Pour savoir si votre terre est calcaire ou acide, versez dessus un peu de vinaigre blanc. Selon la réaction vous pourrez identifier votre type de sol : Plus la réaction est effervescente, plus le sol est calcaire. Si la réaction est faible, le sol est neutre.
Idéal pour la plantation de gazon dans votre jardin, la terre végétale calcaire est la plus réputée des terres de culture. Elle est plutôt sèche et est un allié incontournables pour la culture de certains espaces rocailleux ou encore de différents arbres.
Support physique des cultures, un sol fertile doit avoir une structure et une profondeur qui permettent aux plantes de développer leurs racines pour s'ancrer, retenir l'humidité et évacuer l'eau en excès. Sa composition doit permettre un bon approvisionnement en éléments nutritifs (N,P,K), en eau et en oligo-éléments.
Sol riche et limoneux : la terre est poudreuse et douce lorsqu'elle est sèche. Sol léger et sableux : la terre est très granuleuse et sa texture est poreuse. Le sol riche en humus : le sol possède une texture spongieuse, la terre est légère et arbore des teintes très sombres.
3 paramètres importants qui définissent un sol
Une terre équilibrée, que l'on nomme communément terre franche, se compose de 50 à 70 % de sable et de 15 à 20% d'argile ; elle possède un bon drainage mais également une capacité de rétention d'eau satisfaisante, ainsi qu'une fertilité élevée.
Il est utilisé la plupart du temps pour remplacer une terre trop pauvre en nutriments pour les cultures et aussi pour le rempotage des plantations hors-sol. Vous l'aurez compris, chaque terreau répondra à un besoin spécifique de vos plantes.
Connaître la nature de son sol par sa texture
s'il est impossible de faire un boudin : la terre est sablonneuse ; s'il est possible de faire un boudin sans pouvoir faire se rejoindre les 2 extrémités : la terre est limoneuse ; si l'on peut faire un anneau : la terre est argileuse.
L'action : le fumier permet de fertiliser rapidement et fortement un nouveau sol (argileux, peu humifère) en lui apportant de l'humus et des éléments vite assimilables par les cultures. Il vaut mieux du fumier « vieux » de 1 à 2 ans (pailles peu visibles) et il est préférable de ne pas l'enfouir très profondément.
Le terreau est obtenu "artificiellement" par assemblage de différentes matières organiques et minérales. La terre végétale a une origine plus naturelle, puisqu'on la trouve en l'état dans la nature.
Placez votre pince multimètre autour du câble de connexion ou du piquet de terre. La pince est alors scindée en deux. La première partie produit une tension reconnue par le système tandis que la seconde partie calcule le courant.
Selon la norme NF C15-100, la résistance de la prise de terre doit être au plus égale à 100 ohms. Ces normes sont établies pour assurer la sécurité par rapport aux risques d'électrocution.
Pour la mesurer, vous pouvez utiliser un multimètre ou voltmètre. La méthode des 62 % : placez-vous à un endroit où vous pourrez enfoncer deux piquets dans le sol. La tension se mesure via une tenson envoyée dans le premier piquet et la valeur obtenue dans le deuxième.
Vous pouvez vous procurer de la terre végétale en jardinerie, dans des sacs de différentes contenances. Dans le commerce, elle aura l'avantage d'être tamisée et de respecter les normes citées ci-dessus.
Un terreau de bonne qualité est de couleur sombre. Il doit être souple au touché et homogène. De gros éléments mal décomposés sont au contraire la marque d'un terreau médiocre. Il doit enfin s'humidifier facilement et retenir l'eau.
En moyenne, il faut compter entre 5 et 25 euros pour 40 kg de terre végétale (soit 0,15 et 0,60 € le kilo). Les prix peuvent varier selon certaines caractéristiques de la terre que vous avez choisie : Terre végétale non tamisée : 14,50 € pour un mètre cube en vrac. Terre végétale tamisée : 19 € pour un mètre cube.
L'idéal pour remplir un carré potager est un mélange de matières organiques décomposées, compost ou fumier, et de terre végétale un peu argileuse, qui va retenir l'eau et les éléments fertilisants.
Ne laissez jamais un sol nu : pailler, ou mulcher le sol, va permettre de protéger ce dernier du soleil, de l'érosion, de la battance, limiter l'évaporation de l'eau, réduire la pousse des plantes indésirables… mais aussi protéger et nourrir ces fameux auxiliaires, qui vont ensuite eux-mêmes nourrir la terre.
Terre calcaire : terre sèche et idéale pour la plantation du gazon rustique et pour les plantes de rocaille. Terre humifère : pour les plantes d'intérieur (azalées, camélias...) et les tomates, elle est reconnue pour sa grande capacité d'emmagasinage d'eau et riche en éléments fertilisants.
Un sol riche en humus, ou sol humifère, est donc généralement de couleur foncée, frais, riche et meuble, tandis qu'un sol peu humifère est souvent clair, friable, rapidement sec, sensible au compactage et plutôt pauvre (il existe cependant des exceptions : on peut très bien avoir un sol clair et riche, ou brun et ...
Mais qu'est-ce qu'un sol pauvre ? Généralement, on met sous cette étiquette des terres superficielles (peu profondes), caillouteuses ou sableuses, sèches, peu humifères et peu fertiles. Le pH peut être fortement acide ou basique.
Les loams sableux et les loams conviennent le mieux pour la culture des pommes de terre : ils ont une capacité de rétention d'eau assez bien équilibrée, leur structure est stable, ils sont bien aérés et ont une bonne conductibilité thermique.