Donc, la liaison est obligatoire quand il y a un déterminant + un nom, quand il y a un pronom + un verbe, quand il y a un adjectif + un nom, quand il y a un certain nombre d'expressions toutes faites.
Une liaison est la prononciation d'une consonne finale qui n'est pas prononcée lorsque le mot s'écrit seul. La liaison se fait lorsque le mot suivant commence par une voyelle ou un « h » muet. Les liaisons se font avec les consonnes : n, t, p, r, z, p et rarement g.
La liaison est interdite devant les noms d'origine étrangère commençant par la semi-voyelle (aussi appelée semi-consonne) [j] (ces noms commencent généralement par la lettre y) ainsi que devant oui, ouistiti, whisky et devant un, huit, huitième, onze et onzième.
Il y a trois types de fausses liaisons : le pataquès, le cuir et le velours.
I. Règle générale
On fait, à l'oral, une liaison entre deux mots lorsque le premier se termine par une consonne muette et le second commence par une voyelle ou par un 'h' muet. La liaison unit à l'oral deux mots séparés à l'écrit et se fait entendre au début du deuxième mot.
Entre les auxiliaires avoir et être et le participe passé Elles ont (t) été en retard. Entre le verbe et le nom ou l'adjectif. Ces films sont (t) amusants. Entre la préposition (en, dans, chez, sans, avec, etc.)
On considère que les mots qui commencent par un h aspiré commencent par une voyelle du point de vue phonétique, mais qu'ils se comportent par rapport aux mots qui les précèdent comme s'ils commençaient par une consonne.
Le h de «haricot» est «aspiré». En cela, il interdit la liaison et «impose que ce mot soit prononcé disjoint de celui qui le précède». Et ce, au singulier comme au pluriel. Ainsi, on prononce «le haricot» et non pas «l'haricot» ; «les/ haricots» et non «les-z-haricots»; «un beau haricot» et non «un bel haricot».
Question d'origine : Peut-on dire des z'haricots verts ? Oui, on peut. (L'Académie l'a accepté depuis un bout de temps.)
Faire une liaison, c'est prononcer la consonne finale, habituellement non prononcée d'un mot pour le relier avec le mot suivant qui commence par une voyelle. On prononce donc une nouvelle syllabe qui a la structure consonne-voyelle, structure de la majorité des syllabes en français.
La liaison est facultative entre le nom pluriel du groupe nominal sujet et le verbe qui le suit; cette liaison est propre à la langue soutenue.
La seule explication vient de l'étymologie. Le « h muet » vient du latin et se retrouve souvent dans les langues d'origine latine. Le « h aspiré » provient de mots empruntés à d'autres langues, comme l'anglais (le hall), l'ancien francique (le haricot), l'arabe (le hasard), le néerlandais (le hareng)...
Une liaison covalente est une paire partagée d'électrons de valence. Elle se forme généralement entre des non-métaux. Une liaison ionique est une attraction électrostatique entre des ions de charge opposée. Elle se forme généralement entre des métaux et des non-métaux.
- les liaisons métalliques, les liaisons ioniques, les liaisons covalentes, les liaisons hydrogène et les liaisons de Van Der Waals. Les liaisons de Van Der Waals existent dans tous les types de composés solides, liquides ou gaz.
La liaison est la prononciation d'une consonne normalement muette avec la voyelle ou le h muet du mot qui suit. En faisant la liaison en français, la consonne finale fait partie de la première syllabe du mot qui suit. Dans cet article vous apprendrez: Les différents types de liaison en français.
En principe, le h est aspiré (c'est-à-dire qu'on ne fait ni élision ni liaison) :\ɑ̃. di.ka.pe\. Mais, en France, l'usage est répandu de ne pas faire la disjonction :\ɑ̃. di.ka.pe\.
hache, hachisch, haine, haïtien, haleter, hall, halle, halte , hamac, hamburger, hameau, hamster, hanche, hand-ball, handicapé, hangar, hanneton, hara-kiri, harceler, hard, harem , hareng, haricot, harpe, harpon, hasard, haschisch, hâte, haut, hauteur, havane , hérisson, héron, héros, heurter, hibou, hic, hiérarchie, ...
Le savoyard prend ses racines dans la langue des Savoyards de l'époque : le francoprovençal. Et la lettre “z” à la fin des mots, était à l'origine un signe phonétique utilisé à l'écrit pour différencier la prononciation entre le latin et le patois. Le “z” indique que la voyelle finale du mot ne se prononce pas.
Le h aspiré bloque non seulement l'élision (l'apostrophe), mais aussi la liaison à l'oral. Ainsi, quand on lit à haute voix nous les haïssons, on ne doit pas prononcer le son [z] après le pronom les. Au contraire, on doit le faire devant un h muet : nous les [z] habillons.
Réponse du Guichet. "Le" et "la" deviennent " l' " devant les mots commençant par une voyelle ou par un h muet . Il y a élision devant l'h muet et absence d'élision devant l'h aspiré .
Il existe en effet deux types de mots commençant par la lettre «h»: ceux avec un «h» muet et ceux avec un «h» aspiré. Le «h» muet est un «h» écrit mais que l'on n'entend pas à l'oral. Quant au «h» aspiré, il empêche la liaison et l'élision.
Le H muet ou aspiré, dans les deux cas, il ne représente aucun son, si le H est muet il y a élision ou liaison. Les mots commençant par un H aspiré, n'acceptent pas les liaisons ni les élisions au pluriel, Exemples : Les hasards, des harengs, ces halls, les héros, trois hauteurs…
Au pluriel, il faut donc faire particulièrement attention à l'absence de liaison entre le déterminant et le nom : dans des haricots , on ne prononce pas de [ z ]. On ne prononce donc pas [ dezaʁiko ] (« dé-za-ri-co »), mais bien [ deaʁiko ] (« dé-a-ri-ko ») !