Le principe est le suivant : Dans les sociétés civiles, les articles 1851 et 1869 du Code civil permettent à un associé de se retirer dans les conditions prévues par les statuts, par décision unanime des associés ou encore suite à une décision de justice.
La réponse de la rédaction : Dans une SARL classique, il n'est pas possible d'exclure un associé. La seule solution de se séparer de lui est de négocier le rachat de ses parts sociales.
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La protection contre les créanciers peut être assurée par la constitution d'une société civile immobilière. L'outil est même particulièrement efficace avant de contracter des dettes, pour mettre à l'abri un patrimoine immobilier privé.
En SCI, la responsabilité des associés est dite indéfinie. Cela signifie que l'associé de SCI est responsable des dettes de la société sur son patrimoine personnel.
La SCI familiale permet d'optimiser le patrimoine immobilier d'une famille tout en écartant les règles de l'indivision qui sont contraignantes lors de cas de transmission. Le patrimoine est aussi plus facilement cessible aux héritiers parents-enfants, parent donateur, conjoint survivant, etc.
Malheureusement il est là encore impossible de forcer un associé à vendre ses parts, sauf si cela est prévu par les statuts ou un pacte d'associés. La meilleure solution consisterait à lui faire une offre de rachat, mais il se pourrait que les négociations sur le prix achoppent, surtout si la confiance ne règne plus…
Un associé peut quitter volontairement une SARL à condition qu'une clause de départ volontaire soit prévue dans les statuts de l'entreprise ou qu'il existe un pacte d'associés. En revanche, l'associé qui souhaite quitter la SARL doit céder ses parts sociales, soit à un autre associé de la société, soit à un tiers.
Comme dans les autres sociétés, il est possible d'exclure un associé selon les causes et modalités déterminées par les associés dans les statuts. Toutefois, en cas d'ajout ou de modification postérieure d'une clause d'exclusion dans les statuts, la situation est plus délicate.
Un associé ne peut donc se retirer qu'en se faisant racheter ses parts, soit par ses coassociés, mais rien ne peut les obliger à les racheter, soit par un tiers, mais à condition dans ce cas que ce tiers soit agréé par les autres associés.
L'exclusion doit avoir un motif objectif prévu dans les statuts (perte de la qualité de salarié ou de dirigeant, diminution d'un pourcentage de détention de capital, accomplissement d'un acte de concurrence, …) et résulter d'une procédure contradictoire par laquelle l'associé objet de la procédure d'exclusion a la ...
La clause d'exclusion est un droit juridique accordé aux associés pour exclure un des leurs à titre de sanction. Elle est insérée dans les statuts de la SAS. Cependant, elle peut se décider au cours de l'existence de la société, sans avoir été mentionnée dans les textes fondateurs de l'entité.
Les statuts des sociétés par actions simplifiées (« SAS ») peuvent prévoir une clause d'exclusion, qui permet d'exclure de la société l'un de ses associés. La mise en œuvre de cette exclusion se traduit par le rachat des actions de l'associé exclu.
En principe il n'existe pas de droit de retrait pour un associé de SAS. Celui-ci doit être expressément prévu par les statuts de société ou par un pacte d'actionnaires. Pour cela, il faut d'abord prévoir ce que l'on appelle une “clause de variabilité du capital social”.
Le retrait de l'associé doit être décidé à l'unanimité par l'assemblée générale des associés. Si les associés refusent la sortie, l'associé qui souhaite sortir doit saisir le juge pour demander son retrait. L'associé peut également vendre ses parts dans la société à un des associés ou à un tiers.
En conséquence, le seul fait qu'ils ne soient pas signés par un associé ne remet pas en cause la validité de l'assemblée dès lors que celui-ci n'est ni le Gérant, ni le président de la séance.
Le vote de la scission
Les actionnaires de la société scindée doivent voter la scission en assemblée générale extraordinaire, sur la base d'un projet de scission et d'un rapport d'un commissaire à la scission. Le schéma selon lequel s'effectuera la scission (voir partie 2) est défini par le projet de scission.
Pour une location non meublée, la SCI doit déposer une déclaration n°2072 mais c'est vous qui en tant qu'associé êtes redevable de l'impôt sur les bénéfices en fonction de votre quote-part de résultat de la SCI.
Cependant, quelques inconvénients peuvent réfréner les ardeurs, comme la tenue d'une comptabilité sérieuse, les règles strictes de fonctionnement, la responsabilité illimitée de chaque associé, ou encore le rattachement fiscal à l'impôt sur les sociétés en cas de bénéfices par la location.