Ainsi, selon Le bon usage de Grevisse, les signes de ponctuation sont : le point (.), le point d'interrogation (?), le point d'exclamation (!), la virgule (,), le point-virgule (;), le deux-points (:), les points de suspension (…), les parenthèses ( ), les crochets [ ], les guillemets « », le tiret (—) et la barre ...
On recense traditionnellement en français onze signes de ponctuation qui s'insèrent dans le texte : le point . , le point d'interrogation ? , le point d'exclamation ! , la virgule , , le point-virgule ; , le deux-points : , les points de suspension … , les parenthèses ( ) , les crochets [ ] , les guillemets « » , le ...
Les points de suspension (…), aussi appelés trois points ou anciennement points suspensifs, indiquent que la phrase est laissée en suspens (comme l'indique le terme suspension), soit parce que le locuteur a été interrompu, soit parce que l'auteur veut marquer une pause; il revient alors au lecteur d'imaginer la suite.
Le point final doit être distingué du point abréviatif, qui s'emploie à la fin d'un mot abrégé pour indiquer la troncation, et qui n'est pas suivi d'une majuscule. En fin de phrase, le point abréviatif se confond avec le point final (on utilise un seul point et pas deux).
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
Les signes de ponctuation sont des signes écrits permettant d'ordonner le sens des phrases et des propositions. Il est très important de les utiliser pour être bien compris quand on rédige à l'écrit et de les connaître pour faire une bonne lecture d'un texte. Le point sépare des phrases.
La phrase interrogative, servant essentiellement à poser une question, peut se présenter sous la forme d'une interrogation directe, qui prend un point d'interrogation, et d'une interrogation indirecte, qui n'en prend pas.
Comme l'anaphore, l'épiphore peut être utilisée par tous les genres littéraires.
On utilise le deux-points pour annoncer ce qui s'en vient dans le texte, que ce soit un exemple, une énumération, une explication, une citation, un discours direct, une analyse ou un récit. Le deux-points sert aussi à annoncer un jugement, une synthèse, une conclusion, une cause, une conséquence, etc.
Les points de suspension sont représentés par trois points alignés horizontalement au niveau de la ligne de base d'écriture : classiquement par la suite de trois fois le caractère « point » ‹ ... › ou par le caractère unique « points de suspension » ‹ … ›.
Le trois-points d'III exhibe que le locuteur se décharge, comme dans les autres cas de communication implicite, du contenu inférable, et conduit à son tour à saisir d'autres attitudes qui en découlent : hésitation, réserve, pudeur, etc., son « silence [est] éloquent ».
Le point d'exclamation (« ! ») sert à exprimer un sentiment, comme la joie, l'étonnement, la crainte, l'admiration, l'indignation, l'ironie, le chagrin, la douleur, etc. Il accompagne habituellement un cri, une injure, une interjection, une apostrophe, un ordre, une imploration, etc.
Le point (du latin punctum, d'où ponctuation) est un signe de ponctuation qui sert à marquer la fin d'une phrase, d'un syntagme, d'un groupe de sens important, et peut donc marquer graphiquement une pause relativement longue dans un énoncé.
La ponctuation permet d'organiser et de présenter le texte, d'une part, et de faciliter la compréhension du texte, d'autre part. Elle complète le message transmis par les lettres et les mots en ajoutant d'autres informations.
Le point fait partie des signes de ponctuation les plus anciens. S'il servait jadis à séparer les mots ou des groupes de mots, il permet à présent de marquer la fin d'une phrase. Dans ce cas, il est obligatoirement suivi d'une majuscule. Le point est directement collé au dernier mot de la phrase, sans espace.
Quatre types de phrases
À chacun des quatre actes de langage fondamentaux correspond un type de phrase. Il y a donc quatre types de phrases : la phrase déclarative (ou assertive), la phrase interrogative, la phrase impérative (ou injonctive) et la phrase exclamative.
Les formes de phrases. Les phrases sont ainsi classées par types (déclarative, interrogative, exclamative, injonctive), mais elles peuvent aussi prendre différentes formes : l'affirmation/la négation, la voix active/la voix passive, la forme personnelle/la forme impersonnelle et la forme neutre/la forme emphatique.
La phrase simple est une phrase qui contient un seul prédicat. Le noyau du prédicat est, le plus souvent, un verbe, la plupart du temps à une forme conjuguée. La phrase complexe est la réunion de plusieurs phrases simples qui deviennent alors des sous-phrases.
On met une majuscule au mot qui suit le point d'interrogation si l'on considère que le point d'interrogation termine la phrase; une minuscule si l'on considère que la phrase se poursuit.
Le nombre qui remplace le point d'interrogation doit donc permettre d'obtenir 30, aussi bien sur l'horizontale que sur la verticale. Sur la 2e ligne, on a 14 + 6 = 20. Pour obtenir 30 comme somme, il faut ajouter 10.
- La phrase déclarative permet de donner une opinion ou de raconter un événement. - La phrase interrogative permet de poser une question. - La phrase impérative permet de donner un ordre ou un conseil. Dans le test suivant, vous devez dire le type de phrase dont il s'agit.
Une émotion masquée
Ils apportent une information supplémentaire de l'ordre de l'émotion au seul énoncé strict", décrit Louise-Amélie Cougnon. Il s'agit généralement d'un sentiment masqué, ce qui relève bien souvent d'un réflexe de pudeur ou d'orgueil, selon le psychologue et psychanalyste Michael Stora.
Quand utiliser les points de suspension ? Les points de suspension, qui sont toujours au nombre de trois, servent à indiquer : qu'une phrase est inachevée : N'insistez pas, dit-elle, je ne peux pas croire…
Fonctions. Le point d'exclamation (« ! ») sert à exprimer un sentiment, comme la joie, l'étonnement, la crainte, l'admiration, l'indignation, l'ironie, le chagrin, la douleur, etc. Il accompagne habituellement un cri, une injure, une interjection, une apostrophe, un ordre, une imploration, etc.