Les neumes sont tracés sur une portée de quatre lignes, sur laquelle les lignes et interlignes indiquent la hauteur des notes qui y sont tracées (comme pour la portée moderne de cinq lignes). Une clef, répétée au début de chaque ligne, indique la position du do (clef d'ut) ou du fa (clef de fa).
En musique, une note est un symbole ou une lettre permettant de représenter un fragment de musique par une convention d'écriture de la hauteur et de la durée d'un son.
Les principaux signes musicaux à connaître en dehors des notes pour ne pas être complètement perdu face à une partition sont : la portée, les clés, les mesures et les altérations.
La première méthode pour trouver une mélodie consiste à composer ce qu'on appelle une « boucle ». Une boucle, c'est une suite cohérente et assez courte d'accords qui se répète tout au long du morceau.
Au 8e et 9e siècle, sous l'influence et l'évolution du chant grégorien, l'écriture musicale se développa et on vit apparaître des accents, virgules et points, appelés les neumes, en marge des manuscrits. Ceux-ci indiquaient entre autres la mélodie, le ton et la durée.
Dans la notation grégorienne, les notes se présentent en groupes appelés neumes. Tous les neumes sont toujours interprétés de manière liée, le groupement graphique reflétant leur nature de groupe de note. Un neume (ou un groupe d'éléments neumatiques) s'applique toujours à une syllabe unique.
C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui. Elles ont été pensées selon un chant religieux, l'hymne à St Jean-Baptiste. Pour le créer, le moine il a utilisé les initiales des sept phrases de cette chanson.
Il existe sept noms de notes : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si. Il n'en existe pas d'autres. Ces notes peuvent être modifiées (plus précisément la hauteur du son) par les altérations telles que le # (dièse) ou le b (bémol).
Le pré-refrain est une partie intermédiaire située entre le couplet et le refrain. Elle a pour but de lancer le refrain à la manière d'un ressort qui se compresse pour propulser un objet.
En musique, le pont est à part des autres parties de la structure musicale. Il est en fait une rupture. En effet, on observe un changement d'accords, de mélodie qui n'est pas vraiment en lien avec les autres parties de la chanson. Il peut également être une montée en intensité qui mène à un solo.
Capo signifie “tête” en italien. Il indique qu'il faut reprendre depuis le tout début dès qu'on le rencontre, à la fin de la mesure précisément. Souvent abrégé D.C, il est en général placé à la fin du morceau, mais ça n'est pas systématique.
La portée musicale est constituée de cinq lignes parallèles et équidistantes, grâce auxquelles on écrit la musique aujourd'hui. On distingue les lignes, et les interlignes (entre deux lignes).
Les notes de musique s'écrivent sur une portée (comme les lignes d'un cahier) composée de cinq lignes. Suivant leur position, sur les lignes ou entre les lignes, ce ne sont pas les mêmes notes. Traditionnellement, en France et à notre époque, les différentes notes sont : do, ré, mi, fa, sol, la, si.
Les 7 principales ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si. L'intervalle compris entre deux hauteurs dont la fréquence de l'une vaut le double (ou la moitié) de l'autre s'appelle une octave.
À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Couplet : strophe d'une chanson. En principe chaque couplet a la même mélodie, mais les paroles changent. Duo : composition musicale écrite pour deux voix ou deux instruments.
Pour créer un hit intemporel, le mieux est de jouer avec les attentes. Vous pouvez insérer une note ou un effet à un moment inattendu. De même, peut-être pourriez-vous ajouter des instruments particuliers -ou rares- pour enrichir le morceau.
Dans une chanson, le couplet est l'une des deux structures mélodiques constitutives se déroulant en alternance avec le refrain et dont la principale caractéristique est de présenter des paroles différentes à chaque nouvelle exposition, ce qui permet de faire évoluer le contenu du récit.
Douze notes. Sept pour les touches blanches : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, et cinq pour les touches noires : Do#, Ré#, Fa#, Sol#, La#. Pourquoi douze notes et pas quinze, ou neuf ? La guitare, la flûte, et le saxophone se jouent aussi sur ces douze notes, qui forment l'alphabet de la musique occidentale.
En musique occidentale, on désigne la hauteur par le nom d'une note sur une échelle ou gamme. La gamme est une suite de 8 notes qui se succèdent de manière ascendante : du grave à l'aigu (do, ré, mi, fa, sol, la, si, do) ; ou de manière descendante : de l'aigu vers le grave (do, si, la, sol, fa, mi, ré, do).
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
C'est un moine bénédictin italien du 11ème siècle du nom de Guido d'Arrezo (992-1050), qui posa les bases du Solfège et qui met au point le système de notation musical que nous employons en France et dans les pays Latins.
Tim Storms détient le record de la note la plus grave jamais chantée. D'après le Guinness Book, elle a été officiellement flashée au sous Sol-8, à 0.189 Hz ! (sic) Autant dire que personne ne l'entendra jamais.