Si un noyau d'atome contient trop de neutrons et de protons, il est instable. Pour retrouver sa stabilité, il éjecte des neutrons et des protons. Il émet alors des particules, c'est-à-dire de l'énergie, et des rayons, c'est ce qu'on appelle la radioactivité.
Les fortes doses détruisent généralement des cellules, ce qui endommage les tissus et les organes. Ces doses entraînent parfois une réaction dans le corps entier appelée « syndrome d'irradiation aiguë », qui peut causer la mort.
Il faut pour cela utiliser des matériaux étanches: scotch, drap mouillé, mastic à prise rapide, planche ou film plastique, couper la ventilation et le chauffage, qui favorisent les mouvements d'airs. Le mieux est évidemment de pouvoir se réfugier dans les sous-sols.
Le blindage : Des barrières faites de plomb, de ciment ou d'eau protègent des rayons gamma et des rayons X pénétrants. C'est pourquoi certaines matières radioactives sont stockées dans des pièces isolées au plomb ou sous l'eau.
Éloigner tant que possible les personnes de la source des rayonnements : l'intensité des rayonnements ionisants diminue avec le carré de la distance. Diminuer au maximum la durée d'exposition aux rayonnements. Placer entre la source et les personnes exposées un ou plusieurs écrans/blindages de protection.
Pour éviter que la thyroïde ne fixe l'iode radioactif, une prise d'iode stable (iode naturel, non radioactif), en saturant cette glande, constitue un moyen de prévention efficace pour protéger la santé des populations exposées.
1000 mSv est une dose très élevée qui correspond à 1 Gray. Ce niveau d'exposition à la radioactivité a un effet direct sur la santé et implique un risque pour la vie de la personne exposée dans les semaines et les mois qui suivent.
De ce fait, la radioactivité n'est pas contagieuse une fois que l'on s'est débarrassé de tous les éléments qui ont été mis en contact direct de particules.
Ainsi, selon la dose reçue, une exposition peut provoquer des effets immédiats tels que des brûlures et des nausées, ou des effets aléatoires à long terme tels que certains cancers.
Une dose élevée de radiations a pour effet de détruire le système nerveux, les globules rouges et les lymphocytes, ce qui endommage le système immunitaire.
Pour la porte-parole du département des urgences de New York, la première règle est de se réfugier rapidement à l'intérieur de chez soi et s'éloigner le plus possible des fenêtres. Mais "se mettre à l'abri dans sa voiture n'est pas une option" selon elle.
L'Australie, championne de la survie
Mais en cas de conflit entre les Etats-Unis et la Russie - le plus important envisageable à l'heure actuelle -, la production de calories pourrait culminer à 90% trois ou quatre ans après la guerre.
A Paris existe un lieu construit durant la guerre froide et qui possède 14 abris : Radio France ! Ils seraient accessibles par des galeries situées sous le bâtiment. L'Elysée dispose aussi d'un abri de 250 m2 sous le palais.
Se mettre à l'abri
Les murs des constructions constituent en général une protection suffisante aux rayonnements. Il est nécessaire également de calfeutrer les ouvertures, comme l'encadrement des fenêtres, avec du ruban adhésif par exemple.
Lemasque NRBCpréserve les appareils respiratoires des effets néfastes des agents nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques.
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
La France compte aujourd'hui environ 400 bunkers privés, un chiffre loin d'égaler celui de l'Allemagne, de la Norvège ou encore de la Suisse. Et ce, malgré les 56 réacteurs nucléaires que compte aujourd'hui la France.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
La Russie et les États-Unis restent toutefois loin devant, puisqu'ils détiennent toujours environ 90 % des armes nucléaires de la planète.
La France dispose de quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de la force océanique stratégique (FOST), basée sur la presqu'île de l'Île longue, dans la rade de Brest.
Pour une irradiation interne, le décès a généralement lieu dans les deux mois suivant l'irradiation, par infection ou hémorragie interne (1,5–10 Gy) ou par diarrhée de type dysentérique. Il est attesté à partir de 1,5 Gy (exposition rapide, sans soins) et est quasi-certain au-delà de 10 Gy.
Il décède (ainsi que les nombreux autres pompiers et opérateurs de l'usine ce soir-là) par apoptose massive des cellules, la mort progressive des tissus s'apparentant à une décomposition vivante. Aucun pompier présent la nuit du drame n'a survécu, tous sont morts à l'hôpital numéro 6 de Moscou.