Méthodes pour que l'élève devienne acteur de son apprentissage. Impliquer l'élève dans le processus d'apprentissage est impératif afin de promouvoir sa réussite scolaire. Entrant dans le cadre d'une pédagogie active, cette méthode permet à l'élève de construire ses savoirs au moyen de situations de recherche.
La motivation est un élément moteur dans le processus d'apprentissage. Elle joue un rôle central pour favoriser l'engagement des élèves dans l'activité que propose l'enseignant en classe. Elle conditionne à la fois le degré d'attention des élèves et le niveau d'effort qu'ils vont y consacrer.
Les jeux de rôles, les études de cas, les débats critiques, les résolutions de problème, les votes interactifs ou les forums de discussion ne sont que quelques exemples de méthodes actives utilisées en milieu universitaire.
Ne rien faire, résister aux choses qu'on leur demande leur donne l'impression d'avoir le dernier mot. Vu sous cet angle, on ne gagne rien à gronder son enfant et à le traiter de paresseux. Une telle attitude, en effet, ne peut qu'augmenter sa volonté de vous résister.
La méthode démonstrative ; La méthode interrogative ou maïeutique ; La méthode active ou dite « de découverte » ; La méthode expérientielle.
La pédagogie active désigne un ensemble de méthodes pédagogiques qui ont toutes en commun la volonté de rendre l'étudiant acteur de ses apprentissages.
Les avantages de ce type de méthodes : – Elles amènent un apprentissage en profondeur : autoréflexion, analyse, pensée critique, argumentation. Cela correspond particulièrement bien aux compétences informationnelles (recherche, évaluation, gestion de l'information).
- Communiquer ! N'hésitez pas à communiquer avec votre enfant pour qu'il comprenne ce que vous dites, parce que votre inquiétude pour son avenir est souvent secondaire pour lui ! Il faut essayer de lui donner envie de travailler, car il saura que ça lui apporte quelque chose.
Tout d'abord, les étudiants éprouvent le besoin de réussir et de se réaliser : les étudiants ne seront incités à produire des efforts que s'ils estiment avoir une chance de réussir dans ce cours. En effet, la confiance dans ses propres capacités à réussir est un facteur essentiel de motivation.
Il est d'usage de distinguer cinq méthodes pédagogiques : expositive, démonstrative, interrogative, de découverte et expérientielle.
La notion de «participation active» renvoie au processus qui permet de renforcer la capacité des personnes à s'impliquer de manière constructive, et sur un pied d'égalité par rapport aux autres acteurs, dans le projet de retour au travail la concernant.
Le constructivisme
Si l'on suit l'idée constructiviste, il serait donc plus efficace d'apprendre (et donc d'enseigner) par des activités pratiques, des jeux et des échanges en groupe, que par un cours magistral, un livre ou une présentation.
En pédagogie active, l'apprenant accompagne souvent sa tâche par des explications. Son activité métacognitive favorise une meilleure mémorisation, appropriation des savoirs. Il tisse des liens entre les nouvelles connaissances / compétences et celles déjà acquises.
Nous distinguerons trois méthodes pédagogiques ; La pédagogie du modèle, la pédagogie du guidage et la pédagogie de la découverte.
Puis cette pédagogie active s'est répandue et c'est le pédagogue Adolphe Ferrière qui fut parmi les premiers à utiliser l'appellation d'école active dans ses publications.
La fiche de préparation est l'outil le plus élaboré. Il concerne une séquence (en général plusieurs séances). Cette séquence constitue une unité d'apprentissage dans laquelle une notion sera décortiquée en termes d'objectifs opérationnels et en termes d'activités qui en découlent pour les élèves.
La valorisation des élèves passe par le respect de leurs émotions et de leurs sentiments. Il s'agit donc d'installer un climat de classe le permettant (Voir Émotions). C'est lié au fait que les encouragements et compliments adressés puissent être ressentis comme authentiques par l'élève.
Il faut lui parler et l'écouter, sans le culpabiliser. Retrouver du plaisir. Et si cela persiste, n'hésitez pas à consulter un pédopsychiatre ou un psychologue scolaire pour faire le point et comprendre ce qui se passe, avant de se lancer dans des bilans.