Rien ne permet de savoir depuis combien de temps une infection particulière existe. La plupart des personnes ayant une infection à VPH dans la région anogénitale ne le savent pas.
La grande majorité des infections à HPV sont silencieuses. L' infection[Définition] à papillomavirus[Définition] peut se manifester par des démangeaisons, des saignements et des petites verrues (condylomes) sur les organes génitaux[Définition] ou l' anus[Définition] .
PÉRIODE D'INCUBATION: Imprécise, car elle peut varier entre un mois et plusieurs années, mais sa durée est habituellement de 3 semaines à 8 mois, et la plupart des verrues apparaissent de 2 à 3 mois après l'infection(9); cependant, la plupart des cas d'infections ne présenteront aucun symptôme(8).
Près de 80 % des personnes seront infectées par le virus HPV au cours de leur vie. La plupart des infections ont lieu lors des premiers rapports sexuels. Dans environ 90 % des cas, le virus HPV aura disparu dans les 2 ans, et l'infection sera sans conséquence.
Il existe des facteurs qui contribuent à la persistance de l'infection HPV notamment le tabac, les partenaires multiples, une faible défense immunitaires, une infection par d'autres maladies sexuellement transmissibles. Dans plus de 80 % le virus disparaît par les défenses de l'organisme et n'entraine aucune séquelle.
L'infection à VPH peut s'être produite des années auparavant, et le virus peut demeurer dans l'organisme pendant des semaines, des années, voire la vie durant, sans signe d'infection. Il est donc difficile de savoir exactement quand ou de qui une personne a contracté le virus.
les HPV à tropisme cutané : ils infectent les cellules épithéliales de la peau. Ils peuvent être à l'origine de tumeurs bénignes comme les verrues plantaires mais aussi favoriser certaines tumeurs malignes tel que le carcinome spinocellulaire (= cancer de la peau).
À la maison, les personnes infectées peuvent appliquer des crèmes ou des pommades contenant, par exemple du podofilox, qui brûle les verrues. D'autres crèmes ont pour effet de stimuler le système immunitaire, comme l'imiquimod. En clinique, un médecin peut utiliser de l'acide trichloroacétique pour brûler les verrues.
Les partenaires peuvent donc s'infecter mutuellement même en se protégeant, même en se faisant des câlins sans pénétration. Par ailleurs, si l'infection anale par le HPV est plus fréquente chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes, sa fréquence augmente aussi chez la femme.
des douleurs persistantes dans le dos, les jambes ou le bassin ; une perte de poids, de la fatigue, une perte d'appétit ; des pertes vaginales malodorantes et une gêne au niveau du vagin ; et. un œdème sur une jambe ou les deux.
Actuellement, un test de dépistage de l'ADN du VPH a été approuvé au Canada à l'intention des femmes, mais pas pour les hommes. Toutefois, il est possible de détecter des verrues anogénitales, qui sont la conséquence la plus répandue d'une infection à VPH chez les hommes.
Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (article en versions espagnole et anglaise), le diagnostic de l'infection par le HPV chez les hommes consiste à examiner les verrues génitales. Il n'existe pas de test diagnostic spécifique à effectuer de manière régulière.
Grâce à ces données inédites, on sait : près d'un tiers sont porteurs, ce qui prouve que le HPV n'est pas « réservé » aux femmes ou aux hommes ayant des relations avec les hommes. Extrêmement transmissible, il ne sélectionne ni genre ni pratique et n'a rien à voir avec le fait d'être multipartenaires.
Il n'existe pas de test sanguin permettant son dépistage. En termes de santé publique, les deux moyens de prévention du cancer du col utérin sont la vaccination et le dépistage des infections HPV du col utérin.
"Si cette patiente a eu une conisation, c'est qu'elle est infectée par le virus HPV (papillomavirus). Certaines femmes vont éliminer le papillomavirus alors que d'autres vont le conserver dans leur col.
Les préservatifs peuvent protéger partiellement. Toutefois, tu peux également être infectée par les HPV par l'attouchement des muqueuses sans avoir de rapports sexuels.
Les personnes infectées peuvent aussi souffrir de ces symptômes à l'intérieur ou autour des parties génitales ; par exemple une sécrétion du vagin dégageant une odeur désagréable, des démangeaisons, des saignements après les rapports sexuels ou une sensation de brûlure autour de la zone infectée.
La contamination des HPV est essentiellement sexuelle, elle se déroule, en général, dès après les premiers rapports sexuels. On estime que le plus souvent, le premier contact a lieu en général entre 18 et 25 ans.
Il existe également quelques molécules ayant démontré une certaine efficacité dans le traitement des dermatoses causées par les papillomavirus. Il y a d'abord l'azithromycine, un antibiotique qui semblerait avoir une certaine action antivirale. Il est utilisé dans les cas de papillomatose orale et cutanée.
Lors de la vaccination, on injecte dans l'organisme un microorganisme inactivé ou atténué. Le micro-organisme, rendu inoffensif, n'entraîne donc pas de maladie. Le corps reconnaît le microbe et fabrique des anticorps pour l'éliminer. Il garde ensuite ces anticorps en mémoire.
des sensations de vertige, des troubles gastro-intestinaux (nausées, diarrhées, douleurs abdominales), de la fièvre, de la fatigue.
Par tranches d'âge, la prévalence a été la plus forte parmi les 60-64 ans (11,4 %), suivis des 30-34 ans avec un peu plus de 7 %.
Le virus est absent du sperme, de la salive ou du sang. Le papillomavirus se transmet souvent au début de la vie sexuelle. Les jeunes femmes sexuellement actives sont les plus exposées au risque d'infection, qui diminue avec l'âge. Ce risque est moindre chez les hommes.
Epidémiologie. Les papillomavirus humains ou HPV infectent les cellules épithéliales de la peau ou des muqueuses, et sont transmis par la dissémination de ces cellules lors de la desquamation. On distingue les HPV à bas risque, agents de lésions bénignes, des HPV à haut risque qui sont responsables de cancers.