Spi (spinnaker) : voile d'avant très légère, hissée par vent arrière. Le Spi expose au vent une importante surface, au creux est marqué. Foc : d'une surface intermédiaire entre génois et tourmentin, il a un rôle essentiel dans les virements vent debout. Clinfoc : voile allongée, placée en hauteur.
Le spi et les gennakers sont des voiles dites « de portant ». Elles sont utilisées quand le vent vient plutôt du côté arrière du bateau.
Notre voilier comporte une voile à l'arrière, la Grande Voile (qu'on appelle aussi GV). Voyons comment elle est composée. Oeillet de ris. Ce sont des anneaux qui permettent de réduire la taille de la GV pour recevoir moins de vent (on dit prendre un ris).
La grand-voile qu'on appelle aussi GV est la voile principale située à l'arrière du mât. Elle se hisse le long de celui-ci et est maintenue par la bôme. La GV est la voile la plus polyvalente sur un bateau : elle fonctionne du près au vent arrière.
Noms des différentes voiles
Elles sont nommées selon leur taille et leur coupe (de la plus petite à la plus grande) : tourmentin, solent, foc, foc ou génois inter (entre le génois et le foc), yankee, génois, et reacher (génois très creux).
Le foc désigne alors une voile de plus petite taille. Lorsque la force du vent croît, des voiles dont la coupe est de plus en plus plate et le grammage de plus en plus fort sont utilisées sur les voiliers disposant d'une garde-robe complète (généralement des voiliers de régate).
Le terme de «voile intégral» recouvre plusieurs tenues vestimentaires : le niqab (voile qui dissimule tout le corps, y compris le visage, à l'exception des yeux), le sitar (voile supplémentaire qui cache y compris les yeux que certaines femmes en jilbab font descendre le long du visage pour le couvrir) et la burqa ( ...
Les conditions du hijab légiféré sont au nombre de 8 :
Couvrir entièrement le corps excepté le visage et les mains. Ne pas être une parure (joli et attirant l'œil) Etre épais et non transparent. Large de sorte à ce qu'aucune partie du corps ne soit moulée.
Dans la brise, quand le génois est en grande partie enroulé sur lui-même, il n'est plus très efficace, et en outre il vieillit très vite en raison des gros efforts exercés sur le tissu. Il faut donc gréer une trinquette.
En effet, un orin doit être bien à la verticale de l'ancre et donc avoir un cordage calculé en fonction de la profondeur. Trop court, la bouée sera sous l'eau et aura tendance à faire "flotter" l'ancre en gênant sa bonne accroche.
La proue est la partie avant d'un bateau. La première image qui nous vient alors est celle des figures de proue accolées aux bateaux de pirates. La poupe, du latin “puppis”, est quant à elle la partie qui se trouve à l'arrière du bateau.
Origine. L'association IMOCA est née après le premier Vendée Globe avec le désir d'établir des règles de jauge pour les monocoques de 60 pieds. Ses membres fondateurs sont Isabelle Autissier, Christophe Auguin, Alain Gautier et Jean-Luc Van Den Heede.
Les voiles carrées :
Hunier : voile du mât de hune, au-dessus des basses-voiles. Petit hunier, sur le mât de misaine. Grand hunier, sur le grand mât. Civadière : petite voile gréée sous le mât de beaupré.
Le foc étant une voile triangulaire, elle a donc, trois angles… le point de drisse : angle situé au sommet du foc lorsqu'il est hissé. C'est l'endroit où la drisse utilisée pour hisser la voile est fixée, le point d'armure : angle attaché au point fixe du bateau.
Le niqab laisse les yeux visibles alors que la burqa moderne intègre une grille ou un voile léger destiné à masquer le regard.
Le hijab, célébré dans une vidéo réalisée par le Conseil de l'Europe, correspond au voile «générique». On l'emploie pour parler du voile islamique le plus répandu, celui qui couvre tête et cheveux mais pas le visage. Le niqab, lui, est un voile masquant l'intégralité du corps, visage inclus à l'exception des yeux.
Le tchador est une des façons de respecter la façon dont une femme doit s'habiller afin de suivre le code vestimentaire islamique, le hijab. Ce code vestimentaire islamique est une interprétation des versets du Coran, 24:31 et 33:59.
Quand le bateau est approximativement perpendiculaire au vent, on appelle ça le reaching. Un reaching au petit largue est serré par rapport à la direction du vent, et au grand largue est un peu plus écarté du vent (un vent de travers est quand le vent est exactement à un angle droit du bateau).
On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
Le vent debout, vent qui souffle directement sur l'étrave n'est pas une allure dans la mesure où le voilier ne peut pas progresser. Cet angle dans lequel le voilier est face au vent mesure entre 30° et 45° (30° pour les voiliers de course les plus performants et 45° pour les voiliers de croisière).
Lors des changements de cap, les équipiers doivent choquer les voiles simultanément en laissant du mou sur les écoutes dès que le bateau s'écarte du vent (le barreur abat). A l'inverse, ils doivent les border quand le bateau se rapproche du vent (le barreur lofe).
Il sera juste utilisé au moment de l'affalage pour ramener le point d'amure vers l'arrière. L'envoi du spi peut alors se dérouler sans précipitation en plaçant le voilier à environ 150-160° du vent et en choquant bien la grand-voile (c'est important, car le spi en restant dernière elle est déventée).
Empanner consiste à passer d'un bord sur l'autre avec le vent dans le dos. Comme pour le virement de bord, les voiles vont donc changer de côté. Dans un empannage, le vent va cueillir la grand-voile par l'arrière et accélérer le passage de la bôme d'un bord sur l'autre, parfois violemment.