Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
Les personnes qui développent le diabète de type 2 peuvent préalablement avoir reçu un diagnostic de prédiabète. Cette condition est présente lorsque le taux de glucose sanguin est plus élevé qu'à la normale, mais pas suffisamment élevé pour poser un diagnostic de diabète de type 2.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le diabète est favorisé par une prédisposition génétique. Le diabète de type 1 survient suite à une réaction anormale du système immunitaire. La survenue du diabète de type 2 est essentiellement liée au mode de vie : surpoids, sédentarité, hypertension artérielle, etc.
On parle d'hyperglycémie sévère, en cas de glycémie supérieure à 2,50 g/L. Elle peut être bénigne si elle est ponctuelle et sans symptômes. En revanche elle est considérée comme grave, si elle persiste avec les symptômes suivants : fatigue, soif, langue sèche, urines abondantes, maux de tête..
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
L'accumulation de graisse abdominale, c'est-à-dire située à l'intérieur du ventre, est à prendre au sérieux. C'est une des anomalies du syndrome métabolique qui, à terme, peut favoriser l'apparition d'un diabète de type 2.
Les cellules essayent de survivre en utilisant d'autres carburants, de mauvaise qualité, qu'elles fabriquent à partir des protéines et des graisses : ceci explique la perte de poids et l'apparition d'acétone qui est un déchet de ces mauvaises combustions des graisses dans les cellules.
Les aliments protéiques doivent être le moins gras possible: les poissons, les volailles comme la dinde, la pintade, le poulet sont les mieux indiqués, mais aussi, en quantité modérée, la viande de bœuf ou de veau. En revanche, la viande d'agneau ou de porc est à éviter.
D'ailleurs, les résultats des études sont la preuve du potentiel pouvoir antidiabétique de la cannelle, du gingembre, du curcuma, du ginseng, du fenugrec, du cumin noir et de l'ail parmi diverses épices.
Le problème le plus fréquemment rencontré chez les diabétiques sportifs est l'hypoglycémie (diminution de la quantité de glucose (sucre de façon générale) contenue dans le sang). Elle se traduit par des palpitations, une transpiration abondante, un sensation de faiblesse et des tremblements.
De plus, la neuropathie périphérique est une des complications du diabète qui se traduit, entre autres, par une perte de sensibilité au froid. Les nerfs responsables de l'envoi au cerveau d'informations sur la température ne fonctionnent pas bien.
On pense souvent à tort que le sucre provoque le diabète. Ce n'est pas le cas. La véritable cause est plutôt liée à l'insuline, ou plutôt à son absence.