Il est très impressionnant de voir un petit chat atteint d'ataxie marcher comme s'il était ivre, tomber, n'avoir aucune synchronisation des pattes.
à un état de léthargie voire de semi-dépression sans raison apparente. Ces derniers reviennent d'ailleurs à un état euphorique en quelques jours, par cycles successifs, plus ou moins réguliers. La comparaison avec le syndrome maniaco-dépressif est alors inévitable.
Elle peut entraîner l'apparition de divers problèmes neurologiques. Les symptômes sont nombreux (forte fièvre, rigidité musculaire, perte de l'appétit, vomissements, raideur à la marche, inclinaison de la tête, convulsions, agressivité, etc.).
On retrouve essentiellement deux affections, la Dysthymie et la Dissociation. Dans la Dysthymie, le chat présente des troubles de l'humeur. Des phases agressives soudaines, souvent violentes, apparaissant "sans raison", alternent avec un comportement normal. Le propriétaire a l'impression d'"avoir deux chats".
Il arrive même que le chat présente des troubles comme les humains à savoir la schizophrénie.
Lorsqu'un chat habituellement câlin et doux devient subitement agressif et violent envers son maître, on appelle ce comportement le syndrome du tigre. L'animal devient quasiment méconnaissable au point d'en devenir dangereux. Si les causes sont diverses, le lien avec la faim est prédominant.
Le chat est un animal sensible qui peut facilement se retrouver stressé : un visiteur à la maison, un bruit intempestif, un meuble déplacé, des changements d'environnement répétés, le partage du territoire avec un autre animal, l'anxiété liée à la séparation, etc…
Les changements de comportement du chat
Une agressivité soudaine, une irritabilité, une agitation, un comportement distant peuvent montrer qu'il souffre. S'il est stressé, griffe quand vous le touchez ou ne se laisse plus approcher, c'est que quelque chose ne va pas.
La plupart des chats ont régulièrement des coups de folie. Durant quelques secondes, il semble incontrôlable, court et saute partout. Sans danger, ce comportement est avant tout pour le chat une manière d'exprimer son besoin d'activité physique.
Les signes qui doivent vous alerter
- Des yeux rouges ou bien qui coulent, des éternuements, une toux ou des difficultés à respirer…
On note une diminution d'activité avec un chat qui dort plus, demande moins à sortir, s'isole davantage. Il est moins précis dans ses actions. D'autres troubles du comportement sont possibles : boulimie, exacerbation du léchage, agressivité, désorientation spatiale…
Alzheimer, Parkinson, accident vasculaire cérébral, sclérose en plaques, maladie de Charcot, tumeurs du cerveau ou maladie de Ménière en font partie. Les migraines et l'épilepsie aussi.
Les chats peuvent être bipolaires
Car oui,les félins sont comme nous « sujets à des troubles psychiques », révèle l'émission, et il est parfois nécessaire d'aller consulter des psychiatres spécialisés pour animaux, reconnus par la profession (200 euros la séance environ, mais quand on aime, on ne compte pas).
Lorsque votre chat court de partout, cela lui permet de se dépenser et de se défouler. Ce comportement est courant chez un chat sédentaire qui n'a pas accès à l'extérieur.
Il s'agit d'un réflexe défensif qui peut se manifester en mainte occasion. Le feulement du chat est un signe d'agressivité qui doit en tout cas toujours être pris au sérieux car il peut être l'expression d'une peur, d'un agacement ou bien encore d'une douleur dont il est important de déceler l'origine.
Les symptômes de la dépression chez le chat sont variés. Manque d'entrain, baisse d'appétit, insomnie, marquages urinaires, état de prostration, grattages ou léchages plus ou moins intensifs pouvant entrainer des problèmes cutanés plus ou moins sévères, absence de toilette, agressivité, troubles digestifs, etc.
Un chat aime son maître
En effet, le chat est relativement indépendant et, même s'il vous apprécie, il aime également faire ce qu'il veut quand cela lui chante ! C'est plus souvent lui que vous le maître à la maison ! Néanmoins, votre animal vous reconnaît et sait qui vous êtes, même dans la foule.
C'est un fait, les chats n'oublient pas leur maître. Toutefois, dans certains cas, il est fort probable qu'un chat ne le reconnaisse pas, ou l'ignore tout simplement. En effet, leur mémoire fabrique des souvenirs des moments passés auprès de vous.
Mais je pense, et les vétérinaires le confirment tous, que mettre son chat dans une pension est une erreur. Le chat est un animal casanier, il préfère rester chez lui, avec ses habitudes, ses odeurs et ses repères. Le "catsitting" est donc la meilleure solution en cas d'absence prolongée.
Le chat doit comprendre qu'il n'a pas le droit de monter sur la table. Dès qu'il s'apprête à sauter, il faut lui dire « Non ! » très fermement, sur un ton sec, et employer toujours le même mot et le même ton, chaque fois que le minou réitère sa tentative.
Les causes exactes de cette réaction d'agression sont encore discutées, le chat devient tout simplement intolérant au contact, certains chats n'aiment pas certains types de caresses… Il ne faut dans ce cas jamais le forcer au début : laissez le venir sur vous de lui-même, sans le toucher.
Il arrive que certains enfants autistes aient des problèmes sensoriels ou soient sensibles aux bruits forts. De par sa présence apaisante, un chat a donc tout de l'animal de compagnie approprié et réconfortant pour certaines familles.»