Notre intelligence
Les chercheurs ont en tout cas émis des hypothèses sur les causes de cette baisse du QI : l'alimentation, le système éducatif, et l'usage des écrans.
Faire de l'exercice et manger sainement
Courir chaque jour est un bon moyen pour stimuler son esprit et garder sa santé mentale au beau fixe. C'est également le bon moyen pour prendre le temps de réfléchir sur les décisions difficiles à prendre.
Les poissons gras (maquereau, sardine, saumon...)
Elles jouent également un rôle dans l'activité des neurones. Une carence en oméga 3 serait à l'origine de l'altération des fonctions intellectuelles et des troubles de la mémoire 1.
Le running, le meilleur sport pour améliorer ses capacités cérébrales. Si l'activité physique ne génère pas de connaissance propre, elle prépare donc le cerveau à l'apprentissage.
Les légumes verts notamment l'épinard, le chou et le brocoli sont riches en antioxydants et en fer. Ces composants aident à favoriser la vivacité intellectuelle et réduisent la perte de mémoire. Un conseil : il faut manger 5 fruits et légumes par jour.
La cacao riche en flavonoïdes stimule le flux sanguin vers le cerveau et aide donc à stimuler les performances cognitives. Fraises, framboises, cassis...
Jeux de société, mots croisés, Scrabble ou Sudoku… Tous les moyens sont bons pour activer et stimuler votre fonctionnement cérébral. Mais l'entraînement, s'il peut être ludique peut aussi passer par un changement plus profond au quotidien.
Privilégier la lecture et les vidéos éducatives
Tout comme les nutriments pour le corps, la lecture s'avère primordiale pour le cerveau. Chaque jour, réserver 30 minutes à la lecture d'un site d'actualités ou d'un journal ne peut vous faire que du bien. Lisez tout, même les articles qui vous semblent ennuyeux.
On regroupe généralement les intelligences multiples en quatre types : les intelligences d'actions (interpersonnelle et intrapersonnelle), scolaires (linguistique et logico-mathématique), environnementales (naturaliste et musicale) et méthodologiques (visuo-spatiale et kinesthésique).
Les gourmandises naturellement riches en vitamines B
Il se choisit de préférence noir à 99% pour bénéficier au mieux de ses propriétés nutritives. Une véritable pépite pour booster son cerveau ! La banane est également riche en vitamine B mais aussi source naturelle de potassium et magnésium.
Lorsque nous invitons le Saint-Esprit à remplir notre esprit de lumière et de connaissance, il nous vivifie, en d'autres termes, il éclaire et éveille l'être intérieur 4. Nous remarquons alors une différence sensible en notre âme. Nous nous sentons fortifiés et sommes remplis de paix et de joie.
Une règle simple à retenir : ce qui est bon pour le corps est bon pour le cerveau. Pas trop de sucres, de graisses saturées ou d'alcool, de l'exercice quotidien et de bonnes nuits de sommeil. Mais d'autres activités sont préconisées pour éviter que les facultés du cerveau ne diminuent avec l'âge.
LES BAIES. APPORTS : même des baies communes et accessibles telles que les mûres sauvages et les myrtilles regorgent de vitamine C. Bien qu'on associe souvent ce nutriment au système immunitaire, le cerveau en a également besoin.
Dans un cerveau malade, la protéine tau s'effondre et se torsade, ce qui forme des amas de fibres enchevêtrées. Ces enchevêtrements empêchent les nutriments d'atteindre les cellules du cerveau, ce qui provoque leur mort.
Le thé est vivifiant
Le thé contient de la théine, reconnue pour booster la concentration et éviter les accès de fatigue. A la différence de la caféine du café, la théine est libérée progressivement dans l'organisme, grâce à la présence de tanins qui ralentissent son absorption dans notre corps.
C'est notamment le cas des oranges et des épinards qui boostent la mémoire, la concentration ou encore la logique. Les myrtilles et le raisin améliorent les fonctions cognitives tandis que le kiwi réduit le stress et la nervosité.
Les gènes de la mère, tout comme ceux du père d'ailleurs, contribuent au développement de l'intelligence chez l'enfant. Cependant, l'intelligence est aussi influencée par l'environnement dans lequel l'enfant grandit.
Une étude menée par la généticienne Danielle Posthuma de l'Université libre d'Amsterdam (Pays-Bas) en 2018 confirme que la génétique ne fait pas tout. L'analyse du QI et de l'ADN de 269 867 personnes estime que 1016 gènes sont impliqués dans l'intelligence et que le reste est déterminé par l'environnement.
Le développement de l'intelligence est déterminé à la fois par les gènes et par les expériences fournies par l'environnement. Toutes les études menées sur les bébés le confirment : les enfants naissent bardés de connaissances et possèdent tous les mécanismes d'apprentissage nécessaires pour développer leur cerveau.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
La course à pied (footing ou running) et le vélo permettent de libérer plus d'endorphines (hormones du bonheur) pour une sensation de bien-être et de relaxation après l'exercice. Les sports collectifs comme le rugby, le football ou le handball permettent d'améliorer la santé mentale et d'éviter les troubles anxieux.