D'après la règle du duet un atome ou un ion est stable si sa couche externe est K et comporte deux électrons. D'après la règle de l'octet un atome ou un ion est stable si sa couche externe L ou M comporte 8 électrons.
Règle du duet (applicable aux atomes de numéro atomique Z ≤ 4) : un atome ou un ion est stable si la couche externe (la couche K dans le cas présent) est remplie avec deux électrons.
Comment savoir si une molécule est stable? Pour qu'une molécule soit stable il est nécessaire que chacun de ses atomes soit stable. Un atome est stable dans une molécule si les liaisons covalentes qu'il forme lui permettent de saturer sa couche de valence.
Les atomes sont stables lorsque le nombre de neutrons dans le noyau est à peu près équivalent au nombre de protons. Lorsqu'il y a un déséquilibre important entre le nombre de neutrons et celui de protons dans le noyau, l'atome devient instable.
Les atomes peuvent se stabiliser en adoptant la configuration électronique du gaz noble de numéro atomique le plus proche. Pour cela, ils perdent ou gagnent des électrons sur leur couche de valence et forment des ions monoatomiques (doc. 4). L'ion H+ n'obéit pas à cette règle.
La stabilité d'une molécule est assurée par le partage d'électrons entre chaque atome. Ce partage est modélisé par la liaison covalente. Le schéma de Lewis est une écriture conventionnelle permettant de représenter des atomes et des molécules.
Expliquer comment le schéma de Lewis permet de justifier la stabilisation des atomes dans une molécule. Le modèle proposé par Gilbert Newton Lewis en 1916 fait intervenir les électrons de valence des atomes. Deux atomes mettent en commun deux électrons de valence pour former une liaison covalente ou « doublet liant ».
C'est le fer. Au début de leur vie, les étoiles tirent leur énergie de la fusion de petits noyaux atomiques pour former des noyaux plus gros. Les étoiles fabriquent ainsi de l'hélium par fusion de noyaux d'hydrogène. Quand il est épuisé, l'hélium réagit et donne du carbone et de l'oxygène.
On distingue les liaisons chimiques fortes ayant une énergie de liaison très élevée (supérieure à 100 kJ. mol-1) et des liaisons chimiques faibles. Les liaisons ioniques, covalentes et métalliques sont des liaisons fortes.
Réponse : Explications : On sait que l'atome d'hydrogène H suit la règle de stabilité afin de se stabiliser et se rapprocher du gaz noble le plus proche (ici l'hélium He, de couche 1s²). Donc il va perdre 1 électron et devient l'ion H+.
Les molécules instables sont une technologie découverte et développée par Reed Richards – alias Mr Fantastic des Quatre Fantastiques – qui consistent en une configuration inconnue de noyaux atomiques et d'électrons qui connaissent une réaction en présence de certaines matières énergétiques qui les entourent.
Il s'agit de liaisons impliquant l'atome d'hydrogène d'une molécule et le doublet non liant de l'atome d'oxygène d'une autre molécule. Ces liaisons sont assez difficiles à briser. Elles confèrent donc une grande stabilité physique à ces deux phases de l'eau.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
Le fer possède 28 isotopes connus dont les plus stables sont les nombres de masse varient de 45 à 72. Le nombre de masse d'un atome est le nombre de nucléons qu'il contient. Il s'agit donc de la somme du nombre de protons et du nombre de protons qui constituent le noyau de l'atome.
Aujourd'hui, c'est l'oganesson, de numéro atomique 118, qui est officiellement l'élément chimique le plus lourd du tableau périodique. Synthétisé en 2002, il est très instable et se désintègre en moins d'une milliseconde.
La grande stabilité des gaz nobles est donc liée au nombre particulier d'électrons qu'ils possèdent sur leur couche externe : soit deux électrons ou un duet d'électrons pour l'atome He ; soit huit électrons ou un octet d'électrons pour les autres atomes (Ne, Ar).
C'est un oligo-élément actif sous forme ionisée Mg2+. Le magnesium est très peu stable sous sa forme métallique. Pour se stabiliser, il a donc tendance à se combiner à d'autres molécules via ses deux électrons.
La stabilité nucléaire correspond à la stabilité du noyau d'un atome. Elle dépend de la force de répulsion des protons et de la force nucléaire. Un atome dont le noyau est trop instable a tendance à se désintégrer de sorte qu'il génère un ou plusieurs noyaux plus stables.
Les conditions d'une stabilité optimale
Les objets qui ont un centre de gravité bas et une base large ont tendance à être stables.
A
Dans une molécule, chaque atome respecte la règle du duet ou la règle de l'octet. Les formules de Lewis des molécules permettent de vérifier le respect de ces règles en comptabilisant les électrons des liaisons covalentes et des doublets non liants pour chaque atome de la molécule.
L'isotope le plus abondant, l'hélium 4, est produit sur Terre par la radioactivité α d'éléments lourds : les particules α qui y sont produites sont des noyaux d'hélium 4 complètement ionisés. L'hélium 4 est un noyau à la stabilité inhabituelle, parce que ses nucléons sont arrangés en couches complètes.
Donc pour comparer la stabilité de deux noyaux, il faut comparer l'énergie de cohésion par nucléon (ou liaison par nucléon) des deux noyaux, le plus stable aura donc la plus grande énergie de cohésion par nucléon (ou liaison par nucléon).