Par exemple, attribuer au "véhicule A" des faits qui sont en réalité associés au "véhicule B", et vice-versa. Pour choisir entre A ou B, le mieux est de regarder le positionnement des véhicules. Si le vôtre est celui situé à gauche, alors considérez qu'il s'agit du "véhicule A".
On en compte 5 par semaine.. Vous devez envoyer ce constat à votre assureur, même si la partie adverse a refusé de le compléter ou de le signer. Vous pouvez envoyer le constat à votre assureur par mail, par courrier ou le lui remettre en mains propres.
Remplir le verso
Elle vient en appui de la partie recto mais ne la conteste pas. Ainsi, l'assuré doit y renseigner ses coordonnées personnelles (nom, prénom, profession…) en partie 1, puis celles du conducteur du véhicule au moment de l'accident (qui peut être différent de l'assuré) en partie 2.
Si vous cochez cette case, le constat (sans jeu de mots !) est sans appel : vous avez reculé droit dans le second véhicule impliqué. Ce n'était donc pas lui qui vous heurtait par l'arrière, mais bel et bien vous qui avez provoqué la collision. Dans la situation inverse, ne cochez surtout pas la case 8 !
Si un véhicule emboutit l'arrière d'un autre véhicule le précédant, les responsabilités sont à 100 % pour le premier. Si aucun ne change de direction quand se produit l'accrochage, les responsabilités sont partagées 50-50. En revanche, si l'un des deux véhicules changeait de file, il est à 100 % en tort.
La case n° 8 par exemple (heurtait à l'arrière en roulant dans le même sens et sur une même file) est une source d'erreur fréquente : vous devez la cocher si vous avez, vous-même, heurté un véhicule, mais non si le véhicule qui vous suivait vous a heurté…
Pour choisir entre A ou B, le mieux est de regarder le positionnement des véhicules. Si le vôtre est celui situé à gauche, alors considérez qu'il s'agit du "véhicule A". Ainsi, tant sur le papier que visuellement, les véhicules sont clairement identifiés pour que chacun puisse expliquer ce qui s'est passé.
Le verso doit être fourni par chaque conducteur en question, même si l'information au verso ne peut être opposée à l'assureur de la contrepartie, simplement dans le cas d'informations supplémentaires indiquant les circonstances de l'accident.
Chaque conducteur doit cocher la case qui correspond strictement à la situation du véhicule au moment des faits. C'est grâce à cette rubrique que la responsabilité de chacun va pouvoir être déterminée. Il est important de noter le nombre de cases cochées, en bas de cette rubrique.
Faites le croquis le plus détaillé possible : nom des rues, panneaux de signalisation, feux, etc. N'hésitez pas à prendre des photos. Attention : en cas de contradiction entre les cases et le croquis, ce sont les cases qui priment !
Un conducteur peut refuser de signer un constat : vous ne pouvez pas l'y contraindre ! Evitez de vous énerver et ne vous inquiétez pas. Informez-le, s'il conteste votre point de vue sur l'accident, qu'il existe une partie Observations sur le constat. Il peut à cet endroit-là faire état de son point de vue.
Si le refus de signer vient de la part du second véhicule, conservez le constat pour avoir une trace écrite de ses coordonnées et garder un mémoire les circonstances de l'accident. S'il refuse même de remplir le constat amiable, ce qui appuiera votre version et vos déclarations ce sont les témoins !
Si vous avez utilisé un constat papier, vous disposez au maximum de 5 jours ouvrés après l'accident pour le remettre à votre assurance, par courrier ou en mains propres. Passé ce délai, votre assureur peut refuser de prendre en charge le sinistre.
noter les circonstances exactes du sinistre et cocher les cases correspondantes ; faire un croquis fidèle de l'accident seul (position du véhicule, environnement, etc.) ; indiquer les dommages corporels et matériels consécutifs au sinistre ; relire le constat avant de le signer.
Sur le constat amiable , le croquis de l'accident doit être clair et reproduire le moment du choc. Tout d'abord, tracez les voies, placez les véhicules au moment de l'accrochage et indiquez le sens de circulation des véhicules avec des flèches. En dernier, précisez les panneaux de signalisation et le nom des rues.
Légalement la rédaction d'un constat amiable d'accident n'est jamais obligatoire. La seule obligation est de communiquer son identité et son adresse à toute personne impliquée dans l'accident lorsque celui-ci n'a provoqué que des dégâts matériels.
Pour être valable, le constat doit être : Rédigé de manière parfaitement lisible avec un stylo à bille sur les deux exemplaires (original et double). Signé par les deux conducteurs sur les lieux de l'accident.
Dessinez la position au moment du choc des trois véhicules impliqués, en signalant leur direction par des flèches. Identifiez-les par les lettres A, B et C et n'oubliez pas de préciser l'immatriculation du véhicule C, tiers au constat.
Si aucun ne change de direction quand se produit l'accrochage (d'un rétroviseur par exemple), les responsabilités sont partagées 50-50. Si B changeait de file, il est à 100 % en tort. » Le véhicule A est en stationnement régulier et le véhicule B le heurte.
Si le véhicule A parvient à démontrer (avec des preuves) que c'est parce que le véhicule B a reculé qu'il y a eu le choc, c'est le véhicule B qui sera déclaré en tort. Si la manœuvre de recul n'est pas prouvée, le véhicule tamponné à l'arrière sera déclaré en droit.
Pour un contrat d'assurance de base :
En cas d'accident en tort, votre assureur couvre uniquement les dommages causés aux tiers. Les dégâts subis par le véhicule loué restent à votre charge, de même que le montant de franchise inclus dans le contrat et les dommages corporels.
Pensez à relever l'immatriculation du véhicule même si le conducteur a la fâcheuse idée de prendre la fuite. Si des témoins ont assisté à la scène de l'accident, n'hésitez pas à indiquer leurs coordonnées. En cas de litige, leur avis est pris en compte. Les témoins doivent être impartiaux pour figurer au constat.