Les personnes atteintes de ce trouble s'immergent profondément dans leurs rêveries, à un tel point que leurs rêveries peuvent les faire rire ou pleurer.
Passer plusieurs heures par jour à s'imaginer en superhéros, pilote ou infirmière, et à vivre des aventures étonnantes : telle est la manie – souvent incontrôlable – des rêveurs compulsifs. Problème : ils en souffrent, et on ne sait pas encore très bien comment les guérir.
Dans un premier temps, cette façon de rêver leurs ennuis peut donc sembler positive: c'est une forme de stratégie d'adaptation qui aide les rêveurs éveillés à surmonter le moment pénible qu'ils vivent. Mais à moyen et long terme, c'est plus un problème qu'une solution, puisqu'ils n'affrontent jamais leurs difficultés.
Traitement. Les médicaments escitalopram (un comprimé au réveil) et amitriptyline (un comprimé toutes les huit heures) sont utilisés pour le traitement.
S'obliger à se réveiller pendant la nuit
Prévoyez des réveils à plusieurs heures de la nuit, notamment vers 3 ou 4 heures du matin. Il s'agit de la phase de sommeil paradoxal, plus propice aux accès de rêverie. Ce réveil vous permettra de vous rappeler les rêves que vous venez de réaliser.
Les mondes imaginaires sont un thème récurrent dans l'imagination des hommes et ce pour une multitude de raisons : tâcher de comprendre le monde qui l'entoure, critiquer ce monde, s'en évader, le fuir, ou pour le simple plaisir de créer, de modifier.
C'est un songe durant lequel la personne qui éprouve le rêve à bien conscience d'être en train de rêver, avec un sentiment de contrôle très fort sur le déroulement du rêve.
LES TROUBLES DE LA PERSONNALITÉ : QU'EST-CE QUE C'EST ? Les troubles de la personnalité sont caractérisés par des schémas omniprésents et persistants de pensées, de perception, de réaction et de relations entrainant une souffrance pour la personne et/ou nuisent considérablement à sa capacité à fonctionner.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
L'immobilité corporelle est une des caractéristiques comportementales du sommeil. On regroupe sous le nom de parasomnies un groupe d'affections qui se caractérisent par des comportements anormaux et des expériences indésirables se produisant à l'endormissement ou pendant le sommeil.
On estime que 30 à 40 % de la population a connu (ou connaîtra au moins une fois) une paralysie du sommeil. Ce trouble peut toucher absolument tout le monde mais il n'est pas fréquent. Les personnes ayant déjà des troubles du sommeil ne sont pas plus exposées que les autres.
Cette sensation est probablement due au relâchement musculaire qui se produit lors du passage de la veille au sommeil. Rien de grave toutefois: aucune pathologie n'a jamais été associée à cet effet que les médecins nomment la «myoclonie d'endormissement».
L'hyperstimulabilité imaginative est une caractéristique innée de beaucoup d'enfants surdoués qui s'exprime par une imagination particulièrement débordante et sensiblement accrue par rapport à celle des autres personnes.
La cohérence doit être le maître-mot de votre univers
Mais pour rester cohérent, cet univers doit être régi par des règles – des règles décidées par vous-même, certes, mais des règles tout de même. L'imaginaire permet de mettre en scène tout et n'importe quoi, mais certainement pas n'importe comment.
Les psychologues distinguent deux espèces d'imaginations : ['imagination reproductrice, faculté de conserver dans l'esprit les images des sensations passées ; l'imagination créatrice, faculté non de créer des images, mais de combiner d'une manière originale les images emmagasinées dans l'esprit.
La paralysie du sommeil est un phénomène encore assez mal connu bien que relativement répandu. Ceux qui en sont les victimes se réveillent en pleine nuit incapables de bouger et avec une sensation d'étouffement parfois accompagnée d'hallucinations visuelles ou auditives.
Au cours d'une expérience de paralysie du sommeil, la personne se réveille sans pouvoir bouger, ni parler. Les seuls muscles actifs sont les muscles oculaires et les muscles respiratoires. La sensation est similaire à celle d'un rêve éveillé. Les crises sont le plus souvent courtes et n'excèdent pas quelques minutes.
La cataplexie est la perte soudaine du tonus musculaire sans que la personne perde connaissance. Les personnes narcoleptiques ressentent également parfois des hallucinations ou des paralysies du sommeil de quelques secondes, au réveil ou en s'endormant.
L'agitation nocturne peut avoir une origine psychologique et être liée à une anxiété, des angoisses ou un traumatisme (accident, agression...), ce qui va favoriser le déclenchement de rêves agités ou de cauchemars. La personne qui cauchemarde peut alors se réveiller en pleine nuit et avoir du mal à se rendormir.
À cause du stress, de l'anxiété, d'une mauvaise hygiène de vie, ou même d'une mauvaise literie, vous pouvez êtes sujet à des mouvements répétés la nuit. Et les conséquences de ces mouvements peuvent être importantes : vous pouvez nuire à votre sommeil, mais également à celui de votre partenaire.
"Certaines études ont montré l'augmentation de la durée du sommeil paradoxal, après un stress de courte durée, alors qu'un stress chronique va plutôt diminuer le temps de sommeil.
Actuellement, dix troubles de la personnalité sont répertoriés en psychiatrie, le trouble de la personnalité limite (TPL) et le trouble de la personnalité antisociale étant le plus souvent diagnostiqués.
Le mot borderline veut dire « à la limite ». Il a été utilisé car le trouble était, à l'origine, considéré comme « à la limite » entre la névrose et la psychose. On sait maintenant que c'est une maladie clairement définie. Vous entendrez aussi parler d'état limite.