Le nom du mâle et de la femelle est hirondelle et le bébé est un hirondeau. La durée de vie de l'hirondelle est de 5 à 12 ans selon l'espèce.
La femelle est semblable au mâle, mais ses filets sont plus courts, le bleu du dessus et de la poitrine est moins glacé, et le dessous est plus pâle. Les jeunes sont plus ternes, avec une tête d'un roux plus pâle et un dessous plus blanc. Il leur manque également les longues plumes caudales de l'adulte.
Dès que les petits (hirondeaux) sont autonomes, les hirondelles se mettent à préparer la migration suivante en accumulant les réserves de graisse nécessaires. Mais avant d'être autonome, chaque oisillon semble se résumer à un bec tant celui-ci est ouvert, attendant que ses parents lui apportent de quoi se nourrir.
Hirondelles et martinets ne sont pourtant pas si proches. Les martinets sont des apodidés, ce nom vient de leurs pattes très petites, presque invisibles, alors que les hirondelles sont des hirundinidés. Ces deux oiseaux sont en fait plus différents par leur comportement que par leur morphologie.
Ceux-ci sont beaucoup plus longs chez le mâle que chez la femelle. L'espérance de vie d'une hirondelle est, en théorie de 10 à 11 ans, mais dans les faits, cet oiseau migrateur ne vit guère au-delà de 4 ou 5 ans.
Elles passent ainsi la nuit dans des roselières, volant au-dessus pendant un moment avant de descendre dans les roseaux. Les roselières constituent une importante source de nourriture pour les hirondelles avant et pendant la migration.
Cris et chant de l'hirondelle
Elle lance son cri quand elle est en vol et quand elle arrive dans son nid.
Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu'il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n'est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.
Lorsqu'ils volent en groupes, ils crient tous ensemble, créant ainsi un son continu, ondulant et haut-perché, souvent entendu autour des immeubles et des monuments en été, témoins des colonies de nidification.
Le lien de cause à effet n'est pas évident : certains pensent que si cet oiseau vole bas, c'est pour se protéger de la violence des vents générés par le nuage d'orage. La raison est plus simple que cela, les hirondelles suivent leur unique proie : le moucheron. Durant un orage, l'insecte est comme attiré par le sol.
Il en possède bien, mais tellement atrophiées qu'il évite au maximum de s'en servir. Pour autant, il reste capable de s'envoler, s'il n'est pas malade ou fatigué, lorsque les hasards de la vie l'ont amené à terre : il lui faut cependant un sol assez dégagé pour pouvoir agiter les ailes sans être gêné.
Les rassemblements en matinée sur les fils annoncent les départs imminents. Elles partent alors en groupe lâche sur un large front, effectuant 200 à 300 km par jour. Elles se déplacent à une vitesse de 40 à 50 km heure souvent à moins de 100 mètres du sol.
Non au contraire, les hirondelles comme vous le savez sont fidèles à leur site de reproduction et reviennent d'année en année nicher au même endroit. C'est donc un grand service que vous rendez en laissant intacts les nids qu'elles ont construits les années précédentes.
La femelle pond donc de 3 à 6 oeufs qu'elle va couver durant 14 à 15 jours, grâce à sa plaque incubatrice (partie du ventre de la femelle dégarnie de plumes pendant la couvaison), la femelle va assurer une température constante des oeufs.
Prédation : Les principaux ennemis de l'hirondelle sont les moineaux qui concurrencent celle-ci en volant ses nids et en détruisant sa progéniture. C'est généralement la femelle qui se charge de repérer le moment ou les deux parents hirondelles sont absents pour s'installer confortablement dans leur nid.
Le mâle conquiert ainsi la partenaire convoitée, qui de son côté s'assure qu'elle disposera de provisions suffisantes pour la nidification et l'incubation. Les liens du couple.
Parfois même, si le temps pluvieux persiste, ils s'élancent dans une mini-migration incroyable de 2000km pendant plusieurs jours. Car les insectes ne volent pas si la pluie s'installe.
De même, quand il pleut, les insectes ne volent pas, ou presque pas, et il n'y a pas grand intérêt à sortir se faire tremper le plumage... Ou alors, comme la Hulotte le décrit dans son numéro 79, les Martinets sont obligés de partir loin pour éviter les précipitations, ne revenant pas au nid avant de longues heures.
"Ils dorment peut-être en planant"
Chaque jour au crépuscule et à l'aube, les martinets noirs montent jusqu'à une altitude de 2000 à 3000 mètres, note Anders Hedenström.
Le martinet noir est très différent des hirondelles. D'ailleurs, génétiquement, il s'approche plus des colibris que de ces dernières. Cet oiseau ne se pose pratiquement jamais et passe sa vie en vol.
Le corbeau arrive souvent en bonne position. En tout cas, il est considéré, en général, comme l'oiseau le plus intelligent, même si la mémoire du perroquet lui permet de résoudre bien des problèmes.
1 - Le quetzal resplendissant
Le quetzal resplendissant fait partie de ces beaux oiseaux extraordinairement colorés. Il a donné son nom à la monnaie du Guatemala.
Lorsqu'une hirondelle vole bas, l'orage n'est pas loin. C'est une phrase que l'on entend couramment en France, et l'expérience nous montre qu'il y a là un semblant de vérité.
Les hirondelles volent bas avant l'orage car elles suivent les insectes dont elles se nourrissent (les moucherons par exemple). Eux sont sensibles à la pression atmosphérique et volent bas avant l'orage car ils ont du mal à décoller, leurs ailes sont alourdies par l'air humide.
L'Hirondelle de fenêtre vole également à très haute altitude ; parfois elle frôle le sol ou l'eau du bout des ailes ou de son ventre. Il arrive qu'elle se pose au sol, sur le sable humide par exemple, notamment pour récupérer des matériaux pour la construction de son nid.