En France, le salut se fait toujours en portant la main à la tempe quand le militaire est dans une tenue comportant une coiffe à moins d'être en armes. Saluer en portant la main au visage avec une arme sur soi revient à contredire le salut lui-même, initialement institué pour montrer l'absence d'arme.
Navires de guerre
Le gradé de faction rectifie la position, salue et effectue les coups de sifflet réglementaires (sur tribord, un son prolongé suivi d'un son bref puis la berloque trois sons brefs ; sur bâbord, un son prolongé suivi de deux sons brefs puis la berloque).
En réalité, sauf pour les officiers généraux qu'ils doivent appeler « amiral », et les officiers supérieurs (voire les officiers subalternes exerçant un commandement) qu'il convient d'appeler : « commandant » les civils ont le choix d'appeler un officier (subalterne) : « monsieur/madame le [son grade] » ou « monsieur/ ...
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
De plus c'est une règle, pas de salut militaire si le soldat n'est pas en uniforme ou tenu militaire. Donc en civil, il faut retenir que le salut militaire français n'est pas à effectuer.
Il s'agit de l'abréviation de « monsieur le général » et non de l'adjectif possessif « mon » ! Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur.
Mon général (peut-être abréviation ancienne de Monsieur le général), formule par laquelle tout militaire s'adresse à un officier de ce grade ; une femme dira simplement Général, et un civil pourra faire de même ; Monsieur le général peut être employé dans la correspondance, en formule d'appel ou de courtoisie.
L'absence du « mon » dans la marinen'est pas due à la défaite de Trafalgar qui reste une légende amusante et permet de bien se moquer des officiers de la royale.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
Il convient de rester couvert et de tendre la main pour saluer un subordonné masculin et de lui dire . Si la personne est votre supérieur Bonjour monsieur hiérarchique, il convient de dire sans se découvrir et Bonjour monsieur d'attendre que le supérieur hiérarchique vous tende la main.
Pour se présenter à une femme colonelle : « Mes respects colonelle ». Si un militaire reçoit un ordre ou est convoqué, par exemple par un adjudant, on remplace « mes respects » par « à vos ordres » : « – GAV X !
Les personnels de l'infanterie de marine sont surnommés « marsouins » et ceux de l'artillerie de marine « bigors ».
Le "mon" est l'abréviation de "monsieur le" (colonel, général, etc). Il s'agit d'une tradition militaire qui connait trois exceptions : L'officier à qui l'on s'adresse est une femme.
Bonjour madame / Bonjour monsieur
Ces deux dernières expressions sont spéciales dans le sens qu'elles sont les formulations les plus formelles pour saluer une personne. Le fait d'ajouter “madame” ou “monsieur” témoigne d'un certain respect, d'un certain bon ton. — Bonjour madame. — Bonjour monsieur.
Un salut et une salutation sont deux choses différentes. Par un salut de loin on montre qu'on a vu et reconnu l'autre. Un hochement de tête ou un sourire est suffisant, quand vous regardez l'autre dans les yeux et lui souriez aimablement.
Pour saluer, il faut regarder son interlocuteur, lui sourire et lui dire bonjour. Sourire, faire un clin d'oeil, serrer la main ou adresser un coucou sont aussi de bonnes façons de dire bonjour pour un tout-petit, surtout s'il est plutôt timide.
Dans les armées de terre et de l'air, les officiers sont appelés par leur grade précédés du « mon », contraction de « Monsieur ». Les officiers féminins sont appelés par leur grade sans le faire précéder du « mon » ou « madame ». L'amiral, le vice amiral et le contre amiral se feront appeler « amiral ».
A l'arrivée : " Bonjour, colonel ", dit l'administrateur ; et le colonel de répondre du tac au tac : " Bonjour, administrateur ". Au départ : " Au revoir, mon colonel. - Au revoir, Monsieur l'administrateur ", répondit le colonel.
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Combien gagne un amiral ? Un amiral gagne entre 5 558 € bruts et 6 321 € bruts par mois en France, soit un salaire médian de 5 940 € bruts par mois.
Le droit à pension est acquis après 30 ans de service effectif dans l'armée de terre ou 25 ans dans la marine. Le montant de la pension est de 200 francs pour un soldat ou un matelot et de 4.000 francs pour un lieutenant général ou un vice-amiral.
amiral, amirale, amiraux.
Soldate, subst. fém. a) Femme soldat.
Expression qui tire son origine du monde militaire. Pour se faire bien voir de son supérieur, il était de bon ton d'avoir le même avis que lui. L'expression est utilisée sur un ton moqueur et s'emploie pour dire que les deux éléments dont on parle sont possibles et envisageables.
George Smith Patton, Jr., né le 11 novembre 1885 à San Marino en Californie et mort le 21 décembre 1945 à Heidelberg en Allemagne, est un général « quatre étoiles » de l'Armée de terre américaine qui a notamment commandé la 7e puis la 3e armée américaine sur le théâtre européen des opérations de la Seconde Guerre ...