Apogée de la célébrité.
1. Renommée éclatante, célébrité, grand prestige dont jouit quelqu'un dans l'esprit d'un grand nombre de personnes : Un artiste au sommet de sa gloire. 2. Ce qui constitue l'occasion d'une légitime fierté, d'un orgueil justifié, ce qui suscite l'admiration : Cette découverte est sa plus grande gloire.
verbe transitif. Proclamer la gloire de (qqn, qqch.). ➙ célébrer, exalter. Glorifier une révolution.
célébrité, éclat, grandeur, honneur, notoriété, prestige, renom, renommée.
adjectif. (choses) Qui procure de la gloire ou qui est plein de gloire. ➙ célèbre, fameux, illustre, mémorable. Glorieux exploits.
Dans la Bible, la gloire de Dieu est sa qualité de présence qui se manifeste à l'homme.
Du grec ancien δόξα , dóxa (« gloire »).
Qui est ce roi de gloire ? C'est le Seigneur, le fort, le vaillant, le Seigneur, le vaillant des combats. Portes, levez vos frontons, levez-les, portes éternelles : qu'il entre, le roi de gloire !
Le « Royaume des Cieux » est le lieu où se trouvent Dieu, les saints, les anges, etc. Pour les chrétiens. On dit plus simplement « le Ciel ».
Gloire à Dieu, au plus haut des cieux, Et paix sur la terre aux hommes qu'il aime.
A 8 ans, il monte sur le trône
Au début était un enfant nommé Josias, qui naît vers 640 avant J. -C. à Jérusalem, où il grandit auprès de son père, le roi Amôn. Ce souverain ne faisait pas l'unanimité, nous dit la Bible, parce qu'il avait fait «tout ce qui est mal, aux yeux de Yahvé, comme Manassé, son père».
« Et la gloire de l'Éternel apparut à tout le peuple, et le feu sortit de devant l'Éternel, et consuma sur l'autel l'holocauste et les graisses , et tout le peuple le vit, et ils poussèrent des cris de joie et tombèrent sur leurs faces » (Lév. 9:23-24). C'était aussi une apparition en grâce .
Dans le Nouveau Testament, écrit en grec de la koiné, le mot utilisé est pneuma (πνεῦμα) qui signifie également « souffle de Dieu » qui correspond à l'hébreu Ruah ; mais on trouve aussi, selon le contexte, le mot Paraclet.
Proverbe français.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Origine. Dans la Bible, la grâce divine est la faveur gratuite de Dieu aux croyants. Paul de Tarse, dans ses épîtres aux Galates et aux Romains, traite abondamment du salut par la grâce. Ces textes justifient les débats ultérieurs sur ce sujet, débats qui se réfèrent tous à l'œuvre paulinienne.
gloire, grandeur. 1. [À propos d'une puissance divine] Insulte à la majesté de Dieu; majesté céleste, divine, suprême.
Le paraclet est, chez les chrétiens, un des noms du Saint-Esprit. Ainsi, selon le catéchisme de l'Église catholique : « Jésus, lorsqu'il annonce et promet la venue de l'Esprit Saint, le nomme le « Paraclet », littéralement : « celui qui est appelé auprès », ad-vocatus (Jn 14, 16. 26 ; 15, 26 ; 16, 7).
L'eau, l'onction, le feu, la nuée et la Lumière, le sceau, la main, le doigt, la colombe.
Le Saint-Esprit est le troisième membre de la Divinité. C'est un personnage d'esprit, sans corps de chair et d'os. Il est souvent appelé l'Esprit, l'Esprit-Saint, l'Esprit de Dieu, L'Esprit du Seigneur ou le Consolateur.
Il consiste à prendre conscience que Dieu est présent, nous voit, nous entend, nous investit et nous pénètre, bref qu'il nous aime. Peut-être nous figurerons-nous alors Dieu sous différentes formes, comme nous l'avons vu figuré dans quelque vitrail, statue, tableau : mais ces imaginations ne sont pas présence.
Le péché, ce n'est pas seulement un acte de notre part, mais c'est aussi qui nous sommes. Nous sommes incapables « d'atteindre » Dieu. Nous sommes « privés de la gloire de Dieu. » Ou bien la gloire que Dieu nous avait donnée, nous l'avons « perdue. » Cela n'est pas le plan de Dieu pour l'homme.
Le saint, grâce à ses rapports privilégiés avec Dieu, est le premier bénéficiaire des manifestations divines : visions, apparitions, voix, signes divins (apparitions d'animaux, stigmatisations).
On le dépeint à la fois puissant et cruel, mais au final, il ne s'avère jamais vainqueur. Dans le récit des origines de Jésus de l'évangile de Matthieu, Hérode joue ce rôle. Au temps de la naissance de Jésus, Hérode est à la fin de son règne sur la Judée.
Les deux récits de l'enfance de Matthieu et Luc indiquent que la naissance de Jésus eut lieu sous le règne du roi Hérode le Grand : « Jésus étant né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode » (Mt 2, 1) ; « Du temps d'Hérode, roi de Judée, [...]