Les premiers signes de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) varient d'une personne à l'autre et sont peu spectaculaires. Il peut s'agir : De contractions musculaires involontaires (bras, jambe, épaule, langue) De crampes musculaires, de raideurs musculaires, d'une difficulté à articuler, mâcher ou avaler.
Les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot se caractérisent par une paralysie complète des muscles des bras, des jambes et de la gorge entrainant une incapacité à marcher, manger, parler ou même respirer qui s'installe progressivement.
Le meilleur examen est l'électromyogramme (EMG) qui vise à confirmer le diagnostic et à éliminer d'autres maladies.
La présence de douleurs articulaires, de spasmes et de crampes musculaires doit être signalée à votre médecin ou physiothérapeute. peuvent se révéler utiles dans la gestion de la douleur chez les personnes vivant avec la SLA.
Il n'est pas possible de prévoir ni d'empêcher le développement de la SLA ou maladie de Charcot. Toutefois, en cas de symptômes évocateurs, il est recommandé de consulter un médecin le plus rapidement possible. En effet, il est souhaitable que la maladie soit prise en charge précocement pour en limiter l'évolution.
La SLA peut se présenter sous deux formes : la forme spinale, qui débute par l'atteinte d'un membre; la forme bulbaire, qui commence par l'atteinte des muscles de la bouche.
Les symptômes des personnes atteintes d'une forme spinale :
Faiblesses des membres, spasmes et crampes, douleurs musculaires. Raideurs dans les articulations. Diminution de la coordination et de la dextérité des mouvements. Sentiment de gène pour marcher, troubles de l'équilibre et chutes.
Dans 75% des cas, la sclérose en plaques commence par une poussée, c'est à dire l'apparition sur quelques heures à quelques jours de symptômes neurologiques, qui persistent généralement pendant quelques jours à quelques semaines puis disparaissent progressivement plus ou moins complètement.
âge : la maladie de Charcot se déclare le plus souvent chez des personnes âgées de 55 à 70 ans.
La sclérose latérale amyotrophique est la plus fréquente des maladies du motoneurone mais il existe d'autres affections, par exemple l'amyotrophie spinale de l'adulte ou la sclérose latérale primitive, dont les caractéristiques sont différentes.
Elle est causée par la lente destruction des neurones moteurs qui font parvenir les « messages » électriques du cerveau vers la moelle épinière (neurones moteurs supérieurs) ou de la moelle épinière (neurones moteurs inférieurs) vers les muscles. Ces cellules commandent les mouvements musculaires.
Présentation clinique La forme aiguë du pied de Charcot est rare et survient le plus souvent chez des diabétiques de type 2 atteints d'une neuropathie sévère. Elle se présente sous la forme de la tuméfaction d'un pied qui a un aspect très inflammatoire à l'inspection.
L'atteinte musculaire
Les premiers signes de l'atteinte inflammatoire musculaire sont généralement une faiblesse musculaire, des difficultés à effectuer des gestes simples de la vie courante : monter un escalier, attraper un objet, porter son sac de courses, se relever de la position accroupie.
Egalement connue sous le nom de maladie de Charcot, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une maladie dont on ne guérit pas aujourd'hui. Se déclarant à l'âge adulte (après 40 ans), elle évolue vers une paralysie progressive, puis complète, jusqu'au décès par arrêt des muscles de la respiration (1).
La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est associée à de nombreuses altérations du métabolisme énergétique, notamment une perte de poids et une augmentation de la dépense énergétique (hypermétabolisme). Les mécanismes qui sous-tendent ces problèmes métaboliques sont encore complètement inconnus.
Il s'agit le plus souvent de perte de sensibilité, de difficultés de parole, de troubles d'équilibre, de vision double, de surdité, de fatigue, de démangeaisons, etc...
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Le diagnostic de sclérose en plaques repose sur la présence d'une dissémination des lésions dans l'espace (au moins deux symptômes ou deux lésions à l'IRM dans des régions cliniques différentes) ainsi qu'une dissémination dans le temps (lésions d'âges différents sur l'IRM).
En moyenne, la durée de vie est de 3 ans, ce qui en fait, selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'une des maladies les plus cruelles. Certains malades partent en quelques mois alors qu'ils avaient des signes assez faibles au moment du diagnostic et d'autres peuvent vivre 7 à 8 ans.
Chaque enfant d'une famille a 50 % de chances d'hériter de la mutation, peu importe que le porteur soit sa mère ou son père. Le fait d'avoir hérité d'une mutation ne garantit pas que la personne souffrira de SLA, mais son risque d'en être atteinte est considérablement accru.
A ce jour, il n'existe aucun traitement curatif de la SLA. Le riluzole est le seul médicament approuvé pour son action sur l'évolution de la maladie de Charcot. La prise en charge multidisciplinaire des patients vise à diminuer et soulager les symptômes.
La maladie de Charcot peut être héréditaire, mais représentant 5% à 10% des cas seulement : des mutations sur différents gènes sont à l'origine de la maladie. Dans les autres cas, elle est aléatoire : aucune hérédité n'entre en jeu, bien qu'une mutation génétique puisse également jouer un rôle.
Le traitement médicamenteux
Il repose sur l'utilisation conjointe, 2 fois par jour, du Riluzole (Rilutek) dont les comprimés sécables sont dosés à 50 mg et de Vitamine E dosée à 500 mg. Le Riluzole exerce une action de ralentissement ou de stabilisation sur les mécanismes de la SLA.
Quels sont les symptômes d'une parésie ? Une parésie se manifeste par une faiblesse, une perte de la force musculaire, dans un ou plusieurs muscles du corps.