Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
L'imagerie
en première intention, un scanner (ou tomodensitométrie - TDM). Il est efficace pour repérer 80 % des tumeurs. Le scanner permet de confirmer ou non la présence d'une tumeur et, le cas échéant, de préciser sa position et sa taille. Le scanner permet d'obtenir des images du cerveau grâce à des rayons X.
Une tumeur bénigne peut être découverte à l'examen clinique : c'est une tuméfaction souple, non adhérente aux structures de voisinage.
Ainsi, les chercheurs ont démontré que certaines mutations génétiques uniques peuvent effectivement provoquer l'évolution d'une tumeur bénigne vers une tumeur maligne.
L'examen anatomopathologique
Après les examens d'imagerie, l'analyse d'un échantillon de la tumeur est indispensable pour compléter le diagnostic. C'est seulement après cet examen que le médecin peut affirmer si la tumeur est cancéreuse ou non et quel est son grade.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
La tumeur non cancéreuse (bénigne) des tissus mous est une masse qui ne se propage pas à d'autres parties du corps (pas de métastases). La tumeur non cancéreuse ne met habituellement pas la vie en danger.
« Une tumeur « bénigne » est un groupe de cellules normales formant une masse qui se développe lentement, n'envahit pas les tissus voisins et ne récidive pas si elle est enlevée : c'est par exemple un grain de beauté, un polype dans l'intestin ou l'utérus, un adénome du sein ou de la prostate.
Dans la plupart du des cas (par exemple tumeurs du poumon, tumeurs du foie), il s'agit de tumeurs qui sont mobiles en fonction des mouvements respiratoires. Dans d'autres cas, comme dans les cancers de la prostate, ce sont les mouvements digestifs et vésicaux qui font bouger la tumeur.
Contrairement aux kystes qui ont une paroi, les tumeurs n'en ont pas, même si elles sont souvent bien circonscrites (ou dit aussi encapsulées). Une tumeur peut être bénigne ou maligne, autrement dit cancéreuse.
Les cellules cancéreuses qui se divisent finissent par former une tumeur qui se développera. Les cellules cancéreuses ont les mêmes besoins que les cellules normales. Elles nécessitent un apport sanguin pour leur fournir l'oxygène et les éléments nutritifs dont elles ont besoin pour se développer et survivre.
Généralement le cancer est lié à la survenue de mutations successives survenant dans une cellule donnée et sur des gènes spécifiques à l'origine de la prolifération des cellules qui forment la tumeur. Ces mutations ne sont présentes que dans les cellules du cancer et non dans l'organisme entier.
les tumeurs bénignes (pour simplifier) sont faites de cellules d'aspect normal, les tumeurs malignes sont faites de cellules d'aspect anormal. On parle d'aspect monstrueux.
De la cellule cancéreuse à la tumeur
La prolifération incontrôlée des cellules cancéreuses aboutit à une accumulation de cellules anormales, jusqu'à former une “masse” appelée tumeur maligne. Les cellules cancéreuses “détournent” les cellules normales qui les entourent et les utilisent à leur avantage.
On peut faire un examen d'IRM pour : examiner différentes parties du corps et déterminer si vous avez certaines maladies; diagnostiquer un cancer et en déterminer le stade (jusqu'où le cancer s'est propagé); aider à planifier le traitement.
Les astrocytomes de grade 4, appelés aussi « glioblastomes », sont les tumeurs les plus agressives.
Il est possible d'enlever complètement les tumeurs par la chirurgie sans que celle-ci n'affecte le train de vie normal du patient. Dans le cas où la tumeur est maligne, la recherche a démontré que plutôt elle sera retirée, plus le patient aura de chance de retrouver une vie normale sans séquelles.
La perte de poids est l'un des effets secondaires les plus fréquents du cancer avancé. Le cancer avancé entraîne une perte importante de masse musculaire ou une grande atrophie musculaire (cachexie); la personne atteinte devient alors extrêmement maigre.
Dans le cas du glioblastome, ces cellules gliales se reproduisent de manière anarchique, anormale. Le glioblastome est la tumeur la plus agressive de la famille des gliomes. Elle est également appelée Gliome de stade IV.
La chirurgie peut provoquer la propagation du cancer à d'autres parties du corps lors d'une biopsie, ou par l'exposition d'une tumeur à l'air libre.
Quel est le cancer le plus dur à soigner ? L'adénocarcinome est, en effet, un cancer difficile à soigner s'il n'est pas détecté ni traité à temps. Les cancers du poumon, du pancréas, de l'œsophage, du foie... sont souvent considérés de mauvais pronostic.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.