n'a qu'"un faible effet spermicide" et en outre la vélocité des spermatozoïdes leur permet d'échapper à l'effet de la douche vaginale, note-t-elle. Efficace pour faire briller les pare-chocs de voiture, le Coca n'est pas particulièrement recommandé pour la muqueuse vaginale.
Certains médicaments peuvent réduire le nombre de spermatozoïdes. La sulfasalazine (en cas de colite), la phénytoïne (un antiépileptique), la colchicine (en cas de goutte) et la nitrofurantoïne (en cas d'infections urinaires) peuvent réduire le nombre de spermatozoïdes.
Quelle boisson peut permettre d'avorter? Il n'y a pas de «boisson» qui permette d'avorter.
En laboratoire, M. Short soutient qu'une solution contenant 10 % de jus de citron s'est avérée très efficace pour réduire l'activité du VIH et qu'une cuillerée à thé de jus diluée dans deux cuillerées à thé de sperme a tué 100 % des spermatozoïdes en moins de 30 secondes.
Benoît Gallier. Cependant, c'est extrêmement rare. » Dans l'eau (piscine, douche, bain, eau de mer...), les spermatozoïdes meurent quasi-instantanément.
Il est possible que les femmes présentent des symptômes de grossesse 1, 2, 3, 4, 5 jours après rapport. Tiraillements au bas du ventre, maux de seins, nausées, pincements aux ovaires, fièvre, frissons, gonflement des seins et fluctuation de l'humeur sont les symptômes rapportés le plus fréquemment.
Pour l'hématologue Jacqueline Conard, pas de doute : "Sous Diane, le risque de thrombose est trois fois supérieur à la normale, de l'ordre de 3 à 4 sur 10 000. Il est plus élevé que pour les pilules de deuxième génération et même un peu plus, ou en tout cas du même ordre, que pour celles de la troisième".
Voici les marques de pilules de 2e génération les plus prescrites actuellement : Leelo Gé®, Microval®, Minidril®, Adepal®, Trinordiol®… L'Assurance maladie rembourse ces pilules de 2e génération à 65%. Les professionnels de santé prescrivent en priorité des pilules de 2e génération.
Quelle pilule fait grossir la poitrine ? L'augmentation du volume des seins constitue un effet indésirable peu fréquent lors de l'usage d'une pilule contraceptive. Cela peut arriver à certaines personnes, mais elle dépend de la sensibilité de chacune. Ainsi, aucune pilule en particulier ne fait grossir la poitrine.
La pilule contraceptive peut être arrêtée à tout moment, au début, au milieu ou à la fin de la plaquette. On peut d'ailleurs passer à un autre mode de contraception immédiatement après l'arrêt de celle-ci. En cas de doute, demandez l'avis d'un médecin.
Il n'existe aucun lien entre la stérilité et la prise de la pilule contraceptive.