1) La forme interrogative se construit en inversant sujet et verbe lorsqu'il s'agit d'une question à laquelle on peut répondre par oui ou par non. ¿Tu gato salió? / ¿ Salió tú gato ? Sí, salió. No, no salió.
À la forme interrogative, on place le sujet après le verbe ou après l'auxiliaire dans les temps composés. On lie le pronom sujet au verbe par un trait d'union. Attention : Coupes-tu? as-tu coupé?
On distingue deux sortes de phrases de type interrogatif : la phrase avec interroga- tion totale et celle avec interrogation partielle. Elles se terminent toujours par un point d'interrogation.
L'arabe et d'autres langues qui utilisent l'alphabet arabe (comme le perse ou le ourdou) adoptent le signe d'interrogation avec effet miroir (⸮), c'est-à-dire inversé par rapport à la position que nous connaissons.
Le Ñ, ñ, egne, ou ene tilde (en espagnol la eñe, nom féminin) est une consonne utilisée en aragonais, asturien, basque, breton, espagnol, galicien, guarani, hassanya, karone, portugais tagalog, wamey, wolof, etc.
Le Ñ (ñ) est utilisé pour représenter un son palatal nasal dont le symbole dans l'alphabet phonétique international est [ɲ] (comme le français ‹ gn ›).
On distingue deux types d'interrogation : l'interrogation partielle, qui suppose l'apport d'une information manquante. L'intonation est descendante ; le terme interrogatif initial est mis en relief (ex : Qui a téléphoné tout à l'heure ?) ; l'interrogation totale, qui suppose une réponse par « oui » ou « non ».
La question se construit ainsi: sujet + verbe + mot interrogatif ou si vous avez un complément la question. L'intonation change, elle monte en fin de phrase.
La négation peut être exprimée par le vocabulaire : préfixe négatif, préfixe non- ou encore un antonyme. On parle de négation lexicale. La négation peut être exprimée par un préfixe négatif (a-, an-, anti-, dé(s)-, il-, im-, in-, ir-, mal-). La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide.
On applique DO pour I, YOU, WE, THEY et DOES pour HE, SHE, IT.
(Grammaire) Qui utilise une interrogation et une négation. La forme interro-négative de « Vous avez fini ? » est « N'avez-vous pas fini ? ». Une construction interro-négative.
À la forme interrogative, il s'interroge sur les caractéristiques du sujet qu'il précède (la phrase se termine par un point d'interrogation). Sa structure est : Am I…?, Are you…?, Is he…?, Is she…?, Is it…?, Are we…?, Are you…? et Are they…?.
En langue espagnole, "Comment t'appelles-tu?" se dit "¿Cómo te llamas?".
On emploie cuando (quand) avec le subjonctif pour exprimer des actions futures.
À cet égard, six types sont recensés : informatif, descriptif, réflexif, métacognitif, affectif et, enfin, conceptuel1 (Lafortune, 2004a).
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ».
Qu'est-ce que tu écoutes ? -> la radio, un CD ,mon baladeur MP3... Elle peut aussi commencer par : à quoi, de quoi, avec quoi ... (rappel : à que, de que ..
La phrase interro-négative est une variante de la phrase interrogative ; la plupart des phrases interrogatives peut se transformer en phrase interro-négative par l'ajout d'une négation.
Vous avez oublié d'acheter du pain. Pour transformer une phrase déclarative en phrase interrogative : J'ai inversé le sujet et le verbe. J'ai mis des tirets (et « -t- » si nécessaire).
Ñ se prononce GNE, comme dans le mot français « gagner ». [Eñe] se dira donc [égné].
ó : ALT+162. ú : ALT+163. ñ : ALT+164.
De plus, on peut retrouver en espagnol un accent qui n'existe pas en français, c'est cette petite vague «〜» qui se place en espagnol sur le n : ñ. Cette lettre, on l'appelle phonétiquement « la égné » ou eñe.