Chez le jeune enfant, en prise avec un bouillonnement de découvertes propres à son âge, les malaises prendront souvent une expression motrice et/ou altèreront sa curiosité et son besoin de découvrir. Ce sera un enfant qui ne sait pas entrer dans le jeu, activité qui donne accès au registre symbolique.
Votre enfant a changé : les signes qui doivent vous alerter
Autre signal, il pleure facilement, ou grogne en permanence pour un oui ou pour un non. Enfin, il dessine toujours en noir et déchire sa feuille… Il ne sert plus à rien de lui dire «non, ne fais pas ça!». C'est le moment de chercher à comprendre les causes.
Il est important de rester attentif à quelques symptômes récurrents de la maladie mais nouveaux chez l'enfant: difficultés scolaires inexpliquées, irritabilité, moins de motivation pour des activités qui auparavant l'intéressaient, dévalorisation, sommeil perturbé, inquiétudes particulières ou angoisses, tristesse, ...
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
Pédiatre, psychologue, psychiatre, éducateur, tous ces professionnels peuvent vous aider.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
La tristesse est associée à des modifications comportementales : mimique pauvre, diminution des échanges, difficultés d'alimentation ou de sommeil etc. chez l'enfant, la tristesse s'associe à une recherche d'isolement, à une diminution d'activité. L'irritabilité et la dévalorisation sont fréquentes.
Selon Santé Publique France, la dépression infantile "peut se manifester à travers des comportements de retrait, d'absence ou – au contraire – d'irritabilité, d'agitation", mais également des maux de ventre/tête fréquents, des troubles du sommeil, des sautes d'humeur ou encore, des troubles alimentaires.
Ces enfants difficiles présentent des crises de colère de forte intensité, des attitudes opposantes, des comportements agressifs, une tendance à l'agitation souvent associée à des difficultés d'attention.
10) Imitez un ami, une connaissance ou quelqu'un de la famille : posture + voix. Faites-lui dire n'importe quoi. 11) Racontez-lui une anecdote marrante vous concernant ou le concernant (montrez des photos si vous en avez). 12) Improvisez un jeu de cache cache.
L'enfant peut en être la victime ou le témoin alors que l'événement arrive à un tiers. Cela recouvre des situations variées : abus physiques et sexuels, violences conjugales, accidents graves, attaques de chiens, procédures médicales invasives, incendies, catastrophes naturelles ou technologiques, guerres…
Éviter les éléments qui rappellent l'événement (symptômes d'évitement) Les enfants peuvent persister à éviter les choses (activités, situations ou personnes) qui leur rappellent le traumatisme. Ils peuvent même tenter d'éviter toute pensée, sentiment ou conversation concernant l'événement traumatique.
L'amnésie peut ne pas apparaître immédiatement après un événement traumatique ou stressant. Elle peut prendre des heures, des jours, voire plus avant d'apparaître. Peu après la perte de mémoire, certaines personnes semblent confuses. Certaines sont très angoissées.
Autre situation qui doit alerter les parents, un changement brutal chez l'enfant. Il ne parle plus, ne mange plus, ses résultats scolaires chutent. Les spécialistes sont formels, si vous ne comprenez pas ce changement de comportement, il est fortement conseillé d'emmener votre enfant chez le psychologue.
Motifs de consultation
Chez les petits de moins de 3 ans, il s'agit le plus souvent de retards de développement et de troubles du sommeil (cauchemars, insomnies) ; avec l'entrée à l'école, certains ont du mal à se séparer de leurs parents ou ont beaucoup de mal à se concentrer et/ou à se sociabiliser.
La maltraitance affective inclut : Les réprimandes sévères en criant ou en hurlant. La dévalorisation des capacités et des accomplissements de l'enfant. L'encouragement de comportements déviants ou délictueux, tels que commettre des infractions ou consommer de l'alcool ou de la drogue.
Le premier niveau, c'est lorsque la mère n'est pas disponible psychiquement pour son petit. Elle a du mal à se projeter en tant que maman. Elle n'est pas maltraitante, mais elle n'est pas maman, elle est juste mère. Souvent cela s'explique par le fait que cette femme souffre, suite à un vécu compliqué.
"Sans prise en charge, cet état peut devenir chronique et se compliquer par l'apparition d'autres pathologies comme des troubles de l'humeur, une dépression, des modifications de la personnalité, l'alcoolisme ou la toxicomanie", précise le spécialiste.
Il s'exprime très souvent par un trouble de stress post-traumatique mais également par des troubles de l'humeur, troubles de la personnalité, troubles de l'alimentation, troubles anxieux généralisés, symptômes dissociatifs, troubles psychotiques aigus, maladies liées aux stress , etc.
Faites-la rire pour lui remonter le moral, mais évitez de l'offenser par des blagues ou autres commentaires déplacés ou vous pourriez empirer la situation. Chantez-lui une chanson. Essayez de faire le pitre. Chanter une chanson est un bon moyen de la faire rire !