- si : conjonction de subordination / adverbe d'intensité / adverbe qui équivaut à « oui ». - s'y : pronom « se » + « y ». - ci : adverbe. « s'y » précède toujours un verbe.
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
si : conjonction.
Il peut introduire une subordonnée complétive : « Je te dirai demain si je viens » ou complétive interrogative indirecte : « Je me demande si tu viendras ». Il peut introduire une subordonnée adjointe hypothétique (de condition) : « Si tu mangeais proprement, je ne te reconnaîtrais pas ».
Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
1-Si j'ai de l'argent, j'aiderai les démunis demain. a-J'aiderai les démunis demain si j'ai de l'argent. 2-Si j'avais de l'argent, j'aiderais les démunis. b-J'aiderais les démunis si j'avais de l'argent.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Maroc, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Étymologie de « si possible »
Ellipse de si c'est possible.
Faux. Il faut écrire : Le médecin passe dans chaque chambre mais n'y reste pas longtemps. « Ni » est ici suivi d'un verbe, « reste », et l'on trouve après le verbe un terme renforçant la négation, « pas » : ce n'est donc pas « ni » qu'il faut écrire, mais « n'y ».
Dans la langue française, en général, il suffit d'ajouter un "-S", aux mots ou adjectifs pour former le pluriel. Mais, bien sûr, cela serait trop simple ! Alors pour corser un peu la chose il y a des exceptions. Mes livres sont excellents.
La liaison se fait toujours : Entre le déterminant (un, des, les, mon, ton, son, mes, tes, ses, nos, leurs, aux, aucun, tout, quels, quelles, quelques) et le nom. Les (z) ours. Quelques (z) oasis.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
En général, on forme le pluriel d'un nom en ajoutant « s » au nom singulier. Pour certains noms, « x » est la marque du pluriel. En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit. Cette terminaison « s » ne se prononce pas.
Il est donc préférable d'écrire « ce que l'on dit » au lieu de « ce qu'on dit » pour éviter ce son mal sonnant. De plus, toujours pour éviter le son [kɔ̃], il est recommandé d'utiliser le « l » euphonique après « que » s'il est suivi d'un verbe commençant par con- ou com-.
Il faut écrire « je voudrai » sans « s » lorsqu'on parle au futur. Dans l'autre cas, il faut écrire « je voudrais » avec un « s » final lorsqu'on s'exprime au conditionnel, c'est-à-dire lorsque l'action est soumise à conditions.
Règle du verbe aller
Il se conjugue selon 3 radicaux distincts : le radical va au présent de l'indicatif et à l'impératif : je vais, tu vas..., le radical ir au futur et au conditionnel : j'irais, tu iras....
Si on peut remplacer par « Tu voudras », alors c'est le futur et il faut écrire « Je voudrai » sans « - s ». Si on peut remplacer par « Tu voudrais », alors c'est le conditionnel présent et il faut écrire « Je voudrais » avec un -s.
'Can' est ce que l'on appelle un auxiliaire modal. A ce titre il est très simple de le conjuguer : Il ne prend pas de 's' à la 3e personne du singulier. Il se conjugue au présent (can), et au prétérit sous la forme de 'could', qui peut être utilisé comme conditionnel.
maximum – minimum.
Les mots maximum et minimum sont à employer de préférence comme noms masculins; au pluriel, on écrira : des maximums, des minimums. Ils ne seront pas utilisés comme adjectifs; on emploiera dans ce cas maximal, minimal (au féminin, maximale, minimale; au pluriel, maximaux, minimaux).
Permet d'opposer deux termes ou deux membres de phrase pour introduire une restriction, une objection, une explication, ou pour marquer un renchérissement sur ce qui vient d'être dit. Je le connais, mais peu. Je viendrai, mais plus tard.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Attention : dans la phrase « mais où est donc Ornicar ? », on a mis un accent au-dessus du « u » pour dire où l'endroit. C'est dans la phrase moyen mnémotechnique. La conjonction de coordination « ou », ce n'est pas celle avec un accent pour parler de l'endroit, c'est celle qui nous permet de choisir entre deux choses.