La cérémonie d'un mariage musulman peut avoir lieu à la mosquée. C'est généralement un imam qui prononce le mariage. Deux témoins sont également présents. La cérémonie commence par la récitation d'une « Khoutbah », c'est-à-dire de formules de louanges à Allah et quelques versets du Coran.
Le "hlel" est un terme familier désignant le mariage religieux ("Nikah") dans l'islam. Il se déroule généralement à la maison ou dans une mosquée, avec la récitation de versets du Coran, l'expression du consentement des deux parties, la présence de témoins et la fixation du "mahr".
Le Hlel est une cérémonie religieuse qui dure en moyenne une trentaine de minutes. Les cérémonies musulmanes ont lieu dans les mosquées, les mairies ou les futures demeures du couple. Elle ne se fait qu'en présence d'au moins deux témoins, des hommes, dont le père ou le frère de la mariée.
La cérémonie religieuse, appelée Nikah, est généralement célébrée par un imam ou un représentant religieux. Elle peut avoir lieu à la mosquée, au domicile des futurs époux ou dans une salle de réception privatisée pour l'occasion. Les deux familles et les témoins sont présents lors de cette cérémonie.
Pour que le mariage religieux musulman soit valide, il faut suivre 4 règles : consentement, présence du tuteur, présence de témoins, et présence de la dot de mariage. De nombreux hadiths de mariage (recueil d'actes et de paroles de Mahomet et ses compagnons) encadrent les règles du mariage halal.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
Pour respecter la tradition, les témoins des mariés ainsi que le "walî" de la mariée (son représentant masculin : son père, son grand-père, son oncle, son arrière-grand-père, son frère ou un homme musulman de son choix si sa famille n'est pas disponible) doivent être présents.
La dot, ou le « mahr »
C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc. C'est Allah Lui-même qui a ordonné au mari de verser la dot à son épouse dans le Coran.
Le mariage religieux n'est pas valable du point de vue du droit musulman « Fiqh » car rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit, non plus, les droits des chacun des époux en cas de litige, ni la reconnaissance d'éventuels enfants ou les droits de succession.
L'annulation du mariage est reconnue par l'islam en cas de non-consommation. Encore aujourd'hui, il arrive que la non-consommation doive être justifiée. L'annulation du mariage est encore utilisée dans certains pays religieux car il permet à la femme de rompre le lien du mariage sans perdre sa dot.
Le mariage en Islam est une institution très importante et sacrée. Le Coran indique clairement que le marié doit payer une dot et les dépenses liées à la célébration du mariage. Les familles des deux parties peuvent contribuer à ces dépenses, mais le marié est le principal responsable.
En fonction des cultures, on va retrouver différentes coutumes : les mariés portent un habit traditionnel, (caftan de couleur verte au Maroc ou caftan blanc ainsi qu'un burnous, sorte de cape déposée sur les épaules en Algérie).
Le mariage peut être célébré à la mosquée, ou au domicile de l'un des futurs mariés, ou de leurs parents ce qui est le cas le plus fréquent.
Q : Comment on fait ? R : Il suffit d'être la femme, l'homme concerné, un représentant de la femme : son père, son frère ou son oncle, un représentant du mec aussi, des témoins et voilà, ils se marient devant Dieu, devant l'imam. Il dit : « Est-ce que tout le monde est d'accord ? » et voilà, tout le monde est d'accord.
Ainsi, dans un registre un peu argotique, hlel désigne désigne une fille à marier, une fille respectable, qui préserve son honneur et celui de sa famille : elle est studieuse et sérieuse, chaste, elle ne sort pas le soir, elle ne fréquente pas de garçons.
Une dot c'est une compensation des dépenses des parents pour l'éducation de leur fille. Vous pouvez tabler sur 100.000 b comme cela peut aussi être 20.000 ou 0, tout dépend des familles, il n'y a pas de règles.
La dot est la somme que la famille du marié paie à sa future belle-famille avant que l'union ne soit célébrée par les deux familles. Il peut être constitué d'argent, de cadeaux ou d'un mélange des deux. Il est parfois payé en une seule fois, mais il n'est pas rare que les versements soient échelonnés.
Explication juridique. Tant que le mari en est capable, il est tenu de satisfaire les besoins sexuels de sa femme et de dormir dans le lit conjugal. Le fait de ne pas avoir de relations sexuelles avec sa femme pendant une période de quatre mois ou plus ne signifie pas la répudiation automatique.
Les couples musulmans doivent se marier civilement pour que leur union soit reconnue par la loi française.
Le mariage religieux est appelé Hlel, Nikah ou Fatiha suivant le pays d'origine. Il s'agit d'un contrat moral entre les futurs époux. Le mariage religieux n'est pas officiel, il faudra donc un mariage civil pour officialiser l'union. Pour faire un mariage religieux, il faut avoir le consentement des deux futurs mariés.
Bonjour, C'est possible dans certains cas de figures. Si les parents s'opposent sans réel motif valable au mariage. Si le tuteur légal a des problèmes d'ordre psychologique, qu'il n'y a pas de grand frère ou oncle.
3. Est-il possible de se marier sans témoin ? “En France, vous ne pouvez pas vous marier sans témoin car la loi impose que les consentements échangés soient entendus par le public dans le cadre uniquement des cérémonies religieuses ou civiles.
Vos témoins doivent être âgés d'au moins 18 ans (ou être émancipés). Aucune autre condition n'est exigée. Il peut s'agir de membres de votre famille ou non. Il n'est fait aucune distinction entre les sexes.