Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation. Après consultation d'un médecin, certains médicaments comme les neuroleptiques et les antidépresseurs peuvent réduire l'apparition d'obsessions. Des thérapies de groupe ou des produits de santé naturelle peuvent apaiser et réduire les obsessions.
Apprendre à mieux gérer ses émotions peut donc être la clé pour venir à bout de cette fixette amoureuse. Du sport, de la méditation ou encore une étayage des liens sociaux favorisent ce travail personnel. Si cette obsession commence à devenir ingérable, il est recommandé d'aller consulter un psychologue.
A ce sujet, la psychothérapie est l'approche à privilégier. Sources: Manuel de thérapie comportementale et cognitive; Pratiquer la Thérapie Interpersonnelle (TIP) , Dunod; Prendre en charge la dépression avec la thérapie interpersonnelle, Dunod.
Au moment où vous voulez bloquer la pensée, essayez de mettre une limite et de déplacer cette préoccupation à une certaine heure. Il peut être plus facile dans ces cas-là de déplacer son attention sur une autre activité : comme faire du sport, voir un ami, regarder un film ou une série, faire des courses ou cuisiner.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et lorsqu'on va les écouter, on sait qu'il se passe quelque chose en nous. Une fois qu'elles ont fait leur rôle, qu'on les a écoutées, elles vont se calmer naturellement. Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer.
La méditation guidée peut vous aider à trouver le calme intérieur en se concentrant sur la respiration qui est le support de base et permet à l'esprit de se détacher de ses ruminations. Un entrainement quotidien de 5/10 mn est excellent.
La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
Elle se traduit par des pensées excessives et répétées, qui s'imposent à celui/celle qui en souffre. Elle peut se manifester dans une relation réelle, dans une relation imaginaire et idéalisée à l'extrême ou encore après une rupture où l'on ressasse les bons moments passés ensemble.
Anxiété : lorsqu'une personne souffre d'anxiété, cela peut entraîner des pensées intrusives. En fait, ces pensées sont souvent liées à des situations sociales inconfortables ou à la possibilité d'une mort ou d'un malheur. Stress : le stress peut également être l'une des principales causes des pensées intrusives.
Le sommeil de courte durée et l'endormissement tardif seraient alors des facteurs de risques dans l'aggravation des symptômes liés aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC). Lutter contre l'anxiété, et autres signes cliniques caractéristiques, serait plus difficile lorsque le sommeil n'est pas suffisant.
La meilleure méthode, pour arrêter de penser de façon obsessionnelle à un quelqu'un, est de focaliser votre pensée sur… Quelqu'un d'autre. Pourquoi, cette fois-ci, ne pas vous choisir ? Vous méritez toute cette attention, alors que diriez-vous de devenir vous-même votre centre d'intérêt le plus poussé ?
Les causes des troubles obsessionnels compulsifs
Les causes des dysfonctionnements cérébraux conduisant aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont encore inconnues. Il existe une prédisposition génétique, c'est à dire un risque augmenté de développer la maladie pour les apparenté au 1er degré d'un patient.
Voici un petit exemple pour les comparer. Pour ma part, un obsédé peut tuer sa copine ou son copain par jalousie. Alors que quelqu'un d'amoureux ne pourra jamais faire de mal à la personne qu'il aime.
Quelques conseils destinés aux proches d'une personne souffrant de TOC. Il faut en premier lieu garder toujours à l'esprit que ceux qui souffrent de troubles obsessionnels compulsifs TOC ne peuvent pas éviter de le faire ou de le penser. Ceci ne signifie pas qu'ils sont faibles, sans volonté, voire paresseux.
Les personnes atteintes du trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive peuvent être trop zélées, difficiles et rigides sur les questions de moralité, d'éthique et de valeurs. Elles appliquent des principes moraux rigides à elles-mêmes et aux autres et sont très critiques à leur propre égard.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Ce surdoué – les troubles obsessionnels sont souvent associés à un haut niveau d'intelligence -, met aussi en place des rituels de répétition à côté des compulsions de nettoyage. Le film permet d'observer l'évolution de ses troubles, qui deviennent rapidement envahissants.
Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se traduisent par des obsessions (pensées dérangeantes, répétitives et incontrôlables), causant une forte anxiété. Celle-ci est atténuée par la mise en place de comportements répétitifs, irraisonnés et incontrôlables (les compulsions).
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
Contre l'anxiété, l'aubépine et l'eschscholtzia
Intéressante lorsque les angoisses sont nocturnes, et que des ruminations tournent dans la tête et empêchent de dormir.