La différence entre les deux statuts réside dans le fonctionnement du régime. L'auto-entrepreneur bénéficie en effet du régime simplifié de l'auto-entreprise, lui permettant de profiter d'obligations comptables et déclaratives allégées, tandis que l'entrepreneur individuel est au régime réel (simplifié ou normal).
Micro-entrepreneur
Il n'y a pas de différence au niveau de la forme juridique, dans les deux cas il s'agit d'une entreprise individuelle. L'entreprise individuelle se caractérise par le fait que son dirigeant et elle ne forment qu'une seule et même personne.
À ce titre, un décret vient de préciser que pour l'exercice de son activité professionnelle, l'entrepreneur individuel devra utiliser une dénomination incorporant son nom (ou son nom d'usage) immédiatement précédé ou suivi des mots « entrepreneur individuel » ou des initiales « EI ».
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Le statut de l'entrepreneur individuel (EI) permet d'exercer une activité en nom propre. En effet, la création et la gestion d'une entreprise individuelle présente moins de contraintes que la société. La micro-entreprise est également une entreprise individuelle.
Un entrepreneur est un individu qui crée une nouvelle entreprise, supportant la plupart des risques et bénéficiant de la plupart des récompenses . Le processus de création d’une entreprise est appelé entrepreneuriat.
Pour transformer votre Entreprise Individuelle (EI) en auto-entreprise, il suffit de renoncer à l'option du régime réel et demander celle du régime micro social simplifié. Assurez-vous que votre chiffre d'affaires n'excède pas les plafonds en vigueur.
En tant que micro-entrepreneur, vous êtes soumis au régime d'imposition appelé « régime micro-fiscal ». Vous êtes également soumis au régime micro-social pour ce qui concerne vos cotisations et contributions sociales. Pour en savoir plus sur le régime micro-social, vous pouvez consulter la fiche correspondante.
Le site Auto-entrepreneur de l'Urssaf rassemble l'information officielle sur le sujet et permet d'effectuer gratuitement toutes les démarches légales en ligne.
Vous êtes inscrit par le guichet des formalités des entreprises au répertoire national des entreprises ( RNE : RNE : Registre national des entreprises ) et au registre du commerce et des sociétés ( RCS : RCS : Registre du commerce et des sociétés ).
Quelles entreprises doivent fournir un extrait K ou Kbis ? Les entreprises ayant une activité commerciale peuvent être encore concernées par une demande d'extrait K ou Kbis. L'extrait K concerne les entreprises individuelles (EI), c'est-à-dire les personnes physiques. Il concerne donc aussi les micro-entrepreneurs.
Le changement de régime doit être demandé avant le 31 décembre de l'année précédant celle au cours de laquelle l'entrepreneur souhaite sortir du régime auto-entrepreneur.
Si l'objectif de l'activité de l'auto-entreprise est de vendre quelque chose, alors vous faites partie des BIC. S'il s'agit juste d'une "création", sans envisager de vente, alors le micro-entrepreneur appartient au BNC. Exemple : un graphiste est payé pour créer des visuels, il s'agit d'une profession libérale.
Ses principaux inconvénients
Impossibilité d'amortir fiscalement les investissements réalisés. Un certain seuil de chiffre d'affaires ne peut être dépassé. Les charges sociales sont calculées sur la base du CA et non des bénéfices de l'entreprise ou de la rémunération du dirigeant.
En tant qu'auto-entrepreneur, vous cotisez à l'Urssaf (CGSS pour les Drom). Vous bénéficiez ainsi d'une couverture sociale, au même titre que les autres travailleurs indépendants. Celle-ci couvre : La santé : maladie, maternité, indemnités journalières.
Vous êtes soumis au régime de la micro-entreprise si votre chiffre d'affaires ne dépasse pas 15 000 €. Si vous dépassez ce seuil, vous passez au régime fiscal du réel simplifié. En revanche pour les CA générés à partir de l'année 2024, seul le nouveau régime s'applique.
Ces cotisations regroupent l'assurance vieillesse, la contribution sociale généralisée ( CSG : CSG : Contribution sociale généralisée ), la contribution au remboursement de la dette sociale ( CRDS : CRDS : Contribution pour le remboursement de la dette sociale ), la cotisations chômage et la cotisations de retraite ...
Pour simplifier, un micro-entrepreneur est donc un entrepreneur individuel qui a opté pour le régime micro. Cela dit, une entreprise individuelle n'a pas de personnalité juridique. Cela signifie que, d'un point de vue juridique, elle n'a pas d'existence.
Contrairement aux sociétés, l'entreprise individuelle n'a pas de capital social. Elle n'a pas non plus de patrimoine, ni d'existence juridique. Ces absences peuvent constituer un frein à la conclusion de partenariats et à la signature de certains contrats.
Activités libérales autorisées ou exclues pour le micro-entrepreneur : Autorisées : consultant, métiers de informatique et du numérique, les métiers du conseil, de l'enquête (détective), coach professionnel, écrivain public, formateur, traducteur, naturopathe, etc. Exclues : les activités libérales réglementées.
Traditionnellement, les quatre principaux types d'entrepreneuriat sont l'entrepreneuriat des petites entreprises, l'entrepreneuriat des startups évolutives, l'entrepreneuriat des grandes entreprises et l'entrepreneuriat social .
Plus de 15 types d'entrepreneurs différents. Les types d'entrepreneurs comprennent Innovant, Fabien, Drone, Social, Commercial, Technique, Spontané, etc. Ils appartiennent à des catégories distinctes en fonction de leurs caractéristiques et motivations uniques. Cependant, l’objectif de tout entrepreneur est de démarrer et de développer une entreprise prospère.
Définition de one-man business en anglais
une entreprise gérée par une seule personne : Il est passé de la direction d'une entreprise individuelle à l'emploi de plus d'une centaine de personnes.
Le taux d'imposition est un taux réduit de 15 %. Il s'applique sur la part des bénéfices allant jusqu'à 42 500 €. Au-delà, le taux d'imposition est de 25 %.