Au début de l'insuffisance cardiaque, le patient n'a pas de symptômes. Ensuite, une fatigue, des palpitations et un essoufflement apparaissent lors des efforts, lors des activités habituelles, puis lors d'une activité moindre qu'à l'accoutumée et enfin au repos. Des œdèmes se forment au niveau des pieds et chevilles.
Florence Beauvais rappelle que quatre signes doivent alerter. Pour s'en souvenir, un acronyme : EPOF, pour essoufflement, prise de poids, œdème et fatigue. "Essoufflé, c'est le premier symptôme, le plus fréquent", rappelle la spécialiste.
Le syndrome du cœur d'athlète est un ensemble de modifications anatomiques et fonctionnelles qui touchent le cœur de sujets qui s'entraînent > 1 heure/jour presque tous les jours. Ces modifications sont asymptomatiques; les signes comprennent bradycardie, souffle systolique et bruits cardiaques supplémentaires.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
Le cardio, c'est quoi? Avoir un bon cardio, c'est avoir une bonne endurance cardiovasculaire. Notre cœur est plus efficace à l'effort, tout comme nos poumons, notre système circulatoire et nos muscles. L'oxygène est ainsi mieux transporté et utilisé durant un effort.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
L'insuffisance cardiaque traduit une incapacité du cœur à assurer une bonne circulation sanguine en fonction des besoins de l'organisme. Elle fait généralement suite à un infarctus du myocarde au cours duquel des cellules musculaires cardiaques meurent.
Une angiographie coronarienne (aussi appelée coronarographie) est un test qui consiste à prendre des radiographies des artères coronariennes et des vaisseaux qui alimentent le cœur.
1. La boxe. Selon plusieurs études, la boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement au monde. La boxe nécessite de la force, de la puissance, de l'endurance et la capacité de résister à d'énormes coups sur une longue période de temps.
«Sur cœur sain, il n'y a pas de risque vital»
En fait, chaque contraction du cœur est due à un courant électrique. Lorsque ces contractions sont plus rapprochées ou sont ressenties plus intensément, «elles sont bénignes dans 90% des cas. C'est inconfortable mais il n'y a aucun risque vital», insiste le Dr Kouakam.
En effet, si le cœur est trop lent, la personne peut éprouver de la fatigue, des étourdissements, puis une diminution de la capacité d'effort, bref des symptômes qui montrent que la pompe fonctionne trop lentement pour répondre aux besoins métaboliques.
A l'effort le cœur bat plus vite, ce qui est normal, passant de 40 à la minute chez certains sportifs à la fréquence maximale (Fc Max). Le stress peut augmenter la fréquence cardiaque sans effort. Certaines maladies et la fièvre sont aussi responsables de cette augmentation.
En extérieur, la course à pied ou le vélo sont reconnus comme étant les meilleurs sports pour améliorer son endurance et ses capacités respiratoires. Vous pouvez également vous orienter vers la natation qui en plus stimulera la perte de poids et la tonification des muscles.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Généralement, le cœur bat entre 60 et 80 fois par minute. Toutefois, chaque personne a un rythme cardiaque normal qui lui est propre : certains cœurs battent plus vite ou plus lentement que d'autres. Il est question d'arythmie lorsqu'il y a irrégularité du rythme cardiaque.
Ainsi, après l'effort, cette réaction permet de stabiliser la quantité d'oxygène dans le corps et également le rythme cardiaque. Par conséquent, si vous n'utilisez qu'occasionnellement les escaliers, ressentir un essoufflement après cet effort est une réaction normale.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
La FC au repos se situe entre 50-90 battements par minute (bpm), et peut s'abaisser jusqu'à 30 bpm au repos chez les personnes ayant une bonne condition physique.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Les sports collectifs : Le handball en champion
Le handball est le sport collectif qui demande le plus d'énergie. Les courses répétées, les duels physiques et les tirs puissants brûlent beaucoup de calories. Plus que d'autres sports intenses comme le water-polo ou le rugby.
Le cœur apprécie tout particulièrement les activités physiques dites d'endurance, dont les trois principales sont la natation, la course et le vélo. Ces sports sont de moyenne intensité : entre 60 et 70 % du maximum que l'on peut fournir.
Courir trop vite en footing pourra donc entraver la récupération de l'entraînement précédent et surtout compromettre le prochain. Il faut savoir s'entraîner dur sur les séances de fractionné et y aller de manière relax sur les footings, c'est la clé des progrès !