h se prononce avec une légère expiration de l'air, mais il est devenu assez rapidement muet. j se prononce "y" comme dans "yeux", on peut le remplacer par i (les Romains n'avaient pas de j) m et n se prononcent comme en français mais la voyelle qui précède n'est jamais nasalisée.
Quelques faits intéressants de l'alphabet romain
On ne fait pas de distinction entre le U et le V. Seul le V existe, l'écriture étant encore très carrée à l'époque, La lettre G n'existait pas. La consonne C exprimait à la fois les phonèmes /k/ et /g/.
comme un « h ». En latin, le « h » reste toujours un « h » ! Ne vous laissez pas piéger par les combinaisons comme th ou ch : elles n'ont pas de prononciations spéciales. Prononcez simplement la première consonne comme vous le feriez normalement.
Deux règles sont absolument indispensables pour lire le latin et le prononcer de la bonne manière : Toutes les lettres se prononcent. Aucune lettre muette n'existe à l'exception du H, Une lettre se prononce toujours de la même façon.
Veni, vidi, vici (prononcée [ˈweːniː ˈwiːdiː ˈwiːkiː] en latin classique ou [ˈveni ˈvidi ˈvitʃi] en latin ecclésiastique) est une célèbre expression employée par Jules César en 47 av.
Au 16e siècle, comme on l'indique Marc-Alain Ouaknin dans son ouvrage "Le mystère de l'alphabet" http://data.rero.ch/01-R218087760, c'est sous l'influence de Pierre de La Ramée que le J c'est scindé du I. « Le J se prononçait comme un Y, puis s'est transformé en son « g » selon sa place dans le mot.
g se prononce toujours comme dans "gare", jamais comme dans "girafe" gn ne se prononce pas comme dans "agneau" mais on sépare le g et le n comme dans "stagnant" h se prononce avec une légère expiration de l'air, mais il est devenu assez rapidement muet.
Au cours des siècles, le latin a évolué et donné naissance aux langues romanes : les principales sont l'espagnol, le français, l'italien, le portugais et le roumain, mais il y a aussi le catalan, le gallo, le ladin (wp), le romanche, le sarde (wp), l'occitan…
Ce sont les phéniciens qui sont à l'origine de l'alphabet que nous utilisons en français. Notre alphabet est l'alphabet latin qui est un mélange des écritures sémite, grecque et étrusque. Les premiers textes en écriture latine datent du VIe siècle av.
En effet, notre alphabet latin commence par la lettre « a », ainsi que par exemple l'alphabet grec, cyrillique, arabe, hébreu…
Les mots en -um se prononcent comme en latin : [-ɔm].
Il utilisait 23 lettres dans sa graphie classique : A, B, C, D, E, F, G, H, I, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, V, X, Y, Z. Note : G est introduit au III e siècle tandis que Y et Z sont des ajouts tardifs à partir de l'alphabet grec pour en noter des mots d'emprunt.
Règles de numération en latin
Les nombres de zéro à dix sont rendus par des mots spécifiques : nulla [0], unus/una/unum (m/f/n) [1], duo/duae/duo (m/f/n) [2], tres/tres/tria (m/f/n) [3], quattuor [4], quinque [5], sex [6], septem [7], octo [8], novem [9] et decem [10].
(Adjectif numéral, Nom commun 1) Du moyen français cent , de l'ancien français cent , du latin centum (« cent »).
Y (la lettre se nomme « i grec » et se prononce isolée /i/) est la 25e lettre de l'alphabet latin moderne. Le graphème majuscule est le même que celui de l'upsilon de l'alphabet grec.
Histoire. Cette lettre de l'alphabet latin est une des rares, avec Y et Z, à ne pas être d'origine étrusque ; c'est une innovation romaine due à Spurius Carvilius Ruga, qui, au III e siècle avant notre ère, a modifié le tracé de la lettre C venant du gamma (Γ γ) grec.
Le latin (en latin : Lingua Latīna ou Latīna Lingua) est une langue italique de la famille des langues indo-européennes, parlée à l'origine par les Latins dans le Latium de la Rome antique.
le g se prononce « gue » : la gare, une gomme, aigu. Pour que le g se prononce « je » devant « a, o, u », il faut mettre un « e » après le « g » : une orangeade, la rougeole,… devant « e, i, y » : le g se prononce « je » : une page, la gélatine, une girafe.
Cette lettre se prononce u ( ύψιλον). Pour des historiens philologues, cette lettre est vraisemblablement passée dans l'alphabet latin pour dénoter le son u absent du latin. Dans le latin tardif, et dans notre Moyen Âge, elle a finit par se prononcer i, la graphie y devenant une forme alternative de notre i.
(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\. (Pronom personnel 1) Du latin hic (« ceci ») ; a évincé l'ancien français iv , du latin ibi (« ici »).