La crosse, aussi appelée crosier ou crozier, est principalement le bâton pastoral d'un évêque. La crosse est l'insigne, par excellence, de la mission de pasteur qu'exercent les évêques auprès de leurs fidèles.
Crosse d'Evêque. Bâton surmonté de deux figurines de serpents symbolisant la sagesse et la prudence, le bâton pastoral fait partie de la tenue d'un évêque.
La férule papale ou férule pontificale est un bâton liturgique (surmonté, ou non, d'une croix) utilisé par le pape. Elle se différencie de la crosse épiscopale des évêques.
Le port de la mitre est réservé aux, évêques et aux abbés. Il est habituellement associé à l'usage de la crosse (voir Insignes pontificaux). Certains prélats, qui ne sont ni évêques ni abbés, ont parfois le privilège de porter une mitre.
S'agissant des évêques, le « Monsieur » (terme en soi honorifique) a été utilisé jusqu'au XVIIe siècle, quand les évêques ont commencé à s'appeler entre eux et à se faire appeler « Monseigneur » ; mais le « Monsieur » était resté de rigueur dans les correspondances des agents de l'État concordataire tout au long du XIX ...
Vous pouvez lui dire simplement « bonjour ». Il existe plusieurs formules, évidemment : Monseigneur, Père-Evêque, Excellence, Mon Père, etc.
"Mon Père", "Père", ou "Monsieur l'Abbé", sont des manières de s'adresser à un prêtre.
La calotte est une coiffe ronde, portée par les ecclésiastiques dans la liturgie catholique. Elle est également en usage chez les Anglicans. Chez les catholiques, on la nomme parfois de son italien zucchetto (/dzukˈketto/).
Les saturnes des prêtres ainsi que des diacres et des séminaristes est noir à cordons noirs lisses. Celui des évêques, archevêques et patriarches est également noir mais orné de ruban vert et de cordons dorés.
La barrette, de l'italien berretta lui-même emprunté au latin médiéval biretum, est une coiffe de forme carrée, en étoffe doublée de tissu épais, de carton ou de cuir, autrefois portée au chœur par les clercs qui n'avaient pas l'usage de la mitre et parfois comme coiffure ordinaire en dehors des églises.
Le Pape ne reçoit pas de salaire pour sa fonction de chef de l'Eglise catholique. Tous ses frais (nourriture, loyer, maladie, assistant, voyages) sont réglés par l'État de la Cité du Vatican, mais il ne touche pas un kopeck ou ne reçoit de fiche de paie en tant que Pape à la fin du mois.
D'où viennent les mules papales ? Les mules d'origine portaient une croix qui permettaient aux fidèles d'embrasser les pieds du Pape, pratique impériale maintenue jusqu'à Jean XXIII (1958-1962), mais abolie par Paul VI qui abandonna aussi la tiare ceinte de trois couronnes.
Le Cérémonial des évêques donne la liste des insignes épiscopaux : l'anneau, la crosse, la mitre, la croix pectorale, et dans le cas des archevêques, le pallium. Il stipule que l'évêque emploie la crosse, symbole de son autorité de pasteur, seulement à l'intérieur de sa cité ou de son diocèse.
Le galero, ou galero cardinalice, est un chapeau à glands et larges bords porté par les membres du clergé de l'Église catholique ; à ne pas confondre avec le saturne. Au fil des siècles, le galero devient finalement propre aux cardinaux et symbolise leur titre de prince de l'Église.
L'insigne distinctif des cardinaux est la couleur rouge (dite « pourpre cardinalice »), couleur du sénat romain, du pouvoir, du prestige et de l'autorité, rappelant le sang versé par le Christ à travers sa Passion.
Pour les cardinaux, la couleur pourpre est fondamentale, car elle leur permet de s'approcher symboliquement du pape, qui ne porte exclusivement que deux couleurs : le blanc (soutane et calotte) et le rouge (mosette et chaussures).
Le porteur de kippa veut signifier qu'il y a quelque chose de plus haut que lui. C'est un signe -d'humilité. La coutume s'est propagée dans le judaïsme, généralement à l'intérieur des synagogues, pour des offices ou lorsqu'on prononce un « kaddish » (la prière des morts).
Selon Haïm Korsia, c'est un signe de « soumission à Dieu », et non de « reconnaissance ». Plus généralement, la kippa permet au Juif d'afficher son humilité et son respect à travers sa croyance pour sanctifier le Nom de Dieu (voir yarmulke défini supra).
Du latin calva : « crâne », « boîte crânienne ». Petite coiffure de forme circulaire épousant le sommet du crâne. Signe d'une dignité ecclésiastique, de même couleur que la soutane : les évêques portent une calotte violette, les cardinaux une calotte rouge, le pape une calotte blanche.
Père : titre donné aux religieux et très souvent aux prêtres séculiers, en considération de la fécondité spirituelle de l'état religieux et du sacerdoce. Père Abbé : supérieur d'une abbaye (Abbaye, Abbé sont eux-mêmes dérivés du mot Araméen Abba, Père).
« Mon Père » (avec possessif) est une appellation plutôt utilisée par des personnes catholiques pratiquantes. Si globalement elle convient à tous les prêtres, elle est en revanche la seule à pouvoir être utilisée pour un religieux-prêtre (un prêtre dominicain, franciscain, jésuite, bénédictin, cistercien…).
Pour votre inlassable investissement,nous vous disons MERCI. Mais nous le savons tous : Un départ n'est pas une fin... Même s'il y a de la tristesse dans nos cœurs, même si désormais vous n'êtes plus là, vous resterez toujours parmi nous. C'est pourquoi aujourd'hui, nous prions tout particulièrement pour vous. »
L'archevêque bénéficie selon le droit canonique et souvent en vertu d'anciens privilèges attachés à son diocèse d'une dignité supérieure à celle d'un simple évêque. Mais un évêque reste seul le patron de son diocèse puisqu'il représente la continuité apostolique en tant que descendant des apôtres.
Monsieur l'Abbé, Je vous prie d'agréer, Monsieur l'Abbé, l'expression de mes sentiments respectueux. Monsieur le Chanoine, Je vous prie d'agréer, Monsieur le Chanoine, l'expression de mes sentiments respectueux.