> En cas de démangeaison (envie de se gratter), envoyez de l'air froid dans le plâtre à l'aide d'un séchoir à cheveux. N'utilisez pas de règle, ni de broche ni aucun autre objet pour vous gratter.
En effet, le port d'un plâtre modifie la perception de la douleur sur notre peau. Evitez aussi de vous gratter avec un stylo dont le capuchon pourrait rester coincé sous votre plâtre ! Si les démangeaisons sont vraiment trop intenses, utilisez un objet long à la fois solide et souple et surtout désinfecté.
Pour les 2 premières semaines qui suivent l'installation du plâtre, il est normal d'avoir de la douleur et il est important de prendre la médication prévue pour être confortable. Également, vous pourrez observer de l'enflure au niveau de votre membre immobilisé.
Lorsque votre enfant est allongé : il peut caler son bras ou sa jambe avec un coussin ; dans le cas d'une jambe plâtrée, vous pouvez surélever les pieds de son lit à l'aide de cales.
Bouger les doigts et les orteils fréquemment. Eviter de marcher sur le plâtre. Des talonnettes peuvent être positionnées dans certains cas pour permettre l'appui. L'utilisation de béquilles est évidemment conseillée pour éviter l'appui au sol du membre plâtré.
Inspectez l'état du plâtre : S'il devient craquelé ou si des points mous se développent par endroit, ou s'il est cassé, il n'est plus efficace. Si votre membre peut bouger facilement, descendre à l'intérieur du plâtre, sa fonction d'immobilisation n'est plus assurée, il n'est plus efficace.
Toute douleur sous plâtre doit faire suspecter certaines complications redoutables (phlébites, ischémie, nécrose cutanée, syndrome de loge, infection, compression neurologique) masquées par la contention et aggravées par le syndrome compressif.
Pour éviter ces complications, le médecin peut prescrire préventivement des anticoagulants par injections sous-cutanée. L'objectif est alors de rendre le sang plus « fluide », et d'éviter la formation de caillot. Ces injections doivent être effectuées à heure régulière.
Vous pouvez utiliser des béquilles pour vous soutenir partiellement, mais vous pouvez commencer à marcher sur la jambe blessée dès que vous êtes à l'aise, ou selon les recommandations de votre médecin. Il est aussi possible que vous boitiez durant quelques semaines après le retrait du plâtre.
Elle consiste à envelopper les zones du corps stockant le plus de graisses comme le ventre, les bras, les cuisses. Les bandes de plâtre sont plongées dans une solution contenant des composants naturels aux propriétés réductrices de graisses et anti-cellulite.
Lavez la peau à l'eau savonneuse tiède et appliquez de la crème hydratante quotidiennement. Réadaptation : La réadaptation précoce est un élément important de la guérison après l'enlèvement d'un plâtre.
Dans ces cas, retirer le plâtre ne signifie pas que vous êtes guéri mais qu'il faut traiter une urgence. Il s'agit souvent d'une compression au niveau de la peau, des muscles, des nerfs et des vaisseaux sanguins. Parfois, le retrait du plâtre suffit à régler le problème.
La meilleure position pour dormir avec une fracture du poignet est sur le dos avec un coussin sous le poignet fracturé. Il est important de garder une attelle pendant la nuit pour éviter qu'un mouvement involontaire gêne votre guérison.
2/HABILLAGE : le tee-shirt et la chemisette à manches courtes bien larges se sont imposés. En tout cas dans ces premiers jours de plâtre où toute manipulation du bras reste douloureuse. On enfile par dessus sweats zippés et manteaux, mais que la main gauche, et on glisse l'autre côté sur l'épaule.
Il est impératif de ne pas mouiller le plâtre. Un plâtre mouillé peut entraîner une macération de la peau (peau trempant dans un liquide) et créer des plaies et des risques d'infection. Voici les consignes à suivre : Ne dirigez jamais l'eau directement sur le membre recouvert d'un plâtre.
Une sensation de lourdeur de la jambe est souvent présente. Un œdème d'un seul mollet. Il s'accompagne d'un durcissement et d'un gonflement du mollet, parfois jusqu'à la cuisse, et d'une coloration bleuâtre/violette de la zone concernée.
Le principe du protège-plâtre Aquatex®
AQUATEX® est un manchon en latex parfaitement hermétique conçu pour se laver et se baigner avec un plâtre ou un bandage sans aucun risque de le mouiller.
Une chaussette en jersey est d'abord posée sur la peau. Le praticien enroule ensuite autour de la jambe une bande en mousse synthétique ou en coton qui va matelasser la jambe et la protéger du contact direct du plâtre ou des arêtes qui peuvent irriter la peau.
L'apparition de ces signes nécessite une consultation immédiate. Un refroidissement des extrémités. Une cyanose des extrémités, les doigts sont bleus ou moins sensibles. Une odeur fétide.
Le pied est toujours gonflé quelques semaines après l'ablation de la résine, faut-il s'inquiéter ? Le gonflement (œdème) observé est un phénomène normal après un traumatisme ou une chirurgie du pied ou de la cheville. Cet œdème ne présage en aucun cas d'une complication ou d'un défaut de récupération.
Le poids d'une plaque de plâtre varie selon sa nature et sa dimension. Une BA 13 standard de marque Placo® pèse 9.30 kg/m². On passe à 11.8 kg/m² en Placo®Phonique et 12 kg en Habito®. Si on prend par exemple une longueur de 2.60 m et une largeur de 1.20 m cela donne donc respectivement 29, 36 et 37 kg environ.
L'habillage
Privilégiez les vêtements amples (n'hésitez pas à investir dans des vêtements d'une taille supplémentaire) afin de ne pas le faire souffrir en manipulant son membre blessé.
Parce que la scie oscillante est équipée d'une lame vibrante et non rotative, la peau peut résister au contact de la lame. Des blessures sont toutefois possibles si la mauvaise technique est employée. « Il ne faut pas forcer.
La botte orthopédique ne nécessite aucune modification particulière pour que le patient puisse supporter son poids et marcher. Cependant, avec certaines fractures, le retrait temporaire de la botte peut entraîner de pires résultats de guérison et cela peut constituer un désavantage par rapport au plâtre.