Aujourd'hui, l'une des meilleures manières de retrouver rapidement le professionnel en charge de sa succession est de contacter la chambre départementale des notaires dont dépendait le domicile du parent défunt.
Le Barreau local peut vous aider à trouver le notaire en charge des affaires du défunt. Contactez-les et fournissez-leur toutes les informations disponibles pour faciliter la recherche.
Où s'adresser ? Pour se renseigner et pour demander à consulter le fichier central des dispositions de dernières volontés (FCDDV), couramment appelé fichier des testaments. Vous pouvez notamment demander un certificat d'absence d'inscription de dispositions de dernières volontés.
Par un généalogiste successoral
Si les recherches du notaire n'ont rien donné, ce dernier peut mandater un généalogiste afin d'identifier et de localiser l'ensemble des héritiers. Les moyens du généalogiste sont plus importants que ceux du notaire.
Le mandataire successoral judiciaire est chargé de régler provisoirement la succession. Il réalise les actes conservatoires (règlement des dettes, paiement des impôts, perception des revenus, etc.). Le juge peut l'autoriser à effectuer d'autres types d'actes (par exemple la vente d'un bien immobilier).
Six mois, c'est le délai dans lequel les héritiers doivent, à compter du décès, déposer la déclaration de succession et payer les droits. Ils peuvent demander des facilités de paiement à l'administration fiscale.
Le délai de règlement complet d'une succession dépend largement des particularités propres à chaque dossier. Toutefois, les droits de succession doivent, eux, être payés dans les 6 mois du décès, accompagnés de la déclaration de succession (délai d'un an pour un défunt décédé hors de France).
En utilisant la « recherche de succession vacante » accessible sous « mes démarches », vous pourrez voir à quelle étape se situe le dossier, et connaître le pôle de gestion des patrimoines privés ou le service local du Domaine compétent à contacter si besoin.
Il est possible de sortir de l'indivision à tout moment en vendant ses parts ou en se mettant d'accord sur le partage des biens. Pour sortir de ce mode de propriété, il est également possible de décider à l'unanimité de vendre en indivision.
L'option successorale emporte ainsi un blocage temporaire des successions. Ce blocage peut aller jusqu'à dix ans à compter de l'ouverture de la succession en l'absence de sommation.
La saisine du notaire
Ce notaire peut être choisi par le conjoint survivant ou les héritiers. Il peut l'être également par le défunt lui-même s'il est notamment gardien de son testament dans le coffre de son étude, voire nommé spécifiquement à cet acte.
Lors du partage d'un héritage après un décès, ce sont tous les héritiers qui doivent se répartir, à hauteur de leur part, le paiement des frais de notaire lors d'une succession. En cas de déséquilibre au niveau du montant payé, un héritier est en droit de demander le remboursement aux autres.
Quand une personne décède dans l'une des provinces canadiennes, le bureau de l'état civil en avise automatiquement le programme du NAS, alors vous n'avez pas à le faire. Si le décès s'est produit dans l'un des territoires ou hors du Canada, vous devez en informer le programme du NAS.
Afin de procéder à une succession sans notaire, il faut qu'aucun testament ne soit écrit, aucune donation effectuée, que le patrimoine à céder n'excède pas 5335,72 euros et ne contiennent pas d'immobilier. Dans les cas où ces conditions sont respectées, il est seulement nécessaire d'obtenir un certificat d'hérédité.
Dans un premier temps, le notaire recherche les héritiers ; Dans un second temps, en cas de recherches infructueuses, le notaire pourra, avec l'accord des héritiers signataires de l'acte de notoriété, faire appel à des généalogistes pour retrouver le ou les héritiers manquants.
Si votre frère ou sœur ne veut pas signer la succession, il convient dans un premier temps de vous rapprocher de lui ou elle afin de tenter une solution amiable et éviter une procédure judiciaire. Même dans le cadre de la phase amiable, vous pourrez solliciter les services d'un Avocat en succession.
Dans le cadre d'une indivision, lorsque l'un des indivisaires souhaite vendre ses parts de l'indivision, les autres indivisaires sont alors prioritaires. Ils bénéficient d'un droit de préemption.
Ensuite, il est nécessaire que tous les héritiers donnent leur consentement pour procéder à la vente, selon le principe de l'indivision successorale. Toutefois, dans certains cas exceptionnels prévus par la loi, la vente peut être effectuée sans l'accord de tous les héritiers.
Si votre mail demeure sans réponse, faites-lui parvenir un courrier recommandé avec accusé de réception. Si le notaire continue de retarder la succession, demandez à votre avocat de saisir le médiateur des notaires. Sa saisine permet de trouver une solution de compromis pour accélérer le partage des biens.
Rôle du notaire
Vous pouvez demander à un notaire de remplir votre déclaration de succession. Toutefois, vous restez responsable vis-à-vis de l'administration fiscale. Le recours à un notaire est obligatoire pour régler certaines successions, en particulier dans les situations suivantes : Présence d'un bien immobilier.
L'héritage est imposable dans les deux cas suivants :
Conjoint, conjointe (marié ou pacsé) ou enfant de l'être cher disparu et le montant de l'actif successoral brut est égal ou supérieur à 50 000 euros. Autre membre de la famille du défunt (frère, cousin, neveu etc.)
Les enfants et leurs descendants : Ils héritent en parts égales. Les parents, frères et sœurs : Si l'un des parents est décédé, la moitié de sa part va aux frères et sœurs. Les ascendants autres que les parents (grands-parents, arrière-grands-parents).
Consultation de la base immobilière des Notaires (Base BIENS) : 144 € T.T.C. Convention de quasi-usufruit : 4 200 € T.T.C. Déblocage de fonds par état bancaire : 120 € T.T.C. Déclaration d'option par le conjoint : 600 € T.T.C.
En matière fiscale, 2 options se présentent : soit on prend la valeur totale des objets (mobilier, tableaux…), soit on applique la règle de l'administration fiscale qui évalue forfaitairement le mobilier à 5% du montant de l'actif net de la succession.