Senior Member. bibliophobe, mais attesté seulement comme adjectif.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
Des mauvaises habitudes acquises, comme survoler un texte plutôt que lire en profondeur, passer du coq à l'âne, zapper sans arrêt : tout cela mène vers une plus grande intolérance à l'ennui et une réticence à se plonger dans un texte. Heureusement, il est fréquent que le goût pour la lecture renaisse à l'adolescence.
Entrée dans la vie active, fatigue, stress, esprit encombré, manque de temps ou d'inspiration, pile qui déborde... Les raisons qui peuvent vous pousser à abandonner la lecture sont nombreuses.
Moralité, les jeunes ne maîtrisent plus la conjugaison et les règles grammaticales. Les raisons profondes de cette « crise de la lecture» sont à chercher dans les environnements scolaire et même universitaire, le faible niveau des élèves, les programmes dépassés et inadaptés…
Les habitudes des plus fortunés
Les personnes très aisées optent pour du contenu leur permettant de s'améliorer ou de continuer à apprendre. Cet objectif est également retrouvé dans leurs autres occupations. "Les riches sont des lecteurs avides lorsqu'il s'agit d'apprendre à progresser.
Selon les données du ministère de la Culture, le fait que les jeunes lisent moins, couplé au vieillissement de la population, tend à faire diminuer la pratique de la lecture.
Conjuguer la lecture avec d'autres centres d'intérêts ; s'initier avec les livres audio voire lire à voix haute le soir ; ne plus penser la lecture comme une simple injonction éducative ; se rendre en librairie…
Qu'est-ce qu'une panne de lecture ? Une panne de lecture est le moment où, peu importe le livre qu'on lise, qu'il soit bien ou non, on aura toujours du mal à s'y intéresser, à avoir envie de le lire et de se plonger dans une lecture.
« L'incapacité à lire est souvent l'un des premiers symptômes de la dépression, ajoute Frédéric Fanget. Il est nécessaire d'être bien avec soi pour se retrouver seul avec un livre. »
« Lire un bon livre, ça redonne envie de vivre. Ça vous donne envie de partir à la recherche du temps perdu », nous dit l'écrivain Pierre Perret. Mais un autre constat est que la génération présente ne puise que rarement dans ce trésor caché. En d'autres termes lire est devenu synonyme de perte de temps.
illettré (adj.) illettré (n.m.)
Les séniors et les femmes comptent parmi les plus gros lecteurs. Le livre reste un objet de plaisir pour nombre de Français, qui en offrent volontiers à leurs proches.
Nous sommes très nombreux à être librocubicularistes sans le savoir. En effet, ce terme désigne tout simplement une personne qui lit dans son lit ! Il semble que ce mot ait été inventé par l'auteur, essayiste et poète américain Christopher Morley dans son roman The haunted Bookshop paru en 1919.
Les enseignant·e·s, documentalistes, bibliothécaires, libraires et tous les professionnels du monde du livre ont à cœur de donner envie de lire aux enfants, aux adolescents et aux adultes et encouragent de nombreuses activités comme les rallyes lecture, les rencontres avec les auteurs ou les clubs de lecture.
Laissez votre enfant lire et relire librement ce qu'il aime, même si ce n'est pas exactement ce que vous aimeriez lui voir lire. Vous pouvez lui faire d'autres propositions, en lui laissant toujours le choix. La lecture doit rester un plaisir.
En moyenne, les jeunes lisent 3h14 par semaine, soit plus de treize minutes chez les 7-19 ans qu'en 2016. Au contraire, les garçons et les foyers moins favorisés passent moins de 3h à lire dans la semaine. Les mères ont un rôle important car ce sont majoritairement elles qui lisent des histoires à leurs enfants.
Seuls les 65-74 ans lisent plus, de 61 % en 2008 à 65 % en 2018. Dans l'ensemble, 62 % de la population aurait donc lu au moins un livre au cours de l'année passée. Depuis 1988, la baisse est constante : l'enquête de cette année indiquait 73 % de lecteurs, puis 71 % en 1997, 67 % en 2008 et finalement 62 % en 2018.
Premier enseignement : la lecture reste une activité « importante » chez les jeunes, qu'elle soit prescrite dans le cadre scolaire (89%) ou librement choisie dans celui des loisirs (78%). En moyenne, les jeunes lisent six livres par an, dont deux dans le cadre scolaire et quatre dans celui des loisirs.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive. Cela permet aussi à notre cerveau d'augmenter ses capacités de mémorisation, de réflexion, d'analyse ou encore d'imagination.