Pour ramener votre esprit dans le moment présent, prenez une grande inspiration et placez vos deux mains sur votre cœur, jusqu'à ce que les tensions s'apaisent. Fermez les yeux et respirez profondément, jusqu'à ce que vous ne puissiez plus respirer, puis relâchez l'air lentement, en détendant la mâchoire.
Apaiser ne signifie pas nier les désaccords, les difficultés ou la souffrance. Vers l'équilibre : s'accorder un temps d'écoute et d'accueil émotionnel avant de jouer la carte de la sérénité. Identifier clairement ses émotions perturbantes, les nommer et prendre le temps de ressentir leurs effets.
Pour atteindre la paix intérieure, il est essentiel d'apaiser notre esprit. Pour cela l'idéal est de réaliser des exercices de méditation, qui nous aideront à mieux affronter le quotidien, avec l'esprit plus détendu. Vous devriez consacrer une partie de la journée à retrouver la tranquillité par la méditation.
Marcher. Marcher, quel que soit l'endroit permet de lutter contre le stress et de réguler les émotions. Le mieux est de pratiquer la marche dans un espace vert, au contact de la nature, pour un effet relaxant immédiat.
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Arrêter ses pensées. Écrivez vos pensées. Si vos pensées vous distraient de vos activités quotidiennes et vous causent de la tristesse, des angoisses ou des soucis, la première chose à faire est de les écrire sur du papier. Écrivez toutes les pensées qui vous énervent de la plus stressante à la moins stressante.
Les symptômes physiques se résument surtout à des tensions musculaires, des problèmes digestifs et intestinaux, des troubles du sommeil (insomnies), des manques d'appétit, des migraines, des vertiges et de la fatigue.
Grâce à la méditation, on peut observer et interroger nos inquiétudes au lieu de les croire sur parole. Elles s'affaibliront et ressembleront à des simples problèmes, avec lesquels on peut cohabiter. Il est possible de coexister avec son cerveau anxieux, et de lui parler doucement à l'oreille.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
une pression routinière, au travail, à l'école, dans la famille ou encore pour tout autre responsabilité ; un stress provoqué par un changement soudain et imprévu, tel qu'un divorce, un changement de travail ou encore l'apparition d'une maladie ; un épisode traumatique : une catastrophe naturelle, un attentat, etc.