Une fois que l'étudiant possède le diplôme à l'issue de la troisième année, il est appelé officier-élève, jusqu'à l'obtention de son brevet. On utilise également l'argot zef pour désigner l'élève officier en Marine Marchande .
Aspirant est un grade militaire. Étymologiquement, ce grade désigne celui qui aspire à devenir officier, c'est-à-dire qu'il attend cette promotion. C'est généralement un grade d'officier en formation.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Pour être officier, il faut détenir la nationalité française et avoir effectué sa journée défense et citoyenneté (JDC). Suivant le cas, l'officier peut être de carrière ou sous contrat. Le recrutement se fait après une classe prépa de 2 ans, une licence (bac + 3) ou un master (bac + 5).
officière
officière n.f. Femme ayant le grade d'officier dans l'Armée du salut.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel. Cependant lors d'une présentation nous dirons Je vous présente le lieutenant-colonel Alpha. Pour ce qui concerne la formule d'appel utilisée dans un courrier, on utilisera Mon Colonel pour le grade de lieutenant-colonel.
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Ce grade correspond à celui de maître principal dans la Marine nationale française. Le code OTAN : OR-9. On s'adresse à un adjudant-chef en l'appelant « mon adjudant-chef ».
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
N'accède au grade de premier maître (et aux grades supérieurs) que le personnel titulaire du « brevet supérieur » (BS) de sa spécialité ou d'un « brevet supérieur technique » (BST). Son appellation réglementaire est « premier maître » mais il est couramment appelé « PM » ou « patron ».
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
– Les officiers féminins sont appelés directement par leur grade sans que l'énoncé de celui-ci soit précédé de « madame » ou de « mon ».
Sauf dans la Marine où il l'appelle : « Commandant ». L'usage veut que quand il s'adresse à une femme lieutenant-colonel, il l'appelle “colonel“, "Mon" étant le diminutif de "Monsieur".
Le lieutenant-colonel porte cinq galons (panachés or et argent). Le commandant porte quatre galons. Le capitaine porte trois galons d'or ou d'argent selon son arme. Le lieutenant porte deux galons d'or ou d'argent selon son arme.
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Au temps jadis, le respect était sélectif, et par définition. « Mes respects, mon général ! », l'expression routinière en est le bel exemple, encore que certains d'entre nous, rebelles à cette routine, tenaient à honneur de simplement présenter « leurs devoirs ».
Être un leader réactif
Maîtrisant l'art du commandement et sachant fédérer les énergies, l'officier est d'abord un meneur. Il doit, en outre, savoir contrôler ses émotions, posséder le sens du devoir et avoir l'esprit de décision dans la limite de ses attributions.
capitaine : 2 100 €, commandant : 2 500 €, lieutenant-colonel : 3 000 €, général de brigade : 5 100 €.
Il sait déterminer les priorités dans le cadre d'une prise de décision. Il sait conserver une certaine logique au moment crucial de la prise de décision. En tant que militaire, il est capable de prendre des décisions dans le cadre des limites qui lui sont attribuées.