Le plan d'amortissement calcule les charges d'amortissement d'un actif en fonction de la date d'achat, du coût initial, de la durée de vie utile (durée d'utilisation prévue par l'entreprise) et permet de suivre l'amortissement cumulé au début et à la fin, ou la valeur de l'actif lorsqu'il est remplacé.
La formule pour calculer un amortissement linéaire est relativement assez simple : base amortissable x taux d'amortissement linéaire = annuité d'amortissement. La base amortissable correspond à la valeur brute du bien (valeur d'achat h.t. et frais annexes).
Mensualités = capital emprunté x (TAEG/12) / 1 - (1 + TAEG/12) Intérêts = (capital emprunté x TAEG x durée en années) / 100. Capital amorti = mensualités - intérêts. Restant dû = capital emprunté - mensualité (pour le premier mois) et restant dû du mois précédent - mensualité (pour les mois suivants)
C'est l'échéancier détaillé de votre prêt. En disposant de votre tableau d'amortissement, vous visualisez le détail mensuel et annuel de vos remboursements, sur toute la durée de votre prêt.
Prenons un exemple : vous achetez un bien d'une valeur de 5 000 € et vous souhaitez l'amortir sur une durée de 5 ans. Le taux d'amortissement équivaudra à : 100/5 = 20%. Le montant à amortir sera donc égal à : 5 000 x 20% = 1 000€.
Dans un tableau d'amortissement, le montant des intérêts bancaires se réduit au fil des mois parce qu'ils sont calculés en fonction du capital restant dû. L'emprunteur rembourse d'abord le maximum d'intérêts bancaires qui vont diminuer à mesure que la partie du capital est remboursée.
Pour le fisc, seulement trois modes d'amortissement sont autorisés : linéaire, dégressif et exceptionnel. En comptabilité, l'amortissement économique peut être le mode linéaire ou l'amortissement en fonction des avantages économiques consommés.
Lorsque vous avez des achats de matériels supérieurs à 500 €, vous devez immobiliser et amortir.
La base amortissable des immobilisations correspond à leur valeur brute, inscrite à l'actif du bilan, déduction faite de la valeur résiduelle. La règle est la même pour les normes IFRS avec la norme IAS 16 et le plan comptable général en son article 214-4.
L'amortissement, en comptabilité, permet de constater la dépréciation d'un bien immobilisé (c'est-à-dire inscrit au plan comptable), due à son utilisation. L'amortissement constitue alors une charge calculée, qui entraîne une baisse de résultat.
Pour les entreprises, le plan d'amortissement vient matérialiser la durée des amortissements des immobilisations et des biens dès lors qu'ils rejoignent son patrimoine. Véritable outil de suivi des immobilisations, il permet aux entreprises de mieux estimer ses différents amortissements.
L'objectif du plan d'amortissement est de définir la durée d'utilisation et la base d'amortissement de chaque immobilisation, ce qui permet d'estimer le montant de la charge d'amortissement pour chaque période.
La formule pour calculer un amortissement linéaire est relativement assez simple : base amortissable x taux d'amortissement linéaire = annuité d'amortissement. La base amortissable correspond à la valeur brute du bien (valeur d'achat h.t. et frais annexes).
La comptabilisation d'amortissement s'avère obligatoire à la clôture de chaque exercice comptable, même si le résultat comptable d'un exercice se traduit par une perte.
L'amortissement est constaté en charges, au niveau du compte de résultat de l'entreprise. Du point de vue fiscal, la dépréciation des éléments de l'actif immobilisé de l'entreprise constitue pour celle-ci une perte de substance, enregistrée par la comptabilité.
Les immobilisations non amortissables comprennent notamment le sol et les participations. L'évaluation se fait au prix d'acquisition ou au prix de revient. La valeur d'exploitation peut cependant être retenue lorsqu'elle est inférieure au prix d'acquisition ou au prix de revient.
Quelle est la date de début des amortissements comptables ? En comptabilité, l'amortissement d'une immobilisation débute à compter de la mise en service du bien (date à laquelle l'immobilisation est en état de fonctionner selon l'utilisation prévue par la direction).
Il permet de corriger l'évaluation des immobilisations qui a été faite au titre de l'entrée dans le patrimoine de l'entreprise. La comptabilisation d'amortissement s'avère obligatoire à la clôture de chaque exercice comptable, même si le résultat comptable d'un exercice se traduit par une perte.
En linéaire, on calcule l'amortissement à partir de la mise en service du bien. Ainsi, si le bien est mis en service au cours de l'année on effectue un prorata (lors de la première année mais également de la dernière année). Calcule de l'annuité = BASE x TAUX ou BASE x TAUX x (TEMPS / 360) lorsqu'il y a prorata.
Écriture de dotation aux amortissements : les comptes 68 et 28. Ces montants figurent dans les comptes de charges, au débit du compte 68. La contrepartie est l'annuité d'amortissement, d'un montant identique, au crédit du compte 28.