La nuit tue plus que le jour. Le risque d'avoir un accident mortel à la tombée du jour est d'ailleurs sept fois supérieure au risque diurne et un quart des accidents mortels de nuit se produisent entre 2 et 6 heures du matin.
Un des meilleurs moyens d'améliorer votre vision en conduite de nuit est d'opter pour un traitement qui limite les reflets en face avant et en face arrière de vos verres de lunettes et les effets de halos lumineux (par exemple, Crizal® Sapphire™ HR), pour une expérience de la conduite de nuit plus sûre et plus ...
Dormir 8 heures avant de prendre le volant
Un sommeil de 8 heures vous permettra de rester éveillé et d'éviter de causer un accident. De même, évitez d'entreprendre des trajets de longe distance en fin de journée. Il vaut mieux passer une bonne nuit de sommeil et prendre la route le lendemain, en étant reposé.
Adaptez-vous à la faible visibilité
Les phares éclairent au mieux à 200m et les feux de croisement à 50m. A 130Km/h, tout obstacle sera forcément vu au dernier moment. Vérifiez le fonctionnement et la propreté de vos phares et de feux de croisement. En cas d'accident, allumez vos feux de détresse.
Le trafic étant plus fluide et les routes dégagées, les automobilistes ont tendance à rouler plus vite la nuit.
Lorsque vous conduisez, pensez à avoir le dos bien droit.
La tête ne doit pas reposer sur l'appui-tête et votre siège doit être suffisamment haut pour bien voir ce qui se passe autour de vous. Plus vous serez avachi dans votre fauteuil, plus vous prendrez le risque de vous assoupir.
Évitez de partir après une journée de travail, optez plutôt pour un départ matinal. Sachez que vous partez pour de longues heures de route, pensez à mettre une tenue dans laquelle vous vous sentez à l'aise pour conduire. En chemin, faites une pause dès que le besoin s'en fait ressentir, ne luttez pas contre le sommeil.
Lors d'un long trajet en voiture en famille, faire de vraies pauses , dans des lieux où on peut se changer les idées, ça aide à continuer ensuite la route dans le calme. Mieux vaut arriver une heure plus tard mais en meilleure forme que de foncer droit vers l'énervement.
De bonnes lunettes pour conduire la nuit s'attachent avant tout à réduire le risque d'éblouissement. La priorité est donc aux lunettes antireflets, parfois appelées lunettes anti-éblouissements. Ces verres polarisés possèdent une filtration spécifique qui permettent d'atténuer les effets d'aveuglement.
Les lunettes de conduite de nuit sont généralement des lunettes sans ordonnance avec des verres teintés en jaune. Elles comportent différents types de revêtements antireflets pour éliminer les reflets des lampadaires et des phares qui provoquent l'éblouissement des lunettes.
Plusieurs éléments peuvent expliquer la peur de conduire : Le manque de confiance en soi qui entraîne une peur de faire une erreur de conduite ou une peur de créer un accident de la route. Si on a peur même en étant passager, cela peut provenir d'un manque de confiance envers les autres.
La mortalité routière est en baisse en 2021 pour les automobilistes, avec 1 411 décès (211 tués de moins soit -13% par rapport à 2019, et 168 tués de plus soit +14% par rapport à 2020).
Manque de confiance en soi
En effet, si vous manquez de confiance en vous en temps normal, ce phénomène peut être amplifié au volant, situation à lourdes responsabilités. Ce manque de confiance peut donc se manifester en particulier par la peur de conduire seul. Bien sûr, ce n'est pas une généralité.
Pensez également à bien vous hydrater avec de l'eau. Le manque d'hydratation est source de fatigue. Et bien sûr, ne buvez pas d'alcool et évitez de boire trop de boissons énergisantes dont l'effet est de courte durée. Ces dernières ne remplaceront pas une vraie pause redynamisante.
La somnolence multiplie par 8 le risque d'accident. La conduite d'un véhicule est une activité fatigante, car elle mobilise toute notre attention. Cette fatigue, qui entraîne inévitablement une baisse des capacités du conducteur et de sa vigilance, peut amener jusqu'à l'assoupissement.
Une étude australienne incrimine les vibrations du véhicule, qui induisent un état de somnolence au bout d'une quinzaine de minutes. Peut-être parce que les ondes cérébrales se synchronisent avec elles.
Des facteurs de risque de fatigue et de somnolence
Ne pas faire régulièrement des pauses pour s'aérer et se dégourdir les jambes. Prendre certains médicaments aux effets incompatibles avec la conduite. Conduire au-dessus des limitations de vitesse. Consommer de l'alcool, même sous le seuil autorisé.
Il est bien stipulé que le gilet jaune doit être rangé à portée de main du conducteur du véhicule. Cela suppose donc qu'il soit entreposé sous le siège avant gauche ou dans la boîte à gants. Il est à revêtir en situation d'arrêt d'urgence du véhicule.
Par ailleurs, la pollution fait rayonner le flash ce qui accentue l'effet d'éblouissement. Réglez bien et utilisez correctement vos propres phares (feux de route, feux de croisement, phares antibrouillard). Lorsque vous les éblouissez, certains conducteurs ont le réflexe de vous éblouir en retour.
Les facteurs de dégradation de la vigilance peuvent être liés à la fatigue, à la somnolence, à la consommation de psychotropes (alcool, stupéfiants ou/et médicaments), mais aussi au caractère parfois répétitif ou monotone de la conduite (le conducteur est passé en mode mental de « pilotage automatique »), …