Une apocope, du grec ἀποκόπτω / apokóptô, « retrancher », est une modification phonétique, parfois utilisée comme figure de style, qui se caractérise par l'abréviation du mot complet, en gardant uniquement son ou ses premiers phonèmes ou syllabes (vocaliques ou consonantiques), par exemple « auto » pour « automobile ».
Curieusement, leur étymologie ne nous précise pas que l'apocope retranche la fin du mot, alors que l'aphérèse est son contraire puisqu'elle en supprime le début.
troncation
Procédé d'abrègement consistant à supprimer une ou plusieurs syllabes à l'initiale ou, plus souvent, à la finale d'un mot. (Par exemple pitaine pour « capitaine », prolo pour « prolétaire ».)
Chute d'un ou de plusieurs phonèmes à la fin du mot par suite d'une évolution phonétique (en ancien anglais ic singe > I sing, «je chante») ou d'un abrègement (par exemple cinéma[tographe], métro[politain]).
En linguistique, l'aphérèse (du grec ancien : ἀφαίρεσις aphaíresis, « ablation ») est une modification phonétique impliquant la perte d'un ou plusieurs phonèmes au début d'un mot. L'aphérèse est un métaplasme s'opposant à l'apocope.
Issu du grec ancien « ἀποκόπτω » ou « apokóptô » (signifiant « retrancher »), l'apocope désigne un procédé linguistique de troncation d'un mot : la partie finale du mot complet est alors élidée, donc supprimée, pour ne garder que les lettres ou syllabes initiales.
L'oxymore et l'antithèse sont des figures de style d'opposition. Dans l'antithèse, deux mots ou deux expressions s'opposent. L'oxymore fonctionne comme l'antithèse, mais à l'intérieur d'un même groupe de mots.
ainsi, bien, comme, comment, debout, ensemble, exprès, mal, mieux, plutôt, vite, volontiers, etc. -> adverbes de quantité et d'intensité : assez, aussi, autant, beaucoup, combien, comment, davantage, environ, guère, mais, moins, pas mal, peu, plus, presque, quelque, si, tant, tout, tout à fait, tellement, très, trop...
L'adverbe et pronom relatif où s'écrit avec un u accent grave, ce qui le distingue de la conjonction ou. Où peut marquer le lieu aussi bien que le temps : c'est le café où nous avions rendez-vous ; par où êtes-vous entré ? ; le jour où nous l'avons rencontré ; c'est l'année où j'étais aux États-Unis.
Lorsque le verbe se termine par « é », « és », « ée », « ées », il s'agit de la terminaison du participe passé d'un verbe du premier groupe. ► Exemples : mangé, pensé, rêvé, etc.
comment allez-vous? ¿Cómo está usted? exp. Comment ça va ?
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
doux → douce → doucement. fort → forte → fortement.
que, puisque, parce que, alors que, afin que, si bien que, etc. quand, comme, si.
Définition de oxymore nom masculin
Figure de style qui consiste à allier deux mots de sens contradictoires. Exemple d'oxymore : « une douce violence ».
litote., pléonasme. Figure de style réunissant deux termes antinomiques (opposés, de sens contraire).
Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires. (Exemple : un silence éloquent.)
1er cas : Ciento devient « Cien »
Quand « ciento » est placé devant un nombre qu'il multiplie ou quand il se trouve devant un nom commun, alors il devient « cien » ? Il perd le « to ».
On utilise Para pour exprimer une finalité ou un objectif futur. Por est utilisé pour exprimer un moyen ou une cause. On utilise Para pour exprimer une finalité ou un objectif futur. Souvent, la maîtrise d'une langue se reconnaît à ses détails, alors il ne faut pas négliger ces derniers.
En résumé, para sert généralement à exprimer un but, une finalité ou une destination. Il est donc plutôt tourné vers le futur et sert de passerelle vers les événements à venir. Por, en revanche, sert généralement à décrire une cause. Il est donc plutôt tourné vers le passé.
Liste des principales conjonctions de subordination simples : que, si, comme, lorsque, quand, quoique, puisque. Liste des principales locutions conjonctives (conjonctions composées) : afin que, de sorte que, pendant que, parce que, dès que, tandis que, après que, avant que, de peur que.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques. "Mais où est donc Ornicar ?" (dans certains pays, moins fréquemment : "Mais où est donc Carnior ?")
En langue italienne, "Comment ça va?" se dit "Come stai?".